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Le transport se fait rare le week-end
BOUIRA
Publié dans L'Expression le 29 - 03 - 2009

Se rendre au chef-lieu de wilaya, le week-end, devient un cauchemar pour les populations.
Le déficit en moyens de transport, notamment les week-ends, cause d'énormes désagréments aux citoyens. Ces derniers, en dépit de la disponibilité des bus durant les jours de semaine, se bousculent et font la guerre pour avoir une place. Pendant les week-ends, les bus se font rares. Les stations sont submergées. Les longues attentes refont surface. Et quand un bus entre en quai, c'est la grande bousculade. Aussi, c'est à qui mieux usera des muscles pour avoir une place. C'est la débandade. Bonjour les dégâts: vols, agressions, dépassements, insultes... Quant aux vieilles, vieux, femmes et les chétifs, le mieux c'est d'attendre le prochain bus si l'arrêt se vide. Cette situation est valable pour toutes les autres stations réparties à travers les différentes régions de la wilaya. Aussi, vouloir se rendre au chef-lieu de wilaya durant le week-end, c'est tenter le diable. Retenus les jours de semaine par leurs obligations professionnelles, les gens n'ont que ces deux journées de week-end pour faire leurs emplettes, rendre visite à un proche ou régler une affaire.
Cependant, ce constat reste valable pour d'autres régions du pays. Contrairement à d'autres pays dans le monde, du moins occidentaux, les week-ends chez eux, sont synonymes de détente «populaire». Les places publiques grouillent de monde. Tout un dispositif de transport est mis en place pour permettre aux populations de se déplacer en toute quiétude. En Algérie, c'est le revers de la médaille. Les gens se terrent et les villes deviennent désertes. Les professionnels du transport, en l'absence d'un dispositif régulateur, imposent leur diktat. Ils travaillent quand ils veulent et se reposent quand bon leur semble. Entre-temps, les gens se morfondent dans les quais, les nerfs à fleur de peau. Tandis que le bus se fait désirer. Et si par miracle, quelqu'un réussit à embarquer dans un bus, il n'est pas dit que le retour sera assuré car le même scénario pourrait bien se reproduire. Un autre calvaire, notamment pour les villageois. Dans ce type de bourgade, les choses empirent les week-ends. Aller accomplir son devoir religieux en ville, s'assimile au parcours du combattant. Ce sont des kilomètres à parcourir à pied pour regagner son patelin, situé, parfois à plus d'une dizaine de kilomètres de la ville. Aussi, il est urgent de remédier à ce problème qui empêche beaucoup de citoyens de régler leurs affaires, à défaut de se permettre une petite virée en ville.


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