Le directeur de l'EPH de Thénia nous écrit Suite à votre article paru dans votre quotidien Liberté, en date du 31.8.2010, page n° 10, sous le titre “Boumerdès, plainte contre l'unité d'urgence”, je vous prie de bien vouloir faire paraître la mise au point suivante : “Le patient Kobati Mourad, âgé de 41 ans, victime d'un accident de travail, est arrivé à l'UMC de Boumerdès le 29.08.2010 à 12h30, accompagné de son patron. Le patient a été vu et examiné à temps et, après élimination d'une urgence vitale, à savoir une urgence thoraco-abdominale, et après surveillance des constances qui étaient stables. Le patient présente une fracture perthrochanterienne stable associée à une fracture du 4e métacarpe (4e doigt) et, vu le manque de performance de noir radiologique dans les appareils radio conventionnelle, en plus que son état était stable, le médecin a demandé à l'accompagnateur un complément de radiographie. Après que le patient ait complété son bilan radiologique à titre externe, ce dernier fut hospitalisé et pris en charge au service de traumatologie le jour même, à 15h50.” BOUFARIK : Les braqueurs de l'autoroute sous mandat de dépôt Les trois dealers, qui se faisaient passer pour des vendeurs de fruits au bord de l'autoroute afin d'agresser leurs clients, ne séviront plus jamais. Ils viennent d'être arrêtés par les policiers de la 1re Sûreté urbaine de la ville de Boufarik pour agression et vol à l'arme blanche. C'est suite à une plainte déposée par un commerçant, qui a eu la malchance de tomber dans le piège de ses agresseurs qui lui ont subtilisé sous la menace de couteaux 20 millions de centimes et deux cartons de chaussures, que les policiers ont lancé une poursuite en cerclant le périmètre dans lequel l'agression a eu lieu. À la suite des informations indiquant aux enquêteurs que les braqueurs ont pris refuge dans un appartement appartenant à l'un de leurs complices dans le quartier des 120-Logements (les Jésuites) et suite aux déclarations de la victime qui a donné des informations sur la couleur des cheveux, l'habillement et l'âge des agresseurs, un des policiers a remarqué un jeune à la fenêtre dont le signalement correspondait. Les policiers se sont aussitôt déplacé sur les lieux où ils ont arrêté les deux dealers en compagnie de leur complice et récupéré la totalité de la somme volée. Présentés devant le procureur, ces derniers ont été mis sous mandat de dépôt en aggravant leur cas après avoir menacé les policiers et le procureur de représailles après leur sortie de prison. Les trois récidivistes, qui ont plusieurs mandats d'arrêts lancés contre eux, risquent gros puisqu'ils seront jugés pour crime. K. Fawzi Alors que la situation ne cesse de se dégrader au sein de cette institution : Les élus RND se retirent de l'APC de Tizi Ouzou La situation au sein de l'APC de Tizi Ouzou ne cesse, décidément, de se dégrader de mois en mois entraînant un malaise profond qui se répercute négativement bien évidemment sur le moral de la population de la commune qui assiste chaque jour, impuissante, à l'aggravation de l'anarchie dans la gestion de leur cité et aussi des travailleurs et élus qui ne ratent aucune occasion pour tirer à boulets rouges sur le président d'APC qui, de son côté, ne rate aucune opportunité pour démontrer son incapacité à mettre de l'ordre dans l'institution qu'il dirige. Après la démission des quatre élus du RCD, il y a quelques mois, pour motif de mauvaise gestion et les répétitives actions de protestation des travailleurs, voilà qu'hier encore c'était au tour des quatre élus du RND d'annoncer leur retrait de confiance au président FLN. Cette décision rendue publique à l'issue d'une réunion extraordinaire, tenue jeudi dernier, pour débattre de la situation qui prévaut au sein de l'APC est prise, est-il expliqué dans la déclaration des élus concernés, “pour rétablir le sens de la bonne gestion des affaires de la commune, d'une part, et de reconsidérer le respect vis-à-vis de la population prise en otage par la mauvaise gestion du président d'APC, d'autre part”. Pour illustrer le chaos régnant au sein de l'APC, les élus du RND, qui tentent, il est clair, de sauver leur peau, et ce au moment où, à travers cette situation, le FLN prend un coup dur dans sa crédibilité, citent, entre autres problèmes, les anomalies et la mauvaise gestion des affaires de l'APC, l'insécurité pour le personnel, les élus et les citoyens, le non-respect des engagements pris par le P/APC envers la population de la commune, l'absence totale de débat démocratique dans la gestion de l'APC et aussi le retard, voire le blocage considérable dans l'exécution des différents programmes de développement de la commune. Samir LESLOUS
