Afin d'équilibrer son effectif pour cette deuxième moitié de la saison, la direction de la JS Kabylie a décidé dans un premier temps de se séparer de trois jeunes éléments, Renaï, El-Orfi et Nezla. La direction du club kabyle a justifié cette démarche par le fait que ces joueurs ont été peu utilisés par le staff technique et qu'il est préférable qu'ils aillent tenter leur chance ailleurs. D'ailleurs c'est vers un club tunisien que le président Mellal a souhaité transférer ces joueurs sous forme de prêt, dans l'espoir de les récupérer plus tard. Cependant les joueurs concernés ont refusé cette option de prêt et qualifient ces décisions à quelques jours de la clôture du mercato, comme étant abusives, dans la mesure où on ne leur a pas laissé assez de temps de choisir un club qui leur convient ou de leur choix. Une situation de désaccord qui obligera certainement la direction des Jaune et Vert de reléguer ces trois joueurs en catégorie espoirs comme l'explique le premier responsable du club. "J'ai parlé avec ces trois joueurs et je leur ai expliqué que si le club tunisien que je leur ai suggéré ne leur convient pas, qu'ils me ramènent d'autres clubs qui leur assurent un temps de jeu d'ici la fin de la saison. Hélas ! ils ont refusé de partir ce qui nous oblige de les reverser avec l'équipe réserve, et qu'ils assument leurs responsabilités car pour la saison prochaine nous avons décidé de promouvoir d'autres jeunes talents du cru", prévient Mellal. Par ailleurs et dans un autre registre, le président Cherif Mellal envisage de s'entretenir très prochainement avec le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, pour lui présenter ses doléances concernant les erreurs d'arbitrage dont a été victime la formation des Jaune et Vert ces derniers temps. "Notre combat pour défendre les intérêts de le JSK doit se poursuivre. J'ai prévu un rendez-vous avec Zetchi, car j'estime que notre club est visé. Notre élimination de la Coupe d'Algérie contre Aïn M'lila suite à des erreurs d'arbitrage ou alors ce qui s'est passé dernièrement contre l'USMA, il y a de quoi s'inquiéter", dira Mellal.
