Les travailleurs de la société électro-Industries (ex-Enel) de Fréha (wilaya de Tizi Ouzou) ne savent plus à quelle autorité se plaindre pour régler les sempiternels problèmes que vit leur usine. Ainsi, l'arrêt de travail décidé le 22 juin se poursuit et tout porte à croire que "cette situation durera encore, tant que le premier responsable de l'usine continue à faire la sourde oreille", dénoncent des cadres de l'ex-Enel. Pour ces cadres, la situation "est intenable" et une intervention urgente des autorités concernées est plus qu'attendue pour trouver des solutions "à la gestion hasardeuse" de l'entreprise.