Ur ttru ( Ne pleure pas) chantait l'enfant de la ville de la ville de yemma Gouraya à la mère qui venait de perdre son fils et l'héros dana une triste litanie vieille de 40 ans qui n'a pas pas pris un seul ride. Pourtant l'œuvre est là monumentale et éternelle face au destin. Un destin prémonitoire qui a voulu que la mère pleure son enfant en cette matin du mois de septembre, araché à un destin cruel alors que d'aucun attendaient son relèvement et retour d'un voyage pour soins qui ne lu prolongera pas la vie. Djamel de son vrai nom Mohamed est parti pour un ultime voyage il y a quelque mois, la famille l'attendait mais c'est l'eternel qui le reccueillera. Accueilli hier matin de son retour de voyage, c'est au cimetière Sidi M'hand Amokrane qu'il prendra destination, après qu »une dernière visite chez lui et au théatre où le dernier adieu lui sera consacré. Un adieu où se mêlaient autorités, famille et nombreux amis venus des quatre coins du pays et de l'outre mer. Autorités ministérielle, wilayale, locale…en une cérémonie qui sera celle qui aura été à la limite de sa grandeur et de l'éténdue de ses œuvres dont il aura tout écrit et chanté. Parolier, musicien, interprète, comédien et enfin réalisateur, il était certes l'icône mais il a su rester cet enfant que la ville desv saints adulait. Il a chanté Sidi Aissa dans Mar ad yughal ( quand il reviendra) il a chanté Sidi Aich… c'est à Sidi El Mouhoub que sa dépouille fût exposé pour la prière et à Sidi M'hand Amokrane cimetière de ses ancêtre qu'il repose. La ville qui pleure son enfant Le boulevard qui mène à la haute ville était hier matin infranchissable, une interminable foule rendait un dernier adieu au chantre Djamel. Le hall du TRB où il a fait ses classes en tant qu'élève du maître cheikh Sadek puis en tant que chanteur sur ces places ne désemplissait en ce jour de deuil local où toute la ville pleurait. Djamel dont non attendait un «autre retour» disait une vieille dame ne reviendra plus sur cette scène pour la faire résonner de sa voix mélodieuse. Que de visages familiers attristés par ce départ inattendu étaient hagard et bien tristes de le voire quitter, lui qui avait l'habitude de tout ce quartier de la haute ville. Tous ses amis des Aiguiades, Bab Ellouz, Cinq fontaines, Houmat Kéramane…pleurent en ce jour, même si lui en grand tolérant il ne le voulait pas. Adieu l'artiste.