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Répertoriées dans la partie basse de Aïn El Turck: Une douzaine de décharges sauvages éradiquées
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 23 - 11 - 2020


Une douzaine de décharges sauvages de Aïn El Turck ont été éradiquées cette année, a-t-on appris hier de sources proches des services d'hygiène de la commune. Il s'agit en général de terrains à l'abandon qui, au fil des ans, se sont transformés en dépotoirs à ciel ouvert. Selon nos sources, ces décharges qui défiguraient l'environnement urbain ont été en grande partie répertoriées dans la partie basse de Aïn El Turck, notamment à Trouville, Bouiseviille et près des grandes concentrations des bidonvilles, à l'image de la localité de Claire Fontaine et de St Germain. L'intervention des services communaux fait suite aux appels lancés par les habitants. Toutefois, beaucoup d'autres points noirs sont souvent signalés par les riverains et nécessitent une intervention des services de la commune. Nos interlocuteurs indiquent que la prolifération de ces décharges est souvent signalée en période estivale. D'autre part, la décharge municipale de Cap Falcon végète dans la désuétude la plus exécrable et ce, depuis son éradication sept années auparavant, suite à la réalisation d'un centre d'enfouissement technique (CET) dans la municipalité d'El Ançor. S'étendant sur plus de 14 hectares, cette décharge s'est transformée, au fil du temps et en l'absence d'un esprit créatif à même d'exploiter à bon escient cette immense superficie, en lieu de déversement pour toutes sortes de déchets de matériaux de construction et autres détritus. Un investisseur a bien tenté de réaliser sur une partie de cette assiette un petit projet d'utilité publique relatif à une plantation d'arbres, dans le cadre de la formue Calpi, mais cependant, croit-on savoir, aucune aide ne lui a été proposée pour le concrétiser. Il importe de noter que cette décharge communale, qui a été éradiquée au début de l'année 2012, a été inscrite sur une liste de propositions de projets d'utilité publique, présentées par la daïra d'Aïn El Turck à la wilaya dans le cadre du programme quinquennal 2013/2017. Il avait été question à l'époque d'une étude de faisabilité pour la réalisation d'un projet de grande envergure, relatif à la réalisation d'un parc aquatique et d'un lieu de détente pour les familles ainsi que des aires de jeux pour enfants, que devrait abriter la superficie en question. Un projet également mort-né bien que pourtant il ait été accordé par la wilaya d'Oran. Notons encore que cette proposition d'inscription de réalisation d'un parc aquatique avec toutes les commodités nécessaires et répondant aux normes universelles a été formulée lors d'un conclave, qui a regroupé les exécutifs communaux des quatre APC et les responsables des différents services concernés et ce, sous la présidence de l'ex-chef de daïra de cette époque. Le projet en question a constitué l'un des principaux thèmes lors de cette rencontre mais cependant, il demeure à ce jour toujours en veilleuse et ne semble nullement être près d'être réalisé. Il est aussi utile de rappeler que lors de cette réunion de travail, les maires des quatre communes que compte la daïra côtière d'Aïn El Turck ont été invités de répertorier toutes les assiettes disponibles dans cette daïra pour la réalisation d'espaces de convergence et ce, tout en préservant l'environnement et sauvegardant les potentialités en termes de tourisme. Fort malheureusement, la décharge en question s'est transformée depuis son éradication en dépotoir sauvage où se déverse un éventail très varié d'objets hétéroclites au vu et au su de tout un chacun. Et comme le ridicule ne tue point, des bergers guident même leurs troupeaux de moutons et de vaches pour paître à l'intérieur de cette immense superficie, tapissée en grande partie d'herbes folles. Des sources proches de ce dossier ont indiqué à ce sujet au Quotidien d'Oran que « c'est le Calpi, qui décide d'accorder aux potentiels investisseurs de programmer la réalisation d'un projet d'utilité publique dans cette ex-décharge ». Notons encore que des individus ont tenté d'exploiter l'abandon de cette superficie pour construire illicitement un groupe d'habitations. Ils ont été délogés manu militari par les forces de la gendarmerie après avoir été surpris en flagrant délit. Toujours est-il que là où le bât blesse réside dans le cruel fait que sept années après son éradication, l'ex-décharge municipale de Cap Falcon ne semble pas encore près de reconvertir sa vocation initiale.

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