Le gaspillage d'eau potable ou cette eau à boire à Mascara est un problème majeur. Certaines personnes ignorent encore l'importance de cette ressource vitale pour l'être humain ainsi que pour les animaux ou les plantes. Eau douce ne signifie pas eau potable, il n'existe quasiment aucune eau potable à cause des impuretés avec lesquelles elle peut être en contact faute du non respect de l'environnement. C'est une matière qu'il faut préserver. La consommation d'eau par jour est énorme en particulier dans certaines localités, ou régions, ainsi que dans différents secteurs. Par exemple, le secteur agricole dépense une grande quantité d'eau potable pour irriguer les terres mais, parfois, c'est inefficace et l'eau utilisée pour cette tâche est gaspillée. Voir dans des bassins aménagés dans le but d'irriguer des vergers en pommes de terre ou autres maraichages qui sont détournés de leur destination au profit du lavage des carottes et des navets destinés aux marchés. Se sont des tonnes d'eau qui vont dans les décors, alors qu'elles sont explorées à partir d'une nappe d'eau déjà menacée. Les gens consomment plus d'eau qu'il ne leur faut, alors que la wilaya de Mascara n'a échappé à une forte pression en particulier durant l'été que grâce au MAO dont a bénéficié difficilement la wilaya et qui a été réalisée à coups de centaines de millions de DA sur le dos du trésor public. Les spécialistes et les ONG nous invitent à faire plus attention à cette matière vitale qui commence à se faire rare à travers le monde. Il est devenu très important que les gens fassent plus attention à leurs actes afin de résorber cette inégalité dans le monde et de tenter de rendre le futur plus simple et moins risqué pour les générations futures. Si on fait attention aux statistiques présentées au niveau mondial, on trouve que l'agriculture consomme 70% de la consommation mondiale, l'industrie 20% et le secteur résiduel 10%, alors que la pluviométrie se fait rare dans certains pays par rapport à d'autres, que les neiges n'apparaissent que rarement, en particulier dans notre pays. Les rivières ont complètement séché, de nombreuses sources ont à leur tour disparu, donc la nappe phréatique ne tient qu'à un bout, c'est pourquoi l'eau devient très rare. Plusieurs pays ont recours à la mer et au dessalement et cette opération coute très chère et parfois, elle ne réussit pas. Nos sources disparaissent petit à petit pendant que notre population augmente. La ressource hydraulique se perd à cause de la mauvaise gestion, le gaspillage sinon l'évaporation de cette eau. En matière de gaspillage, les fuites sont un acte généralisé. L'agriculture prend elle aussi une part au gaspillage, l'irrigation par exemple qui se fait à flots d'où l'évaporation, ce n'est que depuis l'introduction de la nouvelle technologie, tel que le goute à goute ou l'aspersion que l'eau demeure un peu préservée. Le premier danger nous vient du changement climatique et la hausse des températures qui provoquent l'évaporation. Et l'autre danger à long terme nous vient des usines de dessalement qui sont premièrement couteuses en matière d'entretien ainsi que leur eau qui revient également très chère par rapport à l'eau naturelle et puis elles sont polluantes et pourraient à terme accentuer la création d'eau saumâtre dans les littorales. Si on se réfère aux règles mises en place par les hydrauliciens, il est question, en fonction des chemins que parcourent cette eau dans les canalisations sur des kilomètres pour atteindre les foyers dont elle est sensée alimenter, il est généralement nécessaire d'ajouter des doses de chlore pour éviter qu'elle ne se dégrade dans les tuyaux et continue à répondre aux exigences sanitaires et surtout ne pas ajouter d'autres produits de traitement qui peuvent nuire à la santé du citoyen.