Deux catégories de citoyens montrent des attitudes plus ou moins contradictoires quand on observe bien la ville de Mostaganem, quand on sort de chez soi. Le constat de l'absence de civisme préventif et de contraintes civiles pour la lutte contre le développement du phénomène viral meurtrier est sans équivoque. D'autre part, des citoyens inquiets, au bord de la paranoïa qui marchent en rasant les murs. Alors, des questions et des suggestions se posent quand même…. Ne faudrait-il pas passer à une certaine forme de durcissement dans l'application des mesures préventives et de faire intéresser davantage les citoyens à s'équiper en conséquence, à condition bien sur d'assurer la disponibilité des produits et effets, aux prix courants? Il y a des citoyens qui sont rendus inquiets par l'ampleur que tend à prendre ce phénomène en Algérie et à travers le monde. Cette inquiétude légitime demande à être suivie pour être bien gérée et, apparemment, ce n'est pas le cas quand on voit qu'il y a déjà un manque en équipements préventifs de base dans les officines des pharmacies où ailleurs. Un autre fait est remarquable et c'est celui de la nonchalance de certains citoyens avec un total désintéressement vis-à-vis des mesures de prévention rendues publiques. Sur le net ,via les différentes pages de groupes actifs et pages personnelles de Facebook, il y a profusion d'informations et de discussions dont quelques unes sont fort intéressantes par leurs propositions réalistes comme par exemple la nécessité de faire procéder à des opérations de nettoiement et de désinfection des gares, arrêts de bus, mobiliers urbains, espaces publics, cafés, restaurants, etc…