C'était déjà un bon peintre.
Il devient un grand peintre. Bien sûr, il serait bien difficile d'établir des normes pour l'expression «grand peintre» qui recouvre pourtant une réalité éprouvée. Disons donc que Noureddine Ferroukhi a de très fortes (...)
A deux reprises, en 1969 et 2009, nous avons invité notre continent à Alger pour y montrer ses richesses culturelles. Désormais, c'est lui qui s'invite chez nous pour nous rappeler ses misères de toutes sortes.
Récemment, dans une rue de Kouba, une (...)
A compter de ce jour, Constantine achève son parcours de Capitale de la culture arabe pour le transmettre à la ville tunisienne de Sfax (lire ci-après).
On craignait le pire pour cet événement. D'abord parce qu'il y a toujours du monde chez nous (...)
Mercredi, la salle Ahmed Bey, en clôture de l'événement «Constantine, capitale de la culture arabe 2015», a résonné de la voix sublime de la soprano libanaise, Majda El Roumi, laquelle, outre son talent, est une femme vouée aux justes causes. Mais (...)
Sur les dernières Journées cinématographiques de Mostaganem, notre confrère Mohamed Kali nous livre un compte-rendu révélateur d'une fournée de cinéastes en herbe (lire ci-contre). On y découvre un immense intérêt pour la chose filmée, de la passion (...)
C'est le titre du récent essai de Thierry Perret, ancien journaliste, auteur de plusieurs ouvrages sur l'Afrique, bien connu en Algérie puisqu'il y a été attaché culturel de l'ambassade de France de 2010 à 2014.
A partir de son vécu dans notre pays (...)
C'est par ce singulier et ce pluriel qu'on désigne la ou les fautes commises dans un article ou un ouvrage et que l'on attribue parfois à une maladresse typographique pour ne pas avoir à reconnaître une bévue d'écriture. Par la force de l'usage, le (...)
Ici, au Palais des Expositions de la Porte de Versailles, au sud-ouest de la capitale française, en dépit d'un temps radieux durant les deux premiers jours, on est loin des vagues humaines du Salon international du livre d'Alger.
La foule est (...)
Lors du dernier Salon du Livre de Paris qui s'est achevé dimanche dernier (lire ci-contre), le Centre national du Livre fêtait son anniversaire. Beaucoup découvraient avec surprise que cette institution culturelle française atteignait ses 70 ans (...)
Comment la citoyenneté peut-elle engendrer des traditions culturelles modernes qui viennent prolonger un patrimoine ancien ?
C'est un peu à cette question que répond la Fête de l'Eau de Toudja dont la septième édition aura lieu le 26 mars prochain. (...)
Vous souvenez-vous de la devinette qui consistait à découvrir comment faire traverser une rivière à une chèvre, un loup et une salade, avec un seul passager par traversée, en évitant que l'un des deux restants dévore l'autre ? Elle avait amusé notre (...)
Par l'un de ces improbables concours de la providence impliquant des relations amicales, je me suis trouvé en possession d'une petite cargaison de makroutes de Mila. Avant même de les goûter, j'ai savouré le fait que nous puissions encore entretenir (...)
Avec sa réédition, l'ouvrage de notre confrère et aîné, Hocine Mezali, Alger, 32 ans d'histoire* a pris du volume si l'on peut dire avec une facture graphique plus cossue qui le destine à durer davantage.
Ce faisant, il n'a pas pris une ride depuis (...)
Comparativement à la musique, à l'édition et surtout au cinéma qui ont généré dans le monde des industries culturelles puissantes, accédant à la dimension de multinationales, les arts plastiques, malgré leur marchandisation accrue, sont demeurés, (...)
Le Festival international du Conte d'Oran, entièrement conçu et porté par la remarquable association «Le Petit Lecteur» (promotion de la lecture chez l'enfant) avec quelques soutiens essentiellement locaux, met les dernières touches à sa dixième (...)
La première fois que j'ai lu Umberto Eco, décédé le 19 février dernier, c'était à dix mille mètres d'altitude. J'avais trouvé dans la librairie d'un aéroport ce livre au titre amusant : Comment voyager avec un saumon ? Je ne savais rien de son (...)
Sous le ciel pluvieux de Paris se pressent des milliers de silhouettes sombres que rien ne semble dérider, pas même les messages d'amour, drôles ou émouvants, lancés par des particuliers sur les panneaux d'affichage électroniques de la ville, Saint- (...)
Le métier de journaliste culturel est assurément passionnant. Je l'affirme en pensant que tout métier, pour peu qu'il soit aimé par celui qui le pratique, mérite l'admiration. Mon grand-père était paysan et il était convaincu de la hauteur de la (...)
Dans la production éditoriale nationale, les témoignages et mémoires sont devenus, ces dernières années, un genre pour le moins prolifique, sans doute plus fourni que celui de la littérature dans ses différents volets.
On sent comme une urgence dans (...)
Quelle belle pensée que celle de l'écrivain argentin Jorge Luis Borges qui affirmait : «Que d'autres se targuent des pages qu'ils ont écrites ; moi je suis fier de celles que j'ai lues». Et quelle belle idée a eu Arezki Metref de la placer en (...)
Dernièrement – et c'est triste –, c'est une panne de parabole qui m'a conduit à revoir la Télévision nationale. Celle que l'on appelle encore l'Unique alors qu'elle ne l'est plus depuis longtemps, bien qu'elle demeure unique en son genre.
Celle que (...)
Après son décès, le 15 juillet 1988, nous avions écrit un article dans Algérie-Actualités intitulé «Le Prince populaire», car Mohamed Temmam était assurément un aristocrate de l'art et de la vie qui ignorait toute fanfaronnade, simple comme peut (...)
Plus que quelques jours pour vous rendre au musée du MaMa pour la septième édition du FIAC (Festival international d'art contemporain) qui réunit des artistes de trois continents et s'achèvera jeudi prochain.
Sous le titre collectif de (...)
Qui a dit «La culture, c'est la meilleure réponse à la crise» ? Une idée que nous avons toujours défendue ici, bien avant que le baril de pétrole n'emprunte les escaliers de secours de l'immeuble Algérie. Avez-vous remarqué d'ailleurs que lorsqu'on (...)
Le design algérien demeure bien méconnu. Si, à l'étranger, quelques grands noms se sont imposés (Abdi, Gasmi, Yamo et quelques autres), les créateurs restés au pays bénéficient d'une visibilité aléatoire, faute de manifestations et surtout de (...)