L'ancien ministre algérien des affaires étrangères, et ancien représentant du secrétaire général de l'ONU, M.Lakhdar Brahimi a averti jeudi que les pays du Maghreb ne sont pas à l'abri du conflit entre sunnites et chiites qui est à l'origine de la guerre qui secoue depuis plusieurs années des pays comme l'Irak et la Syrie. L'ancien ministre algérien des affaires étrangères, et ancien représentant du secrétaire général de l'ONU, M.Lakhdar Brahimi a averti jeudi que les pays du Maghreb ne sont pas à l'abri du conflit entre sunnites et chiites qui est à l'origine de la guerre qui secoue depuis plusieurs années des pays comme l'Irak et la Syrie. S'exprimant depuis l'université d'Oran à l'occasion de sa décoration du titre docteur honoris causa, M.Lakhdar Brahimia appelé les dirigeants des pays du Maghreb à prendre conscience que les conséquences du conflit opposant des sunnites aux chiites peuvent apparaître dans leurs pays et leurs sociétés. Il n'a pas manqué de rappeler que la fitna née de ce conflit expose depuis des années des pays comme l'Irak, la Syrie et le Yémen à la situation de guerre interminable. Et c'est ce même conflit qui a enfanté le désarroi et le dénuement total de peuples entiers. L'ancien envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie n'a pas manqué aussi de souligner que c'est cette fitna entre sunnites et chiites qui a été à l'origine ou a provoqué l'intervention des puissances étrangères dans ces pays. Pour l'ancien diplomate algérien, les universitaires des pays du Maghreb devraient s'intéresser davantage à de tels phénomènes en entreprenant des travaux susceptibles d'apporter des solutions ou du moins immuniser leurs sociétés contre ce genre de conflit duquel ne résultent que les divisions et les guerres pouvant les anéantir. S'exprimant depuis l'université d'Oran à l'occasion de sa décoration du titre docteur honoris causa, M.Lakhdar Brahimia appelé les dirigeants des pays du Maghreb à prendre conscience que les conséquences du conflit opposant des sunnites aux chiites peuvent apparaître dans leurs pays et leurs sociétés. Il n'a pas manqué de rappeler que la fitna née de ce conflit expose depuis des années des pays comme l'Irak, la Syrie et le Yémen à la situation de guerre interminable. Et c'est ce même conflit qui a enfanté le désarroi et le dénuement total de peuples entiers. L'ancien envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie n'a pas manqué aussi de souligner que c'est cette fitna entre sunnites et chiites qui a été à l'origine ou a provoqué l'intervention des puissances étrangères dans ces pays. Pour l'ancien diplomate algérien, les universitaires des pays du Maghreb devraient s'intéresser davantage à de tels phénomènes en entreprenant des travaux susceptibles d'apporter des solutions ou du moins immuniser leurs sociétés contre ce genre de conflit duquel ne résultent que les divisions et les guerres pouvant les anéantir.
