Selon le sous-directeur de l'assainissement au niveau de la direction de l'hydraulique, l'étude en question vise à déterminer le type de procédé d'épuration qui sera mis en place pour les cinq communes côtières, à l'exception de Ténès. Le littoral de la wilaya que se partagent six communes, sur une longueur de 120 km, aura son propre réseau de traitement des eaux usées. L'étude du procédé d'épuration sera lancée en 2012. L'opération, apprend-on, a été officiellement inscrite et notifiée aux services concernés, dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014. Selon le sous-directeur de l'assainissement au niveau de la direction de l'hydraulique, l'étude en question vise à déterminer le type de procédé d'épuration qui sera mis en place pour les cinq communes côtières, à l'exception de Ténès. Celle-ci disposera de sa propre station de traitement des eaux usées. Il s'agira donc de définir le modèle de système permettant la prise en charge globale de la collecte et du traitement des eaux usées des agglomérations principales et secondaires du littoral. Celles-ci, abritant une population de plus de plus de 150 000 habitants, continuent à déverser tous leurs rejets en mer. Heureusement qu'il n'existe pas dans la région d'unités industrielles polluantes, hormis Ténès où l'oued Allala est devenu le déversoir de la zone industrielle de Sidi Akkacha, située à 5 km au sud de la ville. Pour ce cas précis, l'office national de l'assainissement a prévu la réalisation d'une station d'épuration pour assainir justement les eaux de ce cours d'eau et celles du réseau d'assainissement de la cité. Le projet sera lancé avant la fin de cette année, selon la même source.
