Mis en examen, la semaine dernière, suite à une plainte pour torture, déposée par un citoyen interpellé à la nouvelle ville Ali Mendjeli, située à 20 km de la ville de Constantine, dans le cadre d'une affaire de détention d'arme à feu, quatre éléments de la police judiciaire, dont un officier, ont été libérés lundi dernier. L'on apprend d'une source bien informée que les concernés ont été auditionnés, mardi dernier, par l'inspection générale des services (IGS) de la DGSN, dans l'enquête menée par cette même inspection. Notre source indique que les quatre policiers ont toujours nié catégoriquement tout lien avec cette affaire de torture et ont même désigné un avocat pour exiger leur réhabilitation, s'appuyant sur le rapport du médecin qui a examiné le plaignant et qui n'a signalé aucun signe de sévices corporels. Pour rappel, le citoyen impliqué dans cette affaire a été libéré, alors que le fusil de chasse retrouvé en son domicile après perquisition appartenait à son père qui justifiait d'un permis de port d'arme.