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Suspense
Les travaux d'Hercule (17e partie)
Publié dans Info Soir le 05 - 11 - 2011

Résumé de la 16e partie - Oldfield dit à Poirot que tout le monde l'accuse d'avoir tué sa femme...
Un ulcère de l'estomac.
— Y a-t-il eu une autopsie ?
— Non. Elle souffrait de troubles gastriques depuis très longtemps.
Poirot hocha la tête.
— Oui. Et les symptômes d'une inflammation gastrique et d'un empoisonnement par arsenic sont très semblables... tout le monde sait cela, aujourd'hui.
Au cours des dix dernières années, on a parlé d'au moins quatre affaires sensationnelles, des meurtres dont, les victimes ont été enterrées sans soupçon avec un certificat de troubles gastriques. Votre femme était-elle plus jeune ou plus âgée que vous ?
— Elle avait cinq ans de plus.
— Depuis combien de temps étiez-vous mariés ?
— Quinze ans.
— Avait-elle quelque fortune ?
— Oui. Elle laisse, en gros, trente mille livres.
— Jolie, somme. Elle vous revient ?
— Oui.
— Vous étiez en bons termes, votre femme et vous ?
— Certes.
— Pas de querelles ? Jamais de scènes ?
— Eh bien... (Charles Oldfield hésita.) Ma femme avait ce que l'on pourrait appeler un caractère difficile. C'était une malade, elle s'occupait beaucoup de sa santé et elle était très difficile à satisfaire. Il y avait des jours où rien de ce que je faisais ne lui plaisait.
— Oui, dit Poirot, je connais le genre. Sans doute se plaignait-elle d'être négligée, inconnue... d'avoir un mari qui serait heureux si elle mourait.
Le visage du médecin montra avec éloquence que Poirot avait vu juste.
— C'est exactement cela, reconnut-il avec un sourire sans joie.
— Avait-elle une infirmière pour prendre soin d'elle ? Ou une dame de compagnie, une femme de chambre dévouée ?
— Une infirmière-dame de compagnie. Une femme très intelligente et compétente. Vraiment, je ne crois pas qu'elle bavarderait.
— Le Bon Dieu a donné une langue à ce genre de femmes comme aux autres et elles ne l'emploient pas toujours avec sagesse. J'en suis persuadé, la garde-malade a parlé, la bonne a parlé, tout le monde a parlé ! Vous avez là le matériel idéal pour donner le point de départ à un délicieux scandale de village. Une autre question. Qui est la femme ?
— Je ne vous comprends pas, répondit Oldfield vivement.
— Mais oui, insista Poirot avec douceur. Je vous demande qui est la femme avec laquelle on a associé votre nom.
Le médecin se leva, le visage sévère, l'air froid.
— Il n'y a pas de femme dans cette affaire ! Je suis désolé, monsieur Poirot, d'avoir abusé de votre temps.
Puis il se dirigea vers la porte.
— Je le regrette, moi aussi, constata le détective. (A suivre...)


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