«On ne peut plus tolérer que des fous du volant tuent des innocents et soient jugés pour homicide involontaire. Ceux qui tuent avec leur véhicule sont tout aussi criminels que ceux qui tuent avec un poignard.» Ces propos tenus par le colonel Douaghi expriment sa volonté de voir les pouvoirs publics moins conciliants avec les chauffards. Criminaliser les accidents de la route est un moyen non négligeable, selon lui, pour dissuader les fous du volant de continuer à semer la mort sur nos routes. Il en appelle donc aux autorités compétentes.