Résumé de la 28e partie n Sabrina est seule à la maison. Elle reçoit Mohammed, et ils se rappellent les moments douloureux de la fin de son père. Elle se lève. — ce salon me rappelle trop de souvenirs ! Ils vont dans le jardin. — c'est l'endroit que j'aime le plus ! — Moi aussi, dit Mohammed. Elle regarde les arbres, les massifs de rosiers. — il faut dire que ton père soigne bien le jardin ! — il le fait avec amour! Ils se promènent. — mon Dieu, dit Sabrina, comme l'air est agréable à respirer ! — il y a une chose que tu ne dois pas connaître de ce jardin, dit Mohammed. Sabrina le regarde. — dis-moi de quoi il s'agit…? — la nuit… Tu n'es jamais venue là ? — non, avoue-t-elle. — eh bien, la nuit, c'est une autre ambiance. On entend le bruit des feuillages, des cris… — des animaux ? — sans doute… Il faudra que tu viennes… — j'essayerai ! Ils s'approchent d'un bosquet. Elle s'appuie contre un arbre. — La vie ne vaut pas la peine d'être vécue ! soupire-t-elle. — mais pourquoi ? demande-t-il. — tout est question d'intérêt dans ce bas monde. On ne vit que pour l'argent… Personne ne vous aime ! Il la regarde. — et moi ? dit-elle... Il la regarde. — toi, c'est différent… Il la prend par la main. — Sabrina, je t'aime ! Elle le regarde, effrayée. — ne me repousse pas, s'il te plaît ! — non, non, dit-elle, je ne te repousse pas ! Elle l'enlace. Il tombe à ses genoux. — je t'aime ! — relève-toi… Il se relève. Elle lui donne la main. — je voudrai rentrer ! — dis-moi que tu m'aimes… — Oui..., dit-elle. (à suivre...)