Outre certainement la mobilisation des moyens techniques soutenus par la disponibilité des potentialités humaines sélectionnées en vue d'activer une association, néanmoins, il n'en demeure pas que l'unique condition sine qua non pour la réussite d'une association, est bel et bien, de gouverner par une bonne communication en interne comme en externe. Il s'agit de concevoir l'exécution du programme d'action préalablement sur des espaces ouverts dédiés à la réflexion puis opérer postérieurement sur une stratégie de communication jadis établie. Dans cette ébauche, nous dévoilons scrupuleusement une expérience d'un militant associatif chevronné d'une expérience résignée entre les acteurs potentiels axés entre l'administration compétente dédiée et les franges de la société civile. Quels sont les éléments conditionnels nécessaires ? Comment réussir à résoudre une problématique aiguë située entre trois acteurs complémentaires mais conditionnés, à savoir, une administration, la société civile et l'association au centre ? La communication en prérogative ! La communication doit servir des objectifs tangibles : «Outre d'agir activement en intrinsèque de booster la cohésion sociale et épargner la jeunesse d'être préparer ou se connecter aux phénomènes toxiques et indésirables ainsi que leur préparation en matière d'insertion et d'intégration socioprofessionnelle, cette faculté de communication servant les objectifs doit être illustrée par un esprit éveillé au diapason de la conjoncture politique et socio-économique et arc-bouter une réflexion extensible pour élargir les rangs d'adhésion contre toutes formes de dispersion ou de désunion qui peuvent nuire au panel original jadis constitué et à la visibilité tranquille du collectif», s'avère souvent une réaction fondamentale. «Pour se faire, le Président en atout et les membres du bureau comme soutien, réagissent, à tout moment opportun et sur la même lignée», en convergence envers des potentialités individuelles existantes comme jalonnement et de surcroît, d'en attirer d'autres compétences favorables et inscrites au diapason du projet entrepris. Elle conduit à développer et faire connaître votre association ! Loin d'être coincée entre toutes les allégations et interprétations fallacieuses et désengagement volontaire, la meilleure référence demeure de se conformer au statut dont lequel les objectifs, la forme d'organisation et celle de fonctionnement, l'élaboration des documents de base inhérents au plan de charges et programme d'action et incitation à la participation active des adhérents. A titre illustratif, engager une activité de volontariat, il est primordial d'élargir les rangs d'adhésion. Cela se fait actuellement, outre l'acharnement aux outils et moyens des technologies d'information et leur corollaire, mais aussi grâce aux actions de mobilisation, de sensibilisation et vulgarisation du fonds du programme projeté à l'avenir grace aux événements et manifestations de proximité. -Construire une stratégie de communication : Cette stratégie est liée aux formes communicationnelles suggérées, l'une est connue ascendante et l'autre est mal admise descendante. Dans le mouvement associatif, le fonctionnement en horizontal est le mieux adopté contre le rituel de réticence et de rétention d'information, sans barrières administratives ou l'honneur de la hiérarchie mécanique, la stratégie répond aux soucis sociétaux. C'est que l'adhérent est latéralement informé au bon moment par le biais de tableau d'affichage mis en relief au sein du local domiciliataire ; les suggestions de tous bords exigent leurs prise en charge et inscrites dans le temps pour leurs mises en œuvre au moment opportun et les conditions de participation doivent être établies auparavant, sans exclusion et rechercher les profils nécessaires et ce, en vue de booster les chances de succès. Car, cela relève de l'image de marque de l'association. Autrement dit, la liberté d'accès à l'information et le traitement équitable des adhérents et la transparence de la gestion financière, constituent un paramètre de satisfaction de l'adhérent comme contribue à la pérennité de fonctionnement de l'association. Effilement, provoquer des rencontres périodiques orientées vers la réflexion, l'évaluation et audit, la récompense concourent envers la cohésion sociale et suscitera l'appartenance au collectif. Ceux-ci activent instinctivement les énergies à réagir vite et bien devant toutes actions mises en exercice pratique à tout moment, sans affronter de prétextes insidieux de désengagement prémédité. En matière d'organisation, se constituer en groupes de travail en partageant les missions statutaires ou thématiques majeurs et définir les fiches de postes pour chaque membre structuré et désigner des interlocuteurs, incitent que chacun accomplisse soigneusement sa besogne initiale sans se confondre ou se mêler en chevauchement avec autrui. Un autre fait remarquable, en matière de collaboration, partenariat et coopération, l'association comme partenaire social réagit vis-à-vis de l'administration et bailleurs de fonds nationaux et internationaux. Cet axe est d'une importance majeur dans ses dimensionnements de réalisation et octroi de subventions. Le contact doit être permanent et fructifié devant non seulement de s'accaparer du renseignement sur les programmes suggérés à son profit et appels à manifestations proposés Pour mettre en place une stratégie de communication, il faut respecter les étapes suivantes : -Définir les orientations stratégiques de l'association : il s'agit de cerner son étendue géographique, national, régional ou local, axer l'intervention et la présence de l'association sur le terrain par des actions concrètes laissant une empreinte chez la société civile. Pérenniser l'existence de l'association par une communication associative en désignant les relais ou focus group en perpétuelle activité en profondeur, sans creux ; -Identifier ses publics cibles : si votre thématique principale sur laquelle l'association est crée touche au volontariat, l'action est dirigée principalement vers toutes les franges de la société, constituer des fichiers des participants aux activités et les faire intégrer comme adhérents potentiels et de travailler de sorte à avoir un feed back et organiser des rencontres de prise de contact entre les adhérents et les groupes locaux et, de surcroît, opérer par des inter échanges. -Définir son identité et travailler son triangle d'image : en toute clarté, l'identité et l'image de marque sont deux atouts sur lesquels l'association se fonde en priorité. L'identité reflète le dévouement de l'adhérent par son engagement par rapport aux objectifs de l'association. Il incarne l'esprit associatif perpétré au fil des temps par des anciens membres et la culture propagée ou acquise et partagée entre les différentes franges ou catégories de membres actifs. Quant à l'image ou le triangle de marque, se constitue au fur et à mesure de la réalisation des actions, atteinte des objectifs et le degrés de satisfaction des adhérents et la société. Quel est le profit tiré d'une activité organisée en direction d'un centre de personnes âgées en matière d'assistance humanitaire et ancrage de divertissement ? C'est à travers l'acte visible à l'enceinte du centre qui détermine l'image de marque en interne qu'en externe vis-à-vis des autorités compétentes et la société par leur représentants présents. Aussi, célébrer un événement historique par rendre hommage à un Moujahid, est une activité rhétorique appréciée par l'ensemble. L'image de marque se soigne continuellement. -Construire sa notoriété qui est ancrée principalement à partir de votre présence sur le terrain. Elle sera distinguée par son dynamisme et activation. La notoriété se définit par la déférence ou distinction entre le mouvement associatif constituant le paysage fragmentée au sein de la société. -Sélectionner ses objectifs de communication. Exemple : recruter ou fidéliser des bénévoles, décrocher des subventions, se faire connaître à travers des médias, trouver des sponsors, assurer la cohésion, faire face à une crise sont autant d'éléments constitutifs qui gravitent autour des objectifs à réaliser. -Formuler les messages à faire passer : il s'avère à partir des slogans, le label à titre illustratif, pour un village propre ! que la mobilisation des capacités d'agir se développe et se maintienne dans l'objectif de transmission d'un message de succès à l'avenir comme un rêve qui se réalise au lendemain de réveil. -Mettre en place des outils ou des actions en fonction des messages : outiller les volontaires des moyens affectés sur mesure en protégeant leur santé et plus de sécurité entre les volontaires en misant essentiellement sur la collaboration et l'entraide. L'adéquation message-actions mène sans doute à une satisfaction collective du point de vue psychologique et social. -Faire une évaluation des actions et des outils : il s'agit d'une étape cruciale et charnière dans la réussite pour soulever les points forts et les faiblesses enregistrées. A ce niveau, un audit devient nécessaire. En conclusion, émettre une série de recommandations pour pallier aux lacunes s'avère un saut qualitatif. Les uns comme les autres doivent se soumettre et avancer en douceur et sans heurter des esprits qui présentent la résistance aux changements. Pour cela l'élément formation intervient comme remède et facteur d'incarnation et de posture au sein du groupe. -Réfléchir aux fondamentaux de l'association : c'est, à cet instant, que les fondateurs secondé par des experts que l'association prendra forme et acte ou bien se dégringole en creux de démon ; les fondamentaux signifient en somme l'esprit spirituel ou âme constituant l'association en dehors de son corps physique. Resserrer les rangs et lutter contre la déperdition, mener un combat pour une cohésion nationale, accomplir loyalement son devoir vis-à-vis de la collectivité, afficher sa citoyenneté et civisme, être au chevet des nécessiteux, lutter contre la pauvreté et pour un environnement sain, etc., sont autant de facteurs de réussite. Telle est l'économie des fondamentaux de l'association. -Pour établir la stratégie de communication de votre association, il faut donc pouvoir identifier clairement ses objectifs par une réponse juste et légale à une série de questions suivantes : à quoi sert votre association ? Qui êtes-vous ? Quel est votre public ? Où voulez-vous aller ? Quelle est votre politique de développement ? A titre d'exemple : une association caritative intervient à l'assistance aux enfants autistes, nécessite l'adhésion des médecins et des parents et des bienfaiteurs pour leur prise en charge en matière de mobilisation et de revendication des droits légitimes, agir dans l'esprit de rendre le sens d'écoute aux malades sans retards pour leur scolarisation parfaite, axer la recherche et les moyens d'intervention comme politique de développement en s'inscrivant dans la logique ou optique de l'action gouvernementale. (A suivre) Nadir Hama Dpgs en Management