N'ayant toujours pas résilié son contrat avec la JSK, Norredine Saâdi pose un véritable problème à la direction du club kabyle qui n'arrive pas à qualifier son nouvel entraîneur Bouzidi. Ce dernier ne pourra donc pas diriger sa nouvelle équipe, à partir du banc de touche, ce vendredi, si l'ex-coach de la JSK campe sur sa position. La direction kabyle vient d'adresser une demande de dérogation à la Ligue professionnelle pour permettre à Bouzidi de bénéficier d'une licence l'autorisant à avoir accès à la main courante. Sitôt après avoir appris que la direction de la JSK a envoyé une demande de dérogation permettant à Bouzidi d'accéder à la main courante, les Harrachis viennent de réagir pour mettre en garde l'instance chargée de la gestion de la compétition, contre une décision favorable au profit du club kabyle. «Cette même ligue nous a refusé notre demande de dérogation pour Abbès» Par le biais de son porte-parole, l'USMH avait déjà sollicité la Ligue pour demander une dérogation pour Abbès, lui permettant de diriger l'équipe à partir du banc de touche. La demande de l'USMH avait été rejetée par la LNF. Ce que nous a confirmé le porte-parole officiel de l'USMH, Djaafar Bouslimani. «Il y a un mois presque, la LNF avait refusé notre demande de dérogation pour Abbès. Donc il est inadmissible que cette même Ligue accepte de délivrer une dérogation pour Bouzidi, tant que Saâdi n'a pas résilié son contrat», nous a déclaré Bouslimani, avant d'ajouter concernant le silence de la FAF suite aux déclarations de Bakiri : «On attend toujours une réaction de la FAF qui n'a pas encore réagi aux déclarations de Bakiri. Cela nous pousse à nous interroger sur ce silence.»
