Chaque lundi, la localité de Boumahra-Ahmed est investie par des nuées de visiteurs issus de divers horizons, venus effectuer leurs emplettes au marché hebdomadaire. Ce marché, très prisé en raison des prix pratiqués qui défient toute concurrence, regroupe des commerçants informels qui installent leurs étals sur la voie publique, à même les trottoirs. Chaque lundi, la localité de Boumahra-Ahmed est investie par des nuées de visiteurs issus de divers horizons, venus effectuer leurs emplettes au marché hebdomadaire. Ce marché, très prisé en raison des prix pratiqués qui défient toute concurrence, regroupe des commerçants informels qui installent leurs étals sur la voie publique, à même les trottoirs. Distante d'une dizaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya, traversée par la RN 20 qui la relie à Bouchegouf, la localité de Boumahra-Ahmed, qui abrite une quinzaine de milliers d'âmes, est investie, chaque lundi matin, par des nuées de visiteurs issus de divers horizons, venus effectuer leurs emplettes au marché hebdomadaire. Implanté dans un quartier périphérique, ce centre commercial, très prisé, regroupe des commerçants exerçant avec des camionnettes, des fourgons et divers véhicules qui installent leurs étals sur la voie publique et les trottoirs puisque la commune est consentante. Les stands qui attirent le maximum de clientèle sont indéniablement ceux de la friperie où ce sont surtout les familles et la gent féminine qui sont les plus fidèles. En effet, ces dernières n'hésitent pas à dénicher des articles de bonne qualité et parfois portant un label célèbre. Ces clientes avisées et faisant preuve de professionalisme et de patience découvrent des robes, jupes, tailleurs, pulls, manteaux, pyjamas, chemisiers, pantalons, escarpins, botillons qui n'ont rien à envier à ceux exposés dans des magasins spécialisés. Quelques billets de banque suffisent à ces dames et jeunes filles qui peuvent renouveler à moindres frais leur garde-robe et leur fidélité s'avère payante car les fripiers leur mettent de côté les meilleurs effets. La gent masculine saisit cette opportunité pour acquérir des pantalons, costumes, manteaux, chemises, pulls, survêtements, chaussures, palladiums, brodequins et autres à des tarifs dérisoires. Les enfants sont habillés de la tête aux pieds, sachant que la facture n'excèdera pas les mille dinars. Les clients sont issus de diverses couches sociales et ce n'est plus un tabou de se rendre dans des friperies ambulantes car le pouvoir d'achat des salariés a nettement chuté ces dernières années. Dans ce souk, la ménagère peut remplir son panier puisque les légumes, fruits, viandes blanches, rouges, produits laitiers, poissons sont disponibles en abondance et les prix sont abordables. C'est une véritable caverne d'Ali Baba puisque l'on trouve de tout : articles de menuiserie, quincaillerie, droguerie, mercerie, cosmétiques, confiserie, électro-ménager, alimentation générale, meubles, tapisserie, linge de maison, literie, etc. De toute évidence, les prix sont attractifs et défient toute concurrence et il est possible de marchander pour arracher un objet tant convoité. Le bouche à oreille a fonctionné à merveille et c'est la raison pour laquelle ce marché hebdomadaire s'est imposé dans la région car il rend d'appréciables services à la population laminée par les effets de la crise économique. H. B. Distante d'une dizaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya, traversée par la RN 20 qui la relie à Bouchegouf, la localité de Boumahra-Ahmed, qui abrite une quinzaine de milliers d'âmes, est investie, chaque lundi matin, par des nuées de visiteurs issus de divers horizons, venus effectuer leurs emplettes au marché hebdomadaire. Implanté dans un quartier périphérique, ce centre commercial, très prisé, regroupe des commerçants exerçant avec des camionnettes, des fourgons et divers véhicules qui installent leurs étals sur la voie publique et les trottoirs puisque la commune est consentante. Les stands qui attirent le maximum de clientèle sont indéniablement ceux de la friperie où ce sont surtout les familles et la gent féminine qui sont les plus fidèles. En effet, ces dernières n'hésitent pas à dénicher des articles de bonne qualité et parfois portant un label célèbre. Ces clientes avisées et faisant preuve de professionalisme et de patience découvrent des robes, jupes, tailleurs, pulls, manteaux, pyjamas, chemisiers, pantalons, escarpins, botillons qui n'ont rien à envier à ceux exposés dans des magasins spécialisés. Quelques billets de banque suffisent à ces dames et jeunes filles qui peuvent renouveler à moindres frais leur garde-robe et leur fidélité s'avère payante car les fripiers leur mettent de côté les meilleurs effets. La gent masculine saisit cette opportunité pour acquérir des pantalons, costumes, manteaux, chemises, pulls, survêtements, chaussures, palladiums, brodequins et autres à des tarifs dérisoires. Les enfants sont habillés de la tête aux pieds, sachant que la facture n'excèdera pas les mille dinars. Les clients sont issus de diverses couches sociales et ce n'est plus un tabou de se rendre dans des friperies ambulantes car le pouvoir d'achat des salariés a nettement chuté ces dernières années. Dans ce souk, la ménagère peut remplir son panier puisque les légumes, fruits, viandes blanches, rouges, produits laitiers, poissons sont disponibles en abondance et les prix sont abordables. C'est une véritable caverne d'Ali Baba puisque l'on trouve de tout : articles de menuiserie, quincaillerie, droguerie, mercerie, cosmétiques, confiserie, électro-ménager, alimentation générale, meubles, tapisserie, linge de maison, literie, etc. De toute évidence, les prix sont attractifs et défient toute concurrence et il est possible de marchander pour arracher un objet tant convoité. Le bouche à oreille a fonctionné à merveille et c'est la raison pour laquelle ce marché hebdomadaire s'est imposé dans la région car il rend d'appréciables services à la population laminée par les effets de la crise économique. H. B.
