Laâziv (Naciria), une commune située à une quarantaine de kilomètres à l'est de chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, était, hier ville morte. La population locale, a observé, durant toute la journée d'hier, une grève générale en signe de solidarité avec la famille du jeune S. Djazairi, tué accidentellement dans un barrage de contrôle militaire au village Imaghninen. Pratiquement tous les commerçants de la ville ont baissé rideau. Les commerces domiciliés au niveau de l'artère principale sont également restés fermés durant toute la journée. Aucune échoppe où cafétéria n'était ouverte. Un climat de tristesse et d'émotion planait sur la ville. N'était-ce l'intervention des notables, la colère et l'incompréhension ont failli mener à l'émeute après l'enterrement du jeune disparu. Pour rappel, feu S. Djazairi, résidant au village Bouassem (Naciria), a été tué accidentellement par un militaire au niveau d'un barrage militaire sur le CW 107. La victime a malheureusement succombé à ses blessures à l'hôpital Nedir- Mohamed de Tizi-Ouzou. L'ami qui était en sa compagnie au moment du drame est toujours sous le choc. Ce dernier avait pour tâche le ravitaillement en pain des militaires T. O. Laâziv (Naciria), une commune située à une quarantaine de kilomètres à l'est de chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, était, hier ville morte. La population locale, a observé, durant toute la journée d'hier, une grève générale en signe de solidarité avec la famille du jeune S. Djazairi, tué accidentellement dans un barrage de contrôle militaire au village Imaghninen. Pratiquement tous les commerçants de la ville ont baissé rideau. Les commerces domiciliés au niveau de l'artère principale sont également restés fermés durant toute la journée. Aucune échoppe où cafétéria n'était ouverte. Un climat de tristesse et d'émotion planait sur la ville. N'était-ce l'intervention des notables, la colère et l'incompréhension ont failli mener à l'émeute après l'enterrement du jeune disparu. Pour rappel, feu S. Djazairi, résidant au village Bouassem (Naciria), a été tué accidentellement par un militaire au niveau d'un barrage militaire sur le CW 107. La victime a malheureusement succombé à ses blessures à l'hôpital Nedir- Mohamed de Tizi-Ouzou. L'ami qui était en sa compagnie au moment du drame est toujours sous le choc. Ce dernier avait pour tâche le ravitaillement en pain des militaires T. O.
