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Poteaux électriques à hauts risques
Danger à Bourouba
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 03 - 2010

Depuis l'effondrement d'un poteau électrique sur un citoyen, qui s'en est sorti miraculeusement, les habitants de Boubsila et de La Glacière ne cessent d'interpeller les services de Sonelgaz pour le remplacement de ces poteaux installés depuis près d'un demi-siècle.
Depuis l'effondrement d'un poteau électrique sur un citoyen, qui s'en est sorti miraculeusement, les habitants de Boubsila et de La Glacière ne cessent d'interpeller les services de Sonelgaz pour le remplacement de ces poteaux installés depuis près d'un demi-siècle.
La commune de Bourouba, située au sud-ouest de la capitale, bien qu'elle ait connu ces quelques dernières années une grande expansion, reste toujours en marge du développement urbain et manque pratiquement de tout en matière de commodités de vie. Déficit d'infrastructures, dégradation des routes et grave manque en matière d'aménagement urbain et d'urbanisation et surtout absence de tout projet à court terme. Plusieurs quartiers en dépit de leur densité démographique sont toujours privés des conditions essentielles pour une vie décente. Les habitants des Eucalyptus, l'un des quartiers de cette localité oubliée par la civilisation, se plaignent de la situation catastrophique que connaît leur quartier malgré leurs maintes et maintes doléances auprès des autorités locales. Les immeubles de ce quartier accusent un dangereux délabrement en l'absence de tout entretien ou réhabilitation. «Les services de la commune avaient programmé le réaménagement de notre quartier voilà plus de huit ans, mais rien n'a hélas été fait jusqu'à ce jour. Nos balcons s'effritent, nos murs et nos plafonds se fissurent dans une indifférence coupable. Que dire des escaliers de nos immeubles complètement détériorés...», nous affirment des habitants de ce quartier. Ces derniers ont même fait appel aux services de l'Office de promotion et de gestion immobilière de Hussein Dey leur demandant d'intervenir pour tenter de sauver ce qui peut l'être encore, «mais sans aucune réponse à ce jour», nous diront-ils avec amertume. Ces derniers ajoutent : «Nous avons pourtant expliqué aux services de l'OPGI que nous sommes disposés à participer financièrement à l'opération de réaménagement de nos immeubles. Nous demandons simplement la présence de leurs agents pour superviser nostravaux, attendu que vous n'êtes pas sans ignorer que les services de l'OPGI interdisent toute transformation sans leur aval et intervention». Des habitants d'autres quartiers de cette même localité, quant à eux, dénoncent la lenteur enregistrée par les travaux de réhabilitation et de goudronnage des routes et ruelles devenues pratiquement impraticables. L'autre problème qui vient s'ajouteé à tous ceux déjà énumérés et qui est loin d'être le moindre est celui signalé par les habitants des quartiers Boubsila et La Glacière, à savoir le risque d'effondrement des poteaux électriques remontant à plus de quarante ans. Des habitants de ces quartiers nous disent avoir souffert durant toute la saison hivernale des causes des récurrentes masses électriques qui peuvent très facilement provoquer des incendies. Il faut dire que ces habitants sont encore traumatisés par l'effondrement d'un poteau l'an dernier sur un habitant qui s'en est miraculeusement sorti indemne. «Les services de Sonelgaz ont été contactés à plusieurs reprises, mais il semble qu'ils fassent la sourde oreille à nos appels incessants», nous diront nos interlocuteurs. Les résidants de La Glacière se joignent à leurs voisins pour dénoncer leurs conditions déplorables de vie, jugées déplorables, et demandent aux autorités locales de prêter un minimum d'attention à cette commune oubliée par la civilisation. Nos interlocuteurs se déclarent «fatigués devant l'ampleur et la multitude des problèmes qui font de leur vie une lutte au quotidien».
C.K.
La commune de Bourouba, située au sud-ouest de la capitale, bien qu'elle ait connu ces quelques dernières années une grande expansion, reste toujours en marge du développement urbain et manque pratiquement de tout en matière de commodités de vie. Déficit d'infrastructures, dégradation des routes et grave manque en matière d'aménagement urbain et d'urbanisation et surtout absence de tout projet à court terme. Plusieurs quartiers en dépit de leur densité démographique sont toujours privés des conditions essentielles pour une vie décente. Les habitants des Eucalyptus, l'un des quartiers de cette localité oubliée par la civilisation, se plaignent de la situation catastrophique que connaît leur quartier malgré leurs maintes et maintes doléances auprès des autorités locales. Les immeubles de ce quartier accusent un dangereux délabrement en l'absence de tout entretien ou réhabilitation. «Les services de la commune avaient programmé le réaménagement de notre quartier voilà plus de huit ans, mais rien n'a hélas été fait jusqu'à ce jour. Nos balcons s'effritent, nos murs et nos plafonds se fissurent dans une indifférence coupable. Que dire des escaliers de nos immeubles complètement détériorés...», nous affirment des habitants de ce quartier. Ces derniers ont même fait appel aux services de l'Office de promotion et de gestion immobilière de Hussein Dey leur demandant d'intervenir pour tenter de sauver ce qui peut l'être encore, «mais sans aucune réponse à ce jour», nous diront-ils avec amertume. Ces derniers ajoutent : «Nous avons pourtant expliqué aux services de l'OPGI que nous sommes disposés à participer financièrement à l'opération de réaménagement de nos immeubles. Nous demandons simplement la présence de leurs agents pour superviser nostravaux, attendu que vous n'êtes pas sans ignorer que les services de l'OPGI interdisent toute transformation sans leur aval et intervention». Des habitants d'autres quartiers de cette même localité, quant à eux, dénoncent la lenteur enregistrée par les travaux de réhabilitation et de goudronnage des routes et ruelles devenues pratiquement impraticables. L'autre problème qui vient s'ajouteé à tous ceux déjà énumérés et qui est loin d'être le moindre est celui signalé par les habitants des quartiers Boubsila et La Glacière, à savoir le risque d'effondrement des poteaux électriques remontant à plus de quarante ans. Des habitants de ces quartiers nous disent avoir souffert durant toute la saison hivernale des causes des récurrentes masses électriques qui peuvent très facilement provoquer des incendies. Il faut dire que ces habitants sont encore traumatisés par l'effondrement d'un poteau l'an dernier sur un habitant qui s'en est miraculeusement sorti indemne. «Les services de Sonelgaz ont été contactés à plusieurs reprises, mais il semble qu'ils fassent la sourde oreille à nos appels incessants», nous diront nos interlocuteurs. Les résidants de La Glacière se joignent à leurs voisins pour dénoncer leurs conditions déplorables de vie, jugées déplorables, et demandent aux autorités locales de prêter un minimum d'attention à cette commune oubliée par la civilisation. Nos interlocuteurs se déclarent «fatigués devant l'ampleur et la multitude des problèmes qui font de leur vie une lutte au quotidien».
C.K.


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