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Les décharges sauvages réapparaissent
Bachdjarrah, cadre de vie
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 07 - 2010

Pour se débarrasser des décharges, les services d'hygiène y mettent le feu au mépris de la santé et du bien-être des riverains. Les fumées de ces ordures brûlées au milieu des cités asphyxient les familles, cela sans parler des relents nauséabonds et des nuées d'insectes qui se refugient à l'intérieur des maisons
Pour se débarrasser des décharges, les services d'hygiène y mettent le feu au mépris de la santé et du bien-être des riverains. Les fumées de ces ordures brûlées au milieu des cités asphyxient les familles, cela sans parler des relents nauséabonds et des nuées d'insectes qui se refugient à l'intérieur des maisons
Après une nette régression, ayant laissé entrevoir une amélioration du cadre de vie, l'insalubrité se réinstalle dans la commune de Bachdjarrah. Les montagnes de détritus réapparaissent dans les quartiers de cette localité. Les quartiers Bachdjarrah I et II restent les plus touchés par ce grand problème. En effet vu leur voisinage avec le marché populaire de légumes et fruits, ces quartiers se transforment quotidiennement en décharges publiques à ciel ouvert. Une situation qui commence à sérieusement menacer la santé des familles. Il est ceratain que l'incivisme de certaines familles contribue à aggraver, un tant soit peu, cette situation. Il faut reconnaitre que l'implication de la population dans la salubrité de leurs quartiers fait de plus en plus défaut puisque à la base l'hygiène et le respect de l' écologie en général sont de simples problèmes d'éducation qu'hélas de nombreux citoyens n'ont pas. L'été coincidant avec les départs en congé, les équipes de NetCom sont moins présentes, selon les habitants de cette commune. «Les services d'hygiène et les équipes de ramassage des ordures se font très rares dans la région et cela surtout depuis le lancement des travaux du métro qui ont coupé la majorité des accès vers les cités de la commune à partir du boulevard principale de Bachdjarrah, coupé pour les travaux. Apparemment les services d'hygiène ont du mal à atteindre nos quartiers puisqu'ils sont obligés de faire un grand détour par la cité des Palmiers ou les Eucalyptus et de ce fait ils font l'impasse sur nos quartiers», nous dira un citoyen en colère face à cette situation. Il faut noter, aussi, toujours selon des citoyens de cette commune que les services d'hygiène ainsi que les agents de l'entreprise NetCom procédent, ces derniers temps, à une nouvelle méthode pour se débarrasser des décharges en y mettant le feu au mépris de la santé et du bien-être des riverains. Les fumées de ces ordures brûlées au milieu des cités asphyxient les habitants sans parler des odeurs inauséabondes et des nuées d'insectes qui se refugient dans les maisons. Il y a de ceal quelques jours les habitants ont été contraints de sortir de chez eux pour protester contre ces actes inconsidérés qui leur pourissent la vie. Les familles nous affirment, en outre, qu'elles font tout pour respecter les directives données en sortant leurs poubelles aux créneaux d'horaires fixés, en respectant les endroits désignés pour le dépôts des ordures ménagères, mais rien n'y fait, nous disent-ils l'insalubrité persiste. D'autre part les habitants des quartiers Bachdjarrah I et II, déplorent la dangereuse dégradation des caves de leurs immeuble d'où débordent les eaux usées, ce qui met en péril la santé publique. Il lancent, dans ce sens, un appel aux autorités compétentes pour intervenir rapidement et mettre un terme à cette situation qui nuit autant à l'environnement qu'à la santé publique. Ils souhaiteraient que les panneaux placardés un peu partout à travers la capitale et appelant à une ville propre et à un environnement meilleur ne soient pas que des slogans vides de sens.
C. K.
Après une nette régression, ayant laissé entrevoir une amélioration du cadre de vie, l'insalubrité se réinstalle dans la commune de Bachdjarrah. Les montagnes de détritus réapparaissent dans les quartiers de cette localité. Les quartiers Bachdjarrah I et II restent les plus touchés par ce grand problème. En effet vu leur voisinage avec le marché populaire de légumes et fruits, ces quartiers se transforment quotidiennement en décharges publiques à ciel ouvert. Une situation qui commence à sérieusement menacer la santé des familles. Il est ceratain que l'incivisme de certaines familles contribue à aggraver, un tant soit peu, cette situation. Il faut reconnaitre que l'implication de la population dans la salubrité de leurs quartiers fait de plus en plus défaut puisque à la base l'hygiène et le respect de l' écologie en général sont de simples problèmes d'éducation qu'hélas de nombreux citoyens n'ont pas. L'été coincidant avec les départs en congé, les équipes de NetCom sont moins présentes, selon les habitants de cette commune. «Les services d'hygiène et les équipes de ramassage des ordures se font très rares dans la région et cela surtout depuis le lancement des travaux du métro qui ont coupé la majorité des accès vers les cités de la commune à partir du boulevard principale de Bachdjarrah, coupé pour les travaux. Apparemment les services d'hygiène ont du mal à atteindre nos quartiers puisqu'ils sont obligés de faire un grand détour par la cité des Palmiers ou les Eucalyptus et de ce fait ils font l'impasse sur nos quartiers», nous dira un citoyen en colère face à cette situation. Il faut noter, aussi, toujours selon des citoyens de cette commune que les services d'hygiène ainsi que les agents de l'entreprise NetCom procédent, ces derniers temps, à une nouvelle méthode pour se débarrasser des décharges en y mettant le feu au mépris de la santé et du bien-être des riverains. Les fumées de ces ordures brûlées au milieu des cités asphyxient les habitants sans parler des odeurs inauséabondes et des nuées d'insectes qui se refugient dans les maisons. Il y a de ceal quelques jours les habitants ont été contraints de sortir de chez eux pour protester contre ces actes inconsidérés qui leur pourissent la vie. Les familles nous affirment, en outre, qu'elles font tout pour respecter les directives données en sortant leurs poubelles aux créneaux d'horaires fixés, en respectant les endroits désignés pour le dépôts des ordures ménagères, mais rien n'y fait, nous disent-ils l'insalubrité persiste. D'autre part les habitants des quartiers Bachdjarrah I et II, déplorent la dangereuse dégradation des caves de leurs immeuble d'où débordent les eaux usées, ce qui met en péril la santé publique. Il lancent, dans ce sens, un appel aux autorités compétentes pour intervenir rapidement et mettre un terme à cette situation qui nuit autant à l'environnement qu'à la santé publique. Ils souhaiteraient que les panneaux placardés un peu partout à travers la capitale et appelant à une ville propre et à un environnement meilleur ne soient pas que des slogans vides de sens.
C. K.


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