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Prolifération des décharges sauvages sur le littoral
Jijel, environnement
Publié dans Le Midi Libre le 01 - 08 - 2010

Ce tableau malsain qu'offre ce spectacle ravageur de l'environnement est visible le long de la corniche où sont jetés pêle-mêle les restes de victuailles après le passage des estivants, donnant l'aspect à ce lieu de détente et d'évasion d'un dépotoir à ciel ouvert.
Ce tableau malsain qu'offre ce spectacle ravageur de l'environnement est visible le long de la corniche où sont jetés pêle-mêle les restes de victuailles après le passage des estivants, donnant l'aspect à ce lieu de détente et d'évasion d'un dépotoir à ciel ouvert.
La problématique environnementale constitue une préoccupation majeure pour de nombreux de nos concitoyens, vu les conséquences de la pollution sur la santé de l'homme.
Comme chaque été, la question de la propreté du littoral et des plages se pose avec acuité.
A Jijel, la diversité paysagère : la mer, la plaine et la montagne qui est d'une rare beauté, reste fort heureusement parmi les plus préservée du pays.
Néanmoins, ces paysages à l'image des plages et autres sites naturels sont constamment agressés par toutes sortes d'objets polluants : plastique, verre et autres rejets domestiques.
Ce tableau malsain qu'offre ce spectacle ravageur de l'environnement est, notamment, visible le long de la corniche où sont jetés pêle-mêle les restes de victuailles, après le passage des estivants, donnant l'aspect à ce lieu de détente et d'évasion d'un dépotoir à ciel ouvert.
Les bacs à ordures érigés, par exemple, le long du trajet entre les communes d'El Aouana et Ziama-Mansouriah, n'ont pas freiné la dégradation de cet espace naturel si fragile.
Un fléau auquel les plages de la wilaya n'ont pas échappé, elles aussi, en dépit de quelques efforts fournis pour débarrasser les lieux de décharges sauvages poussant chaque jour un peu plus.
Cette situation d'insalubrité sur nos plages n'est pas le fait seulement des autorités en charge de ce volet, mais elle incombe en premier lieu au citoyen lambda, qui par insouciance et inconscience contribue grandement à la dégradation de son milieu naturel.
Toutefois quoi que l'on dise, à Jijel la situation est loin d'être alarmante au niveau des 120 km de côte en comparaissant avec certaines plages du pays.
C'est ainsi que les estivants qui choisissent la côte du Saphir Bleu pour passer leurs vacances peuvent se baigner dans une eau limpide et claire. Certains habitants de la région, vivant encore de la nostalgie d'hier, ne cessent d'exprimer leur colère face à la prolifération de ces décharges le long du littoral, accusant tantôt les collectivités locales de laxisme et tantôt les estivants d'incivisme.
Chaque saison estivale c'est la même floraison de déchets divers qui revient, un tapis de toutes sortes de détritus orne les plages de la région.
En conclusion, souhaitons qu'il n'y ait pas de dialogue de sourds entre gouvernants et gouvernés, et que chacun prenne ses responsabilités.
La problématique environnementale constitue une préoccupation majeure pour de nombreux de nos concitoyens, vu les conséquences de la pollution sur la santé de l'homme.
Comme chaque été, la question de la propreté du littoral et des plages se pose avec acuité.
A Jijel, la diversité paysagère : la mer, la plaine et la montagne qui est d'une rare beauté, reste fort heureusement parmi les plus préservée du pays.
Néanmoins, ces paysages à l'image des plages et autres sites naturels sont constamment agressés par toutes sortes d'objets polluants : plastique, verre et autres rejets domestiques.
Ce tableau malsain qu'offre ce spectacle ravageur de l'environnement est, notamment, visible le long de la corniche où sont jetés pêle-mêle les restes de victuailles, après le passage des estivants, donnant l'aspect à ce lieu de détente et d'évasion d'un dépotoir à ciel ouvert.
Les bacs à ordures érigés, par exemple, le long du trajet entre les communes d'El Aouana et Ziama-Mansouriah, n'ont pas freiné la dégradation de cet espace naturel si fragile.
Un fléau auquel les plages de la wilaya n'ont pas échappé, elles aussi, en dépit de quelques efforts fournis pour débarrasser les lieux de décharges sauvages poussant chaque jour un peu plus.
Cette situation d'insalubrité sur nos plages n'est pas le fait seulement des autorités en charge de ce volet, mais elle incombe en premier lieu au citoyen lambda, qui par insouciance et inconscience contribue grandement à la dégradation de son milieu naturel.
Toutefois quoi que l'on dise, à Jijel la situation est loin d'être alarmante au niveau des 120 km de côte en comparaissant avec certaines plages du pays.
C'est ainsi que les estivants qui choisissent la côte du Saphir Bleu pour passer leurs vacances peuvent se baigner dans une eau limpide et claire. Certains habitants de la région, vivant encore de la nostalgie d'hier, ne cessent d'exprimer leur colère face à la prolifération de ces décharges le long du littoral, accusant tantôt les collectivités locales de laxisme et tantôt les estivants d'incivisme.
Chaque saison estivale c'est la même floraison de déchets divers qui revient, un tapis de toutes sortes de détritus orne les plages de la région.
En conclusion, souhaitons qu'il n'y ait pas de dialogue de sourds entre gouvernants et gouvernés, et que chacun prenne ses responsabilités.


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