Le vendredi, au cours d'un conclave des syndicalistes et travailleurs, il a été décidé au recours d'une grève illimitée pour contraindre la direction de la compagnie qatarie à satisfaire les revendications des travailleurs, à savoir la revalorisation du salaire des dockers du port d'Alger à hauteur de 20%. Le vendredi, au cours d'un conclave des syndicalistes et travailleurs, il a été décidé au recours d'une grève illimitée pour contraindre la direction de la compagnie qatarie à satisfaire les revendications des travailleurs, à savoir la revalorisation du salaire des dockers du port d'Alger à hauteur de 20%. Rien ne va plus entre les syndicats du port d'Alger et Dubaï World ports El-Djazaïr, gérant du terminal du port d'Alger. La situation se dégrade de plus en plus, s'alarme un membre du syndicat du port d'Alger qui accuse les responsables de la société qatarie, ayant la charge de gérer le port d'Alger, d'avoir failli au respect de ses promesses maintes fois renouvelées de « revaloriser » le salaires des dockers, conformément aux recommandations de la dernière Tripartite qui a inscrit en premier point la revalorisation du pouvoir d'achat des travailleurs du secteur économique. En tout état de cause les relations de travail conflictuelles entre les deux partenaires ont atteint le point de non retour. Les dockers du port d'Alger ont entamé une grève illimitée en juin dernier. Au bout de trois jours de mouvement de protestation, la grève a été gelée pour permettre aux deux parties d'entamer des négociations sur une plate-forme de revendication présentée par les syndicalistes. Jeudi denier, le syndicat s'est réuni avec la direction sans résultats probants. Le vendredi, au cours d'un conclave des syndicalistes et travailleurs, il a été décidé au recours d'une grève illimitée pour contraindre la direction de la compagnie qatarie à satisfaire les revendications des travailleurs, a savoir la revalorisation du salaire des dockers du port d'Alger à hauteur de 20%. «Le quorum a été atteint », a souligné Houari Ghemour qui fait état de l'émargement en présence d'un huissier de justice de 430 dockers. Le préavis de grève est prêt, assure le syndicaliste qui assure qu'il sera transmis dans les prochains jours à la direction de la société qatarie et à qui de droit. Le syndicaliste s'alarme de la baisse d'activité au port d'Alger et dit craindre que cette dégradation n'aille en s'accentuant, jusqu'à créer de « de grands problèmes » dans une quinzaine de jours. Les dockers ne travaillent pas, a-t-il fait savoir, rappelant qu'aujourd'hui, « les dockers n'ont fait que 7 shifts par jour alors qu'auparavant ils faisaient 250 shifts. Ce n'est pas du sabotage », a-t-il précisé, soulignant que « les dockers sont fatigués des promesses jamais tenues du partenaire qatari ». Le syndicaliste affirme que Dubaï World Ports n'a rien apporté dans ses bagages et souhaite la résiliation du contrat qui la lie à l'entreprise portuaire d'Alger. Il estime, au vu des problèmes auxquels est confrontée la société Dubaï World ports El-Djazaï, que cette société n'ira pas au bout de son contrat qui renferme des évaluations périodiques à 18 mois, 7 ans et 30 ans. «Il reste 6 mois pour faire la premier bilan des activités de Dubaï World Ports El-Djazaïr », a-t-il avancé et il est convaincu qu'il sera « négatif ». Le port d'Alger, qui accapare la majorité du trafic maritime du pays risque, si la situation ne se débloque pas dans les prochains jours, une paralysie fortement préjudiciable à l'économie du pays. Affaire à suivre avec attention. Rien ne va plus entre les syndicats du port d'Alger et Dubaï World ports El-Djazaïr, gérant du terminal du port d'Alger. La situation se dégrade de plus en plus, s'alarme un membre du syndicat du port d'Alger qui accuse les responsables de la société qatarie, ayant la charge de gérer le port d'Alger, d'avoir failli au respect de ses promesses maintes fois renouvelées de « revaloriser » le salaires des dockers, conformément aux recommandations de la dernière Tripartite qui a inscrit en premier point la revalorisation du pouvoir d'achat des travailleurs du secteur économique. En tout état de cause les relations de travail conflictuelles entre les deux partenaires ont atteint le point de non retour. Les dockers du port d'Alger ont entamé une grève illimitée en juin dernier. Au bout de trois jours de mouvement de protestation, la grève a été gelée pour permettre aux deux parties d'entamer des négociations sur une plate-forme de revendication présentée par les syndicalistes. Jeudi denier, le syndicat s'est réuni avec la direction sans résultats probants. Le vendredi, au cours d'un conclave des syndicalistes et travailleurs, il a été décidé au recours d'une grève illimitée pour contraindre la direction de la compagnie qatarie à satisfaire les revendications des travailleurs, a savoir la revalorisation du salaire des dockers du port d'Alger à hauteur de 20%. «Le quorum a été atteint », a souligné Houari Ghemour qui fait état de l'émargement en présence d'un huissier de justice de 430 dockers. Le préavis de grève est prêt, assure le syndicaliste qui assure qu'il sera transmis dans les prochains jours à la direction de la société qatarie et à qui de droit. Le syndicaliste s'alarme de la baisse d'activité au port d'Alger et dit craindre que cette dégradation n'aille en s'accentuant, jusqu'à créer de « de grands problèmes » dans une quinzaine de jours. Les dockers ne travaillent pas, a-t-il fait savoir, rappelant qu'aujourd'hui, « les dockers n'ont fait que 7 shifts par jour alors qu'auparavant ils faisaient 250 shifts. Ce n'est pas du sabotage », a-t-il précisé, soulignant que « les dockers sont fatigués des promesses jamais tenues du partenaire qatari ». Le syndicaliste affirme que Dubaï World Ports n'a rien apporté dans ses bagages et souhaite la résiliation du contrat qui la lie à l'entreprise portuaire d'Alger. Il estime, au vu des problèmes auxquels est confrontée la société Dubaï World ports El-Djazaï, que cette société n'ira pas au bout de son contrat qui renferme des évaluations périodiques à 18 mois, 7 ans et 30 ans. «Il reste 6 mois pour faire la premier bilan des activités de Dubaï World Ports El-Djazaïr », a-t-il avancé et il est convaincu qu'il sera « négatif ». Le port d'Alger, qui accapare la majorité du trafic maritime du pays risque, si la situation ne se débloque pas dans les prochains jours, une paralysie fortement préjudiciable à l'économie du pays. Affaire à suivre avec attention.