Le chômage dans la wilaya de Boumerdès était estimé, à la fin de l'année 2009, à 10,68 %. Un taux élevé par rapport aux potentialités que recèle la wilaya dans tous les domaines d'activités. selon des statistiques émanant de la DPAT. La population active de Boumerdès, à fin 2009, a été estimée à 291.754 personnes avec un taux d'activité de 35,33 %. Soit 260.586 personnes occupées avec un taux de 89,32% et 31.168 personnes sans emploi et/ou à la recherche d'emploi. Le chômage dans la wilaya de Boumerdès était estimé, à la fin de l'année 2009, à 10,68 %. Un taux élevé par rapport aux potentialités que recèle la wilaya dans tous les domaines d'activités. selon des statistiques émanant de la DPAT. La population active de Boumerdès, à fin 2009, a été estimée à 291.754 personnes avec un taux d'activité de 35,33 %. Soit 260.586 personnes occupées avec un taux de 89,32% et 31.168 personnes sans emploi et/ou à la recherche d'emploi. Le secteur qui attire de plus en plus la main d'œuvre est celui des services. Celui-ci emploie 87.154 personnes avec un taux de 33,45% de la population occupée. En deuxième lieu, le secteur de bâtiment et travaux publics, embauche 52.117 personnes avec un taux de 20,00%. Ce secteur a connu un boom notamment au lendemain de lancement des programmes de constructions de 8 mille logements destinés pour le relogement des sinistrés de séisme de 2003. Lequel secteur connaît, depuis des années, des retards considérables dans la réalisation et l'achèvement de plusieurs projets lancés à travers plusieurs localités de la wilaya. à titre illustratif, des logements, à Boudouaou et à Tidjelabine, ne sont toujours pas achevés par l'entreprise VRD Plus en raison des difficultés financières et des grèves cycliques déclenchées par les ouvriers qui n'ont pas perçu leurs salaires depuis près de cinq mois. L'agriculture, secteur un tant soit peu boudé dans cette wilaya et ce en dépit des potentialités qu'elle recèle, emploie 46.912 personnes, soit un taux d'occupation de 18,00%. Le recul de l'activité agricole est imputé, selon des fellahs, aux retards enregistrés par les aides de l'Etat pour arriver à leurs destinataires et à l'avancée du béton sur des centaines d'hectares de terres agricoles. À titre d'exemple, l'on peut citer les centaines d'hectares menacées par l'avancée du béton à Boudouaou. D'autres faits, dont notamment la prolifération des bidonvilles, ont contribué de manière remarquable à la diminution de plusieurs centaines de surfaces cultivables. le manque de ressources hydriques à l'instar des retenues collinaires et barrages à eaux, n'a pas été sans conséquences sur le recul de l'activité agricole. Enfin arrive l'industrie qui est le parent pauvre de l'investissement dans la wilaya de Boumerdès. Ce secteur, névralgique, occupe un taux de 14,40 % de la population occupée soit 37. 513 personnes. Sur les trente-deux communes de la wilaya, seules seize sont dotées de zones d'activités sur leurs territoires. En tout, Boumerdès est dotée de vingt-deux zones d'activités couvrant une superficie de 167,55 ha dont 118,85 ha attribués où 422 projets sont implantés ou en phase d'activité. Plusieurs zones d'activités fonctionnent au ralenti et il n'y existe que deux où trois investisseurs à l'instar de la zone d'activité de Naciria. En somme, de Khemis El Khechna à Baghlia en passant par Si Mustapha ou Thénia, les zones d'activités, qu'elles soient en activité, en phase d'activité ou au stade du projet, connaissent plusieurs lacunes et blocages. De ce fait, plusieurs citoyens cherchent de l'emploi en dehors de la wilaya, notamment dans les zones industrielles de Rouiba et Réghaïa, qui étaient auparavant des circonscriptions administratives de Boumerdès avant d'êtres transférées, au début de l'année 2000, au Grand gouvernorat d'Alger. Par ailleurs, les résidants au sein des zones enclavées à l'instar des régions rurales, est de plus en plus exposée au phénomène du chômage en raison de l'absence de programmes de développement dans ces contrées. La frange juvénile est, de ce fait, prise en otage par ce phénomène. Un tiers des jeunes de ces régions n'a toujours pas accès à l'emploi. Ils trouvent refuge dans de petits jobs de conjonctures. Ces régions sous- développées nécessitent en urgence un plan spécial de développement afin de sortir d'une léthargie qui ne dit pas son nom. Le secteur qui attire de plus en plus la main d'œuvre est celui des services. Celui-ci emploie 87.154 personnes avec un taux de 33,45% de la population occupée. En deuxième lieu, le secteur de bâtiment et travaux publics, embauche 52.117 personnes avec un taux de 20,00%. Ce secteur a connu un boom notamment au lendemain de lancement des programmes de constructions de 8 mille logements destinés pour le relogement des sinistrés de séisme de 2003. Lequel secteur connaît, depuis des années, des retards considérables dans la réalisation et l'achèvement de plusieurs projets lancés à travers plusieurs localités de la wilaya. à titre illustratif, des logements, à Boudouaou et à Tidjelabine, ne sont toujours pas achevés par l'entreprise VRD Plus en raison des difficultés financières et des grèves cycliques déclenchées par les ouvriers qui n'ont pas perçu leurs salaires depuis près de cinq mois. L'agriculture, secteur un tant soit peu boudé dans cette wilaya et ce en dépit des potentialités qu'elle recèle, emploie 46.912 personnes, soit un taux d'occupation de 18,00%. Le recul de l'activité agricole est imputé, selon des fellahs, aux retards enregistrés par les aides de l'Etat pour arriver à leurs destinataires et à l'avancée du béton sur des centaines d'hectares de terres agricoles. À titre d'exemple, l'on peut citer les centaines d'hectares menacées par l'avancée du béton à Boudouaou. D'autres faits, dont notamment la prolifération des bidonvilles, ont contribué de manière remarquable à la diminution de plusieurs centaines de surfaces cultivables. le manque de ressources hydriques à l'instar des retenues collinaires et barrages à eaux, n'a pas été sans conséquences sur le recul de l'activité agricole. Enfin arrive l'industrie qui est le parent pauvre de l'investissement dans la wilaya de Boumerdès. Ce secteur, névralgique, occupe un taux de 14,40 % de la population occupée soit 37. 513 personnes. Sur les trente-deux communes de la wilaya, seules seize sont dotées de zones d'activités sur leurs territoires. En tout, Boumerdès est dotée de vingt-deux zones d'activités couvrant une superficie de 167,55 ha dont 118,85 ha attribués où 422 projets sont implantés ou en phase d'activité. Plusieurs zones d'activités fonctionnent au ralenti et il n'y existe que deux où trois investisseurs à l'instar de la zone d'activité de Naciria. En somme, de Khemis El Khechna à Baghlia en passant par Si Mustapha ou Thénia, les zones d'activités, qu'elles soient en activité, en phase d'activité ou au stade du projet, connaissent plusieurs lacunes et blocages. De ce fait, plusieurs citoyens cherchent de l'emploi en dehors de la wilaya, notamment dans les zones industrielles de Rouiba et Réghaïa, qui étaient auparavant des circonscriptions administratives de Boumerdès avant d'êtres transférées, au début de l'année 2000, au Grand gouvernorat d'Alger. Par ailleurs, les résidants au sein des zones enclavées à l'instar des régions rurales, est de plus en plus exposée au phénomène du chômage en raison de l'absence de programmes de développement dans ces contrées. La frange juvénile est, de ce fait, prise en otage par ce phénomène. Un tiers des jeunes de ces régions n'a toujours pas accès à l'emploi. Ils trouvent refuge dans de petits jobs de conjonctures. Ces régions sous- développées nécessitent en urgence un plan spécial de développement afin de sortir d'une léthargie qui ne dit pas son nom.