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Les riverains dénoncent les nuisances sonores
Stations de lavage de véhicules
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 12 - 2010

Les décibels, produits par les machines utilisées, dont le compresseur, sont 10 fois supérieurs au niveau sonore admis dans les zones d'habitation, dans les voies et lieux publics. Un décret est pourtant paru au Journal officiel réglementant l'émission des bruits limitant le niveau sonore maximum à 70 décibels en période diurne et à 45 décibels en période nocturne.
Les décibels, produits par les machines utilisées, dont le compresseur, sont 10 fois supérieurs au niveau sonore admis dans les zones d'habitation, dans les voies et lieux publics. Un décret est pourtant paru au Journal officiel réglementant l'émission des bruits limitant le niveau sonore maximum à 70 décibels en période diurne et à 45 décibels en période nocturne.
Devenu, voilà déjà quelques temps, une partie intégrante du quotidien des Algérois, les stations de lavage de véhicules fleurissent un peu partout à travers la capitale. Pour la plupart ne respectant aucune norme ou réglementation, ces dernières constituent de réelles sources de désagréments et autres nuisances sonores pour les riverains, vu les bruits insupportableset non stop que produisent les divers engins et pompes à haute pression utilisés. Beaucoup de familles, qui ont la mauvaise forture de résider à proximité de ces stations, ont à subir les aléas de ce genre de prestations de service, souvent jusqu'à des heures avancées dans la nuit. Cela sans qu'aucune solution ne soit trouvée ou apportée.
En effet, au cours de ces dernières années, ce domaine des prestations de service ne semble répondre à aucune réglementation ni supervision de la part des autorités de tutelle. Ce laxisme laisse le champ libre à beaucoup de dépassements de la part des propriétaires de stations de lavage, entre autres l'accaparement des trottoirs forçant les passants à emprunter la chaussée. Ces stations sont très souvent installés au sein de lieux d'habitations, à côté d'écoles ou bien même d'infrastructures hôspitalières, faisant ainsi totalement fi des notions de bon voisinage et des risques encourus par les familles face aux nuisances engendrées par les forts décibels des sons produits par ces dernières. Des familles ont toutefois initié des pétitions et déposé une multitude de plaintes auprès des commissariat de leurs localités, mais ne voient rien venir pour mettre fin à leurs souffrances. Ce qu'il faut dire, c'est que les sons produits par les machines utilisées, dont le compresseur, sont dix fois supérieurs au niveau sonore admis dans les zones d'habitation et dans les voies et lieux publics. Pour pallier ce genre de situations, un décret réglementant l'émission des bruits est paru en 1993 au Journal officiel, concernant les exploitants excerçant une activité générant du bruit, limitant par là le niveau sonore maximum à 70 décibels en période diurne, c'est-à-dire de 6 h à 22 h et de 45 décibels en période nocturne soit de 22 h à 6 h du matin. D'autre part, d'autres réglementations régissent également les niveaux sonores tolérés dans le voisinage immédiat des établissements hospitaliers ou d'enseignements lesquels ne doivent pas dépasser les 45 décibels en période diurne et les 40 décibels durant la nuit.
Cependant, ces mesures ne semblent nullement devoir être respectées par les propriétaires de ces stations, qui ne se préoccupent nullemnt de mettre en place des mesures d'insonorisation des lieux, poursuivent ainsi leurs activité nuisible pour la santé publique en toute liberté. Il faut dire que les dégâts provoqués par une exposition prolongée aux nuisances sonores sont très graves. Entre maux de tête et tensions musculaires, on retrouve des lésions de l'oreille interne qui peuvent se traduire par une surdité de même que la hausse de la pression artérielle et du rythme respiratoire ainsi que de la production gastrique. Ces risques sont démultipliés au fil des temps. Il est donc temps, simplement, de faire respecter les lois en la matière pour préserver l'intégrité physique des personnes résidant à proximité de ces stations de lavage. Cet état de laisser-aller fait suite à l'absence de contrôle et de surveillance de la part des autorités, un manque qui se traduit par l'absence d'intervention pour mettre fin à ce phénomène qui tend à prendre une ampleur de eplus en plus inquiétante.
Devenu, voilà déjà quelques temps, une partie intégrante du quotidien des Algérois, les stations de lavage de véhicules fleurissent un peu partout à travers la capitale. Pour la plupart ne respectant aucune norme ou réglementation, ces dernières constituent de réelles sources de désagréments et autres nuisances sonores pour les riverains, vu les bruits insupportableset non stop que produisent les divers engins et pompes à haute pression utilisés. Beaucoup de familles, qui ont la mauvaise forture de résider à proximité de ces stations, ont à subir les aléas de ce genre de prestations de service, souvent jusqu'à des heures avancées dans la nuit. Cela sans qu'aucune solution ne soit trouvée ou apportée.
En effet, au cours de ces dernières années, ce domaine des prestations de service ne semble répondre à aucune réglementation ni supervision de la part des autorités de tutelle. Ce laxisme laisse le champ libre à beaucoup de dépassements de la part des propriétaires de stations de lavage, entre autres l'accaparement des trottoirs forçant les passants à emprunter la chaussée. Ces stations sont très souvent installés au sein de lieux d'habitations, à côté d'écoles ou bien même d'infrastructures hôspitalières, faisant ainsi totalement fi des notions de bon voisinage et des risques encourus par les familles face aux nuisances engendrées par les forts décibels des sons produits par ces dernières. Des familles ont toutefois initié des pétitions et déposé une multitude de plaintes auprès des commissariat de leurs localités, mais ne voient rien venir pour mettre fin à leurs souffrances. Ce qu'il faut dire, c'est que les sons produits par les machines utilisées, dont le compresseur, sont dix fois supérieurs au niveau sonore admis dans les zones d'habitation et dans les voies et lieux publics. Pour pallier ce genre de situations, un décret réglementant l'émission des bruits est paru en 1993 au Journal officiel, concernant les exploitants excerçant une activité générant du bruit, limitant par là le niveau sonore maximum à 70 décibels en période diurne, c'est-à-dire de 6 h à 22 h et de 45 décibels en période nocturne soit de 22 h à 6 h du matin. D'autre part, d'autres réglementations régissent également les niveaux sonores tolérés dans le voisinage immédiat des établissements hospitaliers ou d'enseignements lesquels ne doivent pas dépasser les 45 décibels en période diurne et les 40 décibels durant la nuit.
Cependant, ces mesures ne semblent nullement devoir être respectées par les propriétaires de ces stations, qui ne se préoccupent nullemnt de mettre en place des mesures d'insonorisation des lieux, poursuivent ainsi leurs activité nuisible pour la santé publique en toute liberté. Il faut dire que les dégâts provoqués par une exposition prolongée aux nuisances sonores sont très graves. Entre maux de tête et tensions musculaires, on retrouve des lésions de l'oreille interne qui peuvent se traduire par une surdité de même que la hausse de la pression artérielle et du rythme respiratoire ainsi que de la production gastrique. Ces risques sont démultipliés au fil des temps. Il est donc temps, simplement, de faire respecter les lois en la matière pour préserver l'intégrité physique des personnes résidant à proximité de ces stations de lavage. Cet état de laisser-aller fait suite à l'absence de contrôle et de surveillance de la part des autorités, un manque qui se traduit par l'absence d'intervention pour mettre fin à ce phénomène qui tend à prendre une ampleur de eplus en plus inquiétante.


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