Madame Aloisia Wörgetter, ambassadeur d'Autriche à Alger a assisté hier à la conférence de Farid Ighilahriz. La diplomate autrichienne a montré un vif intérêt pour l'Ahaggar. A la fin de la conférence elle s'est enquise de l'existence de la publicité relative au festival en direction des étrangers ainsi que des possibilités de coopération dans le domaine de la biodiversité et de la préservation des sites naturels arguant que l'Autriche est «un pays montagneux» qui a aussi besoin d'apprendre auprès des Algériens. L'ambassadeur a voulu également savoir si Farid Ighilahriz «connaissait Mustapha Muller» Celui-ci a répondu qu'effectivement il l'avait connu en tant qu'étudiant, et s'est dit «favorable à une éventuelle coopération avec l'Autriche». Mustapha Muller, de son vrai nom Winfried Müller est un ex-légionnaire autrichien, partisan de l'indépendance de l'Algérie, il avait dirigé le Parc national du Djurdjura et le Parc national du Tassili à la fin des années 80. Madame Aloisia Wörgetter, ambassadeur d'Autriche à Alger a assisté hier à la conférence de Farid Ighilahriz. La diplomate autrichienne a montré un vif intérêt pour l'Ahaggar. A la fin de la conférence elle s'est enquise de l'existence de la publicité relative au festival en direction des étrangers ainsi que des possibilités de coopération dans le domaine de la biodiversité et de la préservation des sites naturels arguant que l'Autriche est «un pays montagneux» qui a aussi besoin d'apprendre auprès des Algériens. L'ambassadeur a voulu également savoir si Farid Ighilahriz «connaissait Mustapha Muller» Celui-ci a répondu qu'effectivement il l'avait connu en tant qu'étudiant, et s'est dit «favorable à une éventuelle coopération avec l'Autriche». Mustapha Muller, de son vrai nom Winfried Müller est un ex-légionnaire autrichien, partisan de l'indépendance de l'Algérie, il avait dirigé le Parc national du Djurdjura et le Parc national du Tassili à la fin des années 80.
