Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) appelle à mettre un terme à la suprématie du FLN et du RND sur la scène politique. «Si on veut arriver à bon port, il faudra mettre un terme à l'alternance du FLN et du RND au pouvoir», a souligné hier, Bouguerra Soltani, tout en affirmant que «ces deux partis ne doivent pas être en tête du classement dans les prochaines élections». Et d'ajouter que le pays «éprouve, cinquante ans après l'Indépendance, un besoin de revoir les politiques, les idées, les figures et les programmes pour que la date du 5 juillet 2012 marque le point de départ vers une Algérie nouvelle». L'Algérie «se doit, si elle veut redresser la situation, d'aller vers des élections propres, intègres et transparentes répondant aux normes internationales afin de garantir une participation massive et réduire le taux d'abstention», a indiqué le président du MSP. Evoquant les facteurs ayant motivé le retrait du MSP de l'Alliance présidentielle, Soltani a évoqué l'appropriation, par des partis, des réformes politiques. En outre, les deux autres ex-alliés «ont écarté» le MSP, de leur coordination, a-t-il ajouté. Il a, par ailleurs, rappelé que sa formation n'a eu de cesse d'appeler à promouvoir l'Alliance en «partenariat global» sur toutes les questions en «assumant aussi bien les aspects négatifs que positifs». Pour le président du MSP, le retrait du mouvement de l'Alliance est également motivé par «la volonté du parti d'ouvrir la scène politique», précisant que «d'aucuns dans l'opposition n'ont cessé d'accuser l'Alliance d'être à l'origine de cet hermétisme politique». Notre retrait de l'Alliance est susceptible de «conférer davantage de crédibilité» aux prochaines élections a-t-il encore soutenu, expliquant qu'en entrant dans la compétition avec des désaccords nous contribuerons à remettre en cause la crédibilité des élections. Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) appelle à mettre un terme à la suprématie du FLN et du RND sur la scène politique. «Si on veut arriver à bon port, il faudra mettre un terme à l'alternance du FLN et du RND au pouvoir», a souligné hier, Bouguerra Soltani, tout en affirmant que «ces deux partis ne doivent pas être en tête du classement dans les prochaines élections». Et d'ajouter que le pays «éprouve, cinquante ans après l'Indépendance, un besoin de revoir les politiques, les idées, les figures et les programmes pour que la date du 5 juillet 2012 marque le point de départ vers une Algérie nouvelle». L'Algérie «se doit, si elle veut redresser la situation, d'aller vers des élections propres, intègres et transparentes répondant aux normes internationales afin de garantir une participation massive et réduire le taux d'abstention», a indiqué le président du MSP. Evoquant les facteurs ayant motivé le retrait du MSP de l'Alliance présidentielle, Soltani a évoqué l'appropriation, par des partis, des réformes politiques. En outre, les deux autres ex-alliés «ont écarté» le MSP, de leur coordination, a-t-il ajouté. Il a, par ailleurs, rappelé que sa formation n'a eu de cesse d'appeler à promouvoir l'Alliance en «partenariat global» sur toutes les questions en «assumant aussi bien les aspects négatifs que positifs». Pour le président du MSP, le retrait du mouvement de l'Alliance est également motivé par «la volonté du parti d'ouvrir la scène politique», précisant que «d'aucuns dans l'opposition n'ont cessé d'accuser l'Alliance d'être à l'origine de cet hermétisme politique». Notre retrait de l'Alliance est susceptible de «conférer davantage de crédibilité» aux prochaines élections a-t-il encore soutenu, expliquant qu'en entrant dans la compétition avec des désaccords nous contribuerons à remettre en cause la crédibilité des élections.