Le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'Investissement, Mohamed Benmeradi a invité, dimanche à Alger, les hommes d'affaires serbes et leurs homologues algériens à donner "une nouvelle dimension" aux relations économiques entre les deux pays. Dans une allocution prononcée lors du forum d'affaires algéro-serbe, le ministre a souligné la volonté de l'Algérie d'encadrer les projets de partenariats algéro-serbes, appelant les hommes d'affaires du pays des Balkans à contribuer à la réalisation du programme quinquennal (2010-2014). "Nous sommes disposés à encadrer et à accompagner les projets de partenariats envisagés avec les entreprises serbes, ce qui permettra de rehausser les relations économiques à un pallier supérieur", a-t-il assuré. Il a appelé, dans ce sens, les opérateurs économiques algériens à fournir les informations nécessaires à leurs homologues serbes sur les opportunités d'investissements en vue de nouer des partenariats "fructueux et mutuellement bénéfiques", rappelant la volonté de l'Algérie de diversifier son économie dépendante des hydrocarbures. Les hommes d'affaires algériens devraient tirer profit du savoir faire et de technologie de pointe des Serbes pour moderniser l'économie nationale, a-t-il relevé. Pour sa part, le ministre serbe de l'Economie et du Développement régional, Neboja Ciric a indiqué que ce forum permettrait aux hommes d'affaires serbes d'identifier les possibilités de développement des relations économiques bilatérales dans divers secteurs où la Serbie capitalise un "important savoir faire". Il a exprimé son souhait d'augmenter le volume des échanges commerciaux entre les deux pays, qui a atteint 10 millions de dollars seulement, le qualifiant de "faible". Le ministre serbe a exposé, par ailleurs, les contraintes sur lesquelles butent les entreprises serbes sur le marché algérien. Il a déploré, dans ce contexte, le fait que les banques algériennes ne reconnaissaient pas les garanties des banques serbes, entravant ainsi l'exportation des produits de ce pays vers Algérie. Il n'a pas écarté l'idée que son gouvernement accorde un statut à 10 ou 15 banques pour qu'elles puissent délivrer des garanties bancaires. Il a appelé également à l'allégement des procédures douanières pour faciliter la circulation des marchandises entre l'Algérie et la Serbie. Concernant la délivrance de visas d'entrée pour les opérateurs économiques algériens, il a assuré que son pays allait déployer tous les efforts pour faciliter l'obtention de ces visas. Le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'Investissement, Mohamed Benmeradi a invité, dimanche à Alger, les hommes d'affaires serbes et leurs homologues algériens à donner "une nouvelle dimension" aux relations économiques entre les deux pays. Dans une allocution prononcée lors du forum d'affaires algéro-serbe, le ministre a souligné la volonté de l'Algérie d'encadrer les projets de partenariats algéro-serbes, appelant les hommes d'affaires du pays des Balkans à contribuer à la réalisation du programme quinquennal (2010-2014). "Nous sommes disposés à encadrer et à accompagner les projets de partenariats envisagés avec les entreprises serbes, ce qui permettra de rehausser les relations économiques à un pallier supérieur", a-t-il assuré. Il a appelé, dans ce sens, les opérateurs économiques algériens à fournir les informations nécessaires à leurs homologues serbes sur les opportunités d'investissements en vue de nouer des partenariats "fructueux et mutuellement bénéfiques", rappelant la volonté de l'Algérie de diversifier son économie dépendante des hydrocarbures. Les hommes d'affaires algériens devraient tirer profit du savoir faire et de technologie de pointe des Serbes pour moderniser l'économie nationale, a-t-il relevé. Pour sa part, le ministre serbe de l'Economie et du Développement régional, Neboja Ciric a indiqué que ce forum permettrait aux hommes d'affaires serbes d'identifier les possibilités de développement des relations économiques bilatérales dans divers secteurs où la Serbie capitalise un "important savoir faire". Il a exprimé son souhait d'augmenter le volume des échanges commerciaux entre les deux pays, qui a atteint 10 millions de dollars seulement, le qualifiant de "faible". Le ministre serbe a exposé, par ailleurs, les contraintes sur lesquelles butent les entreprises serbes sur le marché algérien. Il a déploré, dans ce contexte, le fait que les banques algériennes ne reconnaissaient pas les garanties des banques serbes, entravant ainsi l'exportation des produits de ce pays vers Algérie. Il n'a pas écarté l'idée que son gouvernement accorde un statut à 10 ou 15 banques pour qu'elles puissent délivrer des garanties bancaires. Il a appelé également à l'allégement des procédures douanières pour faciliter la circulation des marchandises entre l'Algérie et la Serbie. Concernant la délivrance de visas d'entrée pour les opérateurs économiques algériens, il a assuré que son pays allait déployer tous les efforts pour faciliter l'obtention de ces visas.
