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Histoire et mémoire d'un héritage andalou
7e colloque international de Nedroma
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 12 - 2012

Pour la 7e édition, la ville de Nedroma sera le pôle d'un colloque international autour de l'histoire de cette région se trouvant dans la ville de Tlemcen. Organisé du 13 au 15 décembre sous le thème donc : «Le patrimoine vivant de la ville de Nedroma et sa région-Histoire et mémoire d'un héritage andalou », cette rencontre aura pour objet d'aborder la question de sa sauvegarde et de préservation de ce patrimoine aujourd'hui dans un contexte confus, de déterminer les complémentarités historiques et culturelles et d'approfondir les liens entre Nedroma et l'Espagne.
Pour la 7e édition, la ville de Nedroma sera le pôle d'un colloque international autour de l'histoire de cette région se trouvant dans la ville de Tlemcen. Organisé du 13 au 15 décembre sous le thème donc : «Le patrimoine vivant de la ville de Nedroma et sa région-Histoire et mémoire d'un héritage andalou », cette rencontre aura pour objet d'aborder la question de sa sauvegarde et de préservation de ce patrimoine aujourd'hui dans un contexte confus, de déterminer les complémentarités historiques et culturelles et d'approfondir les liens entre Nedroma et l'Espagne.
Dans ce contexte, l‘identification matérielle et immatérielle du patrimoine culturel archéologique, historique et artistique est d‘une importance centrale. Elle est, en effet, au croisement d‘enjeux liés aux identités culturelles des populations et aux perspectives importantes dans le développement socio-économique du territoire.
Ensuite, le situer dans un espace et dans le temps permet de suivre l‘évolution de son développement, de connaître les influences et les tendances et de s‘assurer que les populations l‘utilisent. Aussi de savoir sous quel aspect il est interprété et présenté, avec l‘appui des instruments et des activités qui sont l‘expression de la culture immatérielle, ancienne et moderne. II est donc nécessaire de préciser sur la spécificité de ce patrimoine, surtout l‘immatériel à travers le spectacle vivant, les traditions culturelles, gastronomies, l‘oralité,...
De plus, il y a certaines activités qui peuvent fournir au patrimoine matériel une identité particulière, des fonctions de création et de développement culturel au sens large. Ce dialogue entre tradition et modernité est essentiel dans une politique de la ville.
Cet axe a pour but d‘identifier les richesses historiques et patrimoniales relatives au monde arabo-andalou présentes sur un territoire et comment, à partir de ce travail de localisation et de répertoire, élaborer une politique locale pour la préservation et la mise en valeur de ce patrimoine.
Nedroma, histoire et rapport avec le monde
La fondation de la médina de Nedroma remonte au XIe siècle à la période de la dynastie al-Muahade. Nedroma constitue bien la symbolique de la ville arabo-andalouse en fonction de ses ressources et l‘originalité de ses monuments mythiques ayant rythmé toute l‘époque médiévale.
La médina présente une configuration typique d‘une ville médiévale.
Sa structure urbaine s‘est formée autour d‘une mosquée, d‘un hammam et du souk. Composée de quatre entités urbaines qui se croisaient sur la place de la Tarbia, elle est terminée par des remparts qui la fortifiaient avec quatre portes d‘accès. Sa position géographique, à proximité du rivage méridional de la péninsule ibérique, lui confère le rôle de trait d‘union, de fusion et d‘échanges fructueux entre l‘Andalousie et le Maghreb. A la chute du dernier Etat de Grenade en 1492, Nedroma, comme les villes du littoral du Maghreb, se repeuple et s‘agrandit sur tous les plans : urbain, économique, intellectuel, social, religieux,... léguant un riche héritage culturel matériel et immatériel entre autres la musique arabo-andalouse.
Le maintien des populations, l‘amélioration de leurs conditions de vie et la recherche d‘un équilibre social font partie intégrante d‘un projet global. C‘est là l‘objectif primordial de la planification urbaine durable ; et pour l‘atteindre, des étapes clefs sont nécessaires : établissement d‘un état des lieux des conditions de vie actuelles et un recensement des besoins des habitants.
Par ailleurs, la population doit être sensible aux valeurs patrimoniales et à leur protection. La réhabilitation du patrimoine doit être comprise et acceptée par tous les concitoyens.
Dans ce contexte et au-delà de la conservation des métiers, de l‘identification du patrimoine et de la restauration, se développe un groupe d‘activités liées à la médiation du patrimoine. La médiation du patrimoine vise à faire le lien entre expertise et les populations ; elle décline les différentes manières de transmettre un savoir sur le patrimoine en fonction des publics : vieux, enfants, jeunes, populations locales, touristes, populations handicapées ou en difficulté... —et requiert la fabrication des supports de cette transmission— signalétique, éclairage de monuments, expositions, éditions papier et multimédia, campagnes médiatiques, spectacles... Plus largement, elle contribue aussi à aider les projets de réutilisation et d‘aménagement à même de s‘inscrire dans leurs stratégies de développement. Il appartient à ces nouveaux experts fonctionnels de faire le lien entre les populations, les différents intervenants et les élus locaux.
Cet axe a pour but d‘identifier comment revitaliser le centre historique tout en conciliant cohésion sociale, développement économique et mise en valeur du patrimoine.
La musique, un patrimoine vivant pour demain
Les origines arabe-andalouses d‘une musique élaborée depuis le IXe siècle puise ses sources à la fois en Orient et en Occident, le long d‘un parcours qui relierait Baghdad et Saragosse.
La musique arabo-andalouse existe aujourd‘hui dans sa forme classique, la nouba, suite chantée et instrumentée qui apparaît comme une préfiguration de certaines grandes formes classiques, mais aussi dans d‘autres musiques arabes comme le malhun, le chaâbi et le hawzi. Elle conserve une vitalité extraordinaire à Nedroma et dans tous les pays du monde arabo-andalou et fait objet d‘innombrables concerts et enregistrements.
Elle peut même faire figure d‘emblème de la conscience culturelle arabo-andalouse (al-turath). Si sa fonction est clairement établie pour les siècles derniers : musique de mariage ou de divertissement dans les cafés ; ce n‘est qu‘à notre époque, et en raison du support d‘identité et de l‘intérêt suscité, qu‘il devient possible de parler d‘art à part entière. Il en constitue désormais la force et la raison d‘être.
Tout au long de la manifestation, une exposition de savoir-faire et faire savoir est établit et a pour ambition de promouvoir et de favoriser le développement d‘actions culturelles et artistiques en direction du public. La notion de patrimoine vivant est plus récente et compte, entre autres, des cérémonies, des danses et des chants, des savoir-faire ancestraux. Le patrimoine vivant ne se matérialise dans aucun site ni monument. Il est pourtant infiniment riche de traditions et de pratiques dans lesquelles s‘exprime l‘âme des communautés et des peuples. Certaines de ces pratiques, qui ont survécu naturellement des milliers d‘années, à travers une transmission traditionnelle, abordent le XXIe siècle industriel et mondialisé dans un état critique. Pour leur sauvegarde, la solidarité est nécessaire, l‘action de l‘Etat est indispensable, mais il faut pouvoir compter aussi sur les jeunes générations. Aujourd‘hui, ces pratiques culturelles et sociales existent encore dans la vie courante ; elles font partie du quotidien de nombreux jeunes et adultes.
Une tradition se conjugue toujours au pluriel. Elle vit au rythme de la société dans laquelle elle évolue. Elle demeure vivante tant qu‘elle continue à jouer un rôle social, culturel ou économique.
Ces expressions jouent un rôle important car elles donnent aux communautés qui les pratiquent un sentiment d‘identité et de continuité. Pour rester vivant, le patrimoine immatériel doit conserver sa pertinence pour la culture et être régulièrement pratiqué et appris au sein des communautés, d‘une génération à l‘autre. Les communautés et les groupes qui pratiquent ces traditions et coutumes partout dans le monde ont leur propre système de transmission des connaissances et des savoir-faire. Les communautés elles-mêmes doivent prendre part à l‘identification et à la définition du patrimoine culturel immatériel : ce sont elles qui décident quelles pratiques font partie de leur patrimoine culturel.Cet axe a pour but de démontrer que système de transmission des connaissances et de savoir-faire, à savoir la musique arabo-andalouse, assure la sauvegarde du patrimoine vivant et s‘attache au rythme de la société.
Dans ce contexte, l‘identification matérielle et immatérielle du patrimoine culturel archéologique, historique et artistique est d‘une importance centrale. Elle est, en effet, au croisement d‘enjeux liés aux identités culturelles des populations et aux perspectives importantes dans le développement socio-économique du territoire.
Ensuite, le situer dans un espace et dans le temps permet de suivre l‘évolution de son développement, de connaître les influences et les tendances et de s‘assurer que les populations l‘utilisent. Aussi de savoir sous quel aspect il est interprété et présenté, avec l‘appui des instruments et des activités qui sont l‘expression de la culture immatérielle, ancienne et moderne. II est donc nécessaire de préciser sur la spécificité de ce patrimoine, surtout l‘immatériel à travers le spectacle vivant, les traditions culturelles, gastronomies, l‘oralité,...
De plus, il y a certaines activités qui peuvent fournir au patrimoine matériel une identité particulière, des fonctions de création et de développement culturel au sens large. Ce dialogue entre tradition et modernité est essentiel dans une politique de la ville.
Cet axe a pour but d‘identifier les richesses historiques et patrimoniales relatives au monde arabo-andalou présentes sur un territoire et comment, à partir de ce travail de localisation et de répertoire, élaborer une politique locale pour la préservation et la mise en valeur de ce patrimoine.
Nedroma, histoire et rapport avec le monde
La fondation de la médina de Nedroma remonte au XIe siècle à la période de la dynastie al-Muahade. Nedroma constitue bien la symbolique de la ville arabo-andalouse en fonction de ses ressources et l‘originalité de ses monuments mythiques ayant rythmé toute l‘époque médiévale.
La médina présente une configuration typique d‘une ville médiévale.
Sa structure urbaine s‘est formée autour d‘une mosquée, d‘un hammam et du souk. Composée de quatre entités urbaines qui se croisaient sur la place de la Tarbia, elle est terminée par des remparts qui la fortifiaient avec quatre portes d‘accès. Sa position géographique, à proximité du rivage méridional de la péninsule ibérique, lui confère le rôle de trait d‘union, de fusion et d‘échanges fructueux entre l‘Andalousie et le Maghreb. A la chute du dernier Etat de Grenade en 1492, Nedroma, comme les villes du littoral du Maghreb, se repeuple et s‘agrandit sur tous les plans : urbain, économique, intellectuel, social, religieux,... léguant un riche héritage culturel matériel et immatériel entre autres la musique arabo-andalouse.
Le maintien des populations, l‘amélioration de leurs conditions de vie et la recherche d‘un équilibre social font partie intégrante d‘un projet global. C‘est là l‘objectif primordial de la planification urbaine durable ; et pour l‘atteindre, des étapes clefs sont nécessaires : établissement d‘un état des lieux des conditions de vie actuelles et un recensement des besoins des habitants.
Par ailleurs, la population doit être sensible aux valeurs patrimoniales et à leur protection. La réhabilitation du patrimoine doit être comprise et acceptée par tous les concitoyens.
Dans ce contexte et au-delà de la conservation des métiers, de l‘identification du patrimoine et de la restauration, se développe un groupe d‘activités liées à la médiation du patrimoine. La médiation du patrimoine vise à faire le lien entre expertise et les populations ; elle décline les différentes manières de transmettre un savoir sur le patrimoine en fonction des publics : vieux, enfants, jeunes, populations locales, touristes, populations handicapées ou en difficulté... —et requiert la fabrication des supports de cette transmission— signalétique, éclairage de monuments, expositions, éditions papier et multimédia, campagnes médiatiques, spectacles... Plus largement, elle contribue aussi à aider les projets de réutilisation et d‘aménagement à même de s‘inscrire dans leurs stratégies de développement. Il appartient à ces nouveaux experts fonctionnels de faire le lien entre les populations, les différents intervenants et les élus locaux.
Cet axe a pour but d‘identifier comment revitaliser le centre historique tout en conciliant cohésion sociale, développement économique et mise en valeur du patrimoine.
La musique, un patrimoine vivant pour demain
Les origines arabe-andalouses d‘une musique élaborée depuis le IXe siècle puise ses sources à la fois en Orient et en Occident, le long d‘un parcours qui relierait Baghdad et Saragosse.
La musique arabo-andalouse existe aujourd‘hui dans sa forme classique, la nouba, suite chantée et instrumentée qui apparaît comme une préfiguration de certaines grandes formes classiques, mais aussi dans d‘autres musiques arabes comme le malhun, le chaâbi et le hawzi. Elle conserve une vitalité extraordinaire à Nedroma et dans tous les pays du monde arabo-andalou et fait objet d‘innombrables concerts et enregistrements.
Elle peut même faire figure d‘emblème de la conscience culturelle arabo-andalouse (al-turath). Si sa fonction est clairement établie pour les siècles derniers : musique de mariage ou de divertissement dans les cafés ; ce n‘est qu‘à notre époque, et en raison du support d‘identité et de l‘intérêt suscité, qu‘il devient possible de parler d‘art à part entière. Il en constitue désormais la force et la raison d‘être.
Tout au long de la manifestation, une exposition de savoir-faire et faire savoir est établit et a pour ambition de promouvoir et de favoriser le développement d‘actions culturelles et artistiques en direction du public. La notion de patrimoine vivant est plus récente et compte, entre autres, des cérémonies, des danses et des chants, des savoir-faire ancestraux. Le patrimoine vivant ne se matérialise dans aucun site ni monument. Il est pourtant infiniment riche de traditions et de pratiques dans lesquelles s‘exprime l‘âme des communautés et des peuples. Certaines de ces pratiques, qui ont survécu naturellement des milliers d‘années, à travers une transmission traditionnelle, abordent le XXIe siècle industriel et mondialisé dans un état critique. Pour leur sauvegarde, la solidarité est nécessaire, l‘action de l‘Etat est indispensable, mais il faut pouvoir compter aussi sur les jeunes générations. Aujourd‘hui, ces pratiques culturelles et sociales existent encore dans la vie courante ; elles font partie du quotidien de nombreux jeunes et adultes.
Une tradition se conjugue toujours au pluriel. Elle vit au rythme de la société dans laquelle elle évolue. Elle demeure vivante tant qu‘elle continue à jouer un rôle social, culturel ou économique.
Ces expressions jouent un rôle important car elles donnent aux communautés qui les pratiquent un sentiment d‘identité et de continuité. Pour rester vivant, le patrimoine immatériel doit conserver sa pertinence pour la culture et être régulièrement pratiqué et appris au sein des communautés, d‘une génération à l‘autre. Les communautés et les groupes qui pratiquent ces traditions et coutumes partout dans le monde ont leur propre système de transmission des connaissances et des savoir-faire. Les communautés elles-mêmes doivent prendre part à l‘identification et à la définition du patrimoine culturel immatériel : ce sont elles qui décident quelles pratiques font partie de leur patrimoine culturel.Cet axe a pour but de démontrer que système de transmission des connaissances et de savoir-faire, à savoir la musique arabo-andalouse, assure la sauvegarde du patrimoine vivant et s‘attache au rythme de la société.


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