Des dizaines de sinistrés de la cité Coopérative du 11-Décembre au chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont observé, hier, un sit-in devant le siège de l'OPGI pour réclamer la reconstruction de leurs maisons effondrées lors du séisme du 21 mai 2003. Des dizaines de sinistrés de la cité Coopérative du 11-Décembre au chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont observé, hier, un sit-in devant le siège de l'OPGI pour réclamer la reconstruction de leurs maisons effondrées lors du séisme du 21 mai 2003. Ils avaient opté, au lendemain du séisme, à l'aide de l'Etat avoisinant les 100 millions de centimes pour pouvoir se loger. Mais, les projets de réalisation des 214 logements connaissent depuis des blocages énormes, ce qui a induit le non recasement de ses sinistrés dix ans après la catastrophe naturelle. Ils sont près de 140 familles sinistrées à ne pas être relogées au chef-lieu de la commune de Boumerdès sans compter les 200 autres dans d'autres localités affectées par le cataclysme. Actuellement, selon un sinistré, « les travaux n'ont pas atteint les 50 %, et le premier promoteur avait réalisé uniquement l'ossature des immeubles ». Les sinistrés réclament une solution pour être relogés dans des appartements décents. « La plupart d'entre nous ne peut pas payer sa part de financement alors que 50 % du coût de projet a été versé par les sinistrés », nous dira un sinistré qui affirme que la plupart des sinistrés sont incapables de s'acquitter de l'apport personnel s'élevant à 1 million DA. Toutefois, selon l'un d'entre eux, la formule de vente sur plan a prouvé ses limites en raisons des lenteurs administratives estimant que la formule de location-vente est la solution à leur problème. Les manifestants ont interpellé le premier responsable de la wilaya à intervenir afin de relancer les travaux de leur cité et éviter le gel du chantier. Ils avaient opté, au lendemain du séisme, à l'aide de l'Etat avoisinant les 100 millions de centimes pour pouvoir se loger. Mais, les projets de réalisation des 214 logements connaissent depuis des blocages énormes, ce qui a induit le non recasement de ses sinistrés dix ans après la catastrophe naturelle. Ils sont près de 140 familles sinistrées à ne pas être relogées au chef-lieu de la commune de Boumerdès sans compter les 200 autres dans d'autres localités affectées par le cataclysme. Actuellement, selon un sinistré, « les travaux n'ont pas atteint les 50 %, et le premier promoteur avait réalisé uniquement l'ossature des immeubles ». Les sinistrés réclament une solution pour être relogés dans des appartements décents. « La plupart d'entre nous ne peut pas payer sa part de financement alors que 50 % du coût de projet a été versé par les sinistrés », nous dira un sinistré qui affirme que la plupart des sinistrés sont incapables de s'acquitter de l'apport personnel s'élevant à 1 million DA. Toutefois, selon l'un d'entre eux, la formule de vente sur plan a prouvé ses limites en raisons des lenteurs administratives estimant que la formule de location-vente est la solution à leur problème. Les manifestants ont interpellé le premier responsable de la wilaya à intervenir afin de relancer les travaux de leur cité et éviter le gel du chantier.