Des projets pour la préservation de la biodiversité et de l'écosystème du Parc national de Djebel Aïssa, 14 km à l'est de la commune de Tiout, seront lancés prochainement, a annoncé, mardi dernier, la Conservation des forêts de la wilaya de Naâma. Des projets pour la préservation de la biodiversité et de l'écosystème du Parc national de Djebel Aïssa, 14 km à l'est de la commune de Tiout, seront lancés prochainement, a annoncé, mardi dernier, la Conservation des forêts de la wilaya de Naâma. Le premier projet retenu pour ce parc, s'étendant sur une surface de 24.500 ha, consiste en la réalisation de 30 km de pistes forestières et de points d'observation pour le suivi de l'impact des changements climatiques, ainsi que la valorisation des ressources naturelles, faunistiques et floristiques du parc, a précisé la Conservation. Revêtant une importance particulière dans la préservation de l'écosystème de la région des Hauts-Plateaux de l'Ouest, ce parc a également bénéficié d'autres actions à même de contribuer à la régénération de son couvert végétal et la protection de sa richesse faunistique, particulièrement les espèces menacées d'extinction, a ajouté la même Conservation. Selon le responsable du développement de la flore et de la faune à la Conservation des forêts, Mohamed Remili, le schéma directeur d'aménagement touristique (SDAT) de 2025 prévoit la réalisation, à court terme, de travaux à même de protéger les sites naturels et les ressources de la biodiversité, en vue de la réalisation de projets scientifiques et touristiques. Le parc de Djebel Aïssa renferme des paysages naturels féériques, en plus de sites archéologiques et historiques, et de stèles commémoratives témoignant des âpres batailles menées dans la région contre le colonialisme français. La Conservation des forêts fait état, pour ce qui est de la richesse faunistique, de l'existence d'une vingtaine d'espèces de mammifères et de reptiles, de 33 espèces avifaunes, en plus d'une richesse floristique portant sur plus de 90 espèces de plantes aux vertus thérapeutiques. Selon une étude établie par la Conservation des forêts, le parc de Djebel Aïssa fait face, cependant, aux menaces des aléas naturels, dont les inondations, nécessitant la correction des cours d'eaux. Les responsables de la Conservation des forêts entendent mettre à jour les études de recensement de la biodiversité, ainsi que la mobilisation d'agents chargés du contrôle et de la lutte contre le pâturage anarchique mettant en péril l'écosystème de ce parc. Le premier projet retenu pour ce parc, s'étendant sur une surface de 24.500 ha, consiste en la réalisation de 30 km de pistes forestières et de points d'observation pour le suivi de l'impact des changements climatiques, ainsi que la valorisation des ressources naturelles, faunistiques et floristiques du parc, a précisé la Conservation. Revêtant une importance particulière dans la préservation de l'écosystème de la région des Hauts-Plateaux de l'Ouest, ce parc a également bénéficié d'autres actions à même de contribuer à la régénération de son couvert végétal et la protection de sa richesse faunistique, particulièrement les espèces menacées d'extinction, a ajouté la même Conservation. Selon le responsable du développement de la flore et de la faune à la Conservation des forêts, Mohamed Remili, le schéma directeur d'aménagement touristique (SDAT) de 2025 prévoit la réalisation, à court terme, de travaux à même de protéger les sites naturels et les ressources de la biodiversité, en vue de la réalisation de projets scientifiques et touristiques. Le parc de Djebel Aïssa renferme des paysages naturels féériques, en plus de sites archéologiques et historiques, et de stèles commémoratives témoignant des âpres batailles menées dans la région contre le colonialisme français. La Conservation des forêts fait état, pour ce qui est de la richesse faunistique, de l'existence d'une vingtaine d'espèces de mammifères et de reptiles, de 33 espèces avifaunes, en plus d'une richesse floristique portant sur plus de 90 espèces de plantes aux vertus thérapeutiques. Selon une étude établie par la Conservation des forêts, le parc de Djebel Aïssa fait face, cependant, aux menaces des aléas naturels, dont les inondations, nécessitant la correction des cours d'eaux. Les responsables de la Conservation des forêts entendent mettre à jour les études de recensement de la biodiversité, ainsi que la mobilisation d'agents chargés du contrôle et de la lutte contre le pâturage anarchique mettant en péril l'écosystème de ce parc.
