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Les Algériens bientôt privés de visas ?
Voyager aux Etats-Unis
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 12 - 2016

L'Algérie figure sur la liste des 23 pays "récalcitrants ou non-coopératifs" dressée par l'Agence américaine de l'immigration et du contrôle des douanes en juillet dernier, a affirmé avant-hier la chaîne CNN. En conséquence, les Algériens pourraient se voir refuser leur visa d'entrée aux Etats-Unis, selon la même source.
L'Algérie figure sur la liste des 23 pays "récalcitrants ou non-coopératifs" dressée par l'Agence américaine de l'immigration et du contrôle des douanes en juillet dernier, a affirmé avant-hier la chaîne CNN. En conséquence, les Algériens pourraient se voir refuser leur visa d'entrée aux Etats-Unis, selon la même source.
La liste des 23 pays a été publiée en juillet dernier par l'Agence fédérale de l'immigration (ICE) pour Immigration and Customs Enforcement). Parmi ces 23 pays sont cités l'Algérie, l'Afghanistan, la Chine, Cuba, l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie et le Zimbabwe. Cette liste inclut les pays qui n'ont pas rempli certains critères en termes de coopération.
L'agence cite le refus d'avoir des vols charters sur l'espace aérien ou le territoire des pays concernés, ainsi que les "conditions et/ou l'environnement politique" dans ces pays. La difficulté d'obtention de documents de voyage de la part de certains pays d'origine est aussi citée comme un obstacle rencontré par l'agence.
Au bout de 180 jours, l'ICE est généralement obligée de relâcher les individus qu'elle n'a pas pu renvoyer dans le pays dont ils ont la nationalité. L'agence précise que, "bien que l'Algérie reste sur la liste des pays récalcitrants, le gouvernement algérien s'est engagé à s'occuper de la question et a délivré depuis quelquesuns – mais pas tous – des document de voyage requis". L'agence affirme que 62 pays supplémentaires sont également suivis de près, sans être à ce stade considérés comme récalcitrants.
L'évaluation de la coopération des pays par l'agence a lieu deux fois par an. Certains Républicains ont fait pression pour obtenir l'application pour ces pays de l'article 243d de l'Immigration and Nationality Act (loi sur l'immigration et la nationalité), qui permet aux Etats-Unis de refuser le visa aux ressortissants d'un pays qui refuse ou retarde le retour dans ce pays d'"étrangers" que les Etats-Unis entendent expulser, affirme CNN.
Selon eux, le refus de visa est un moyen de pression que les Etats-Unis devraient exploiter afin d'obtenir la coopération des pays récalcitrants. Donald Trump avait fait de l'expulsion des immigrés criminels l'un des chevaux de bataille de sa campagne électorale. CNN avait cependant rappelé, fin novembre, que Barack Obama s'était lui-même attelé à cette tâche au cours de ses deux mandats, et que la mission n'était pas aisée, en particulier en raison des moyens matériels et financiers que requièrent les procédures d'expulsion.
La liste des 23 pays a été publiée en juillet dernier par l'Agence fédérale de l'immigration (ICE) pour Immigration and Customs Enforcement). Parmi ces 23 pays sont cités l'Algérie, l'Afghanistan, la Chine, Cuba, l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie et le Zimbabwe. Cette liste inclut les pays qui n'ont pas rempli certains critères en termes de coopération.
L'agence cite le refus d'avoir des vols charters sur l'espace aérien ou le territoire des pays concernés, ainsi que les "conditions et/ou l'environnement politique" dans ces pays. La difficulté d'obtention de documents de voyage de la part de certains pays d'origine est aussi citée comme un obstacle rencontré par l'agence.
Au bout de 180 jours, l'ICE est généralement obligée de relâcher les individus qu'elle n'a pas pu renvoyer dans le pays dont ils ont la nationalité. L'agence précise que, "bien que l'Algérie reste sur la liste des pays récalcitrants, le gouvernement algérien s'est engagé à s'occuper de la question et a délivré depuis quelquesuns – mais pas tous – des document de voyage requis". L'agence affirme que 62 pays supplémentaires sont également suivis de près, sans être à ce stade considérés comme récalcitrants.
L'évaluation de la coopération des pays par l'agence a lieu deux fois par an. Certains Républicains ont fait pression pour obtenir l'application pour ces pays de l'article 243d de l'Immigration and Nationality Act (loi sur l'immigration et la nationalité), qui permet aux Etats-Unis de refuser le visa aux ressortissants d'un pays qui refuse ou retarde le retour dans ce pays d'"étrangers" que les Etats-Unis entendent expulser, affirme CNN.
Selon eux, le refus de visa est un moyen de pression que les Etats-Unis devraient exploiter afin d'obtenir la coopération des pays récalcitrants. Donald Trump avait fait de l'expulsion des immigrés criminels l'un des chevaux de bataille de sa campagne électorale. CNN avait cependant rappelé, fin novembre, que Barack Obama s'était lui-même attelé à cette tâche au cours de ses deux mandats, et que la mission n'était pas aisée, en particulier en raison des moyens matériels et financiers que requièrent les procédures d'expulsion.


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