Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, apporte un soutien franc et sans équivoque au ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, apporte un soutien franc et sans équivoque au ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra. Ce dernier, qui s'est exprimé sur les récents événements survenus dans la vile syrienne d'Alep en apportant notamment son soutien au gouvernement syrien, a été fortement critiqué sur cette position par une partiede la classe politique, notamment les partis islamistes. "Je soutiens à 100 % Lamamra", a indiqué Ahmed Ouyahia. Ce dernier, qui s'exprimait vendredi soir sur le plateau de la chaîne de télévision EL Bilad, a ajouté "qu'il existe en Algérie un courant religieux qui n'est pas d'accord avec les positions officielles de l'Algérie sur cette question". Selon l'invité d'El Bilad TV, "Lamamra n'a pas exprimé un point de vue personnel, mais le point de vue officiel de l'Algérie" avant de s'interroger : "Est-ce dans l'intérêt de l'Algérie de voir la Syrie tomber ?". Ahmed Ouyahia critique donc les partis islamistes qui s'en sont pris à Ramtane Lamamra. "A Alep, l'Etat syrien à réussi à recouvrer sa souveraineté et à reconquérir la ville" a déclaré le chef de la diplomatie algérienne non sans considérer cela comme "une défaite du terrorisme". Ouyahia, qui n'a jamais désavoué un membre du gouvernement, n'a pas aussi manqué de soutenir un autre membre de l'Exécutif. En effet le secrétaire général du RND a volé au secours de la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, qui fait face, elle aussi, à une attaque en règle, notamment sur sa gestion catastrophique du dossier des vacances scolaires qui a fait couler beaucoup d'encre. Mais Ouyahia a reproché à Beghebrit de n'avoir pas "consulté et sensibilisé pour faire accepter la décision par les concernés". Il a dénoncé la manipulation dans ce dossier en estimant que "celui qui a un problème avec les autorités, il utilise la rue pour régler des comptes". Une claire allusion à la "révolte" des lycéens qui sont descendus dans la rue pour amener la ministre a revenir sur sa décision. Il a cependant soutenu la ministre de l'Education et sa réforme qui s'inscrit, dira-t-il, "dans le programme du président de la République". Interrogé sur le Forum africain des investissements et l'incident protocolaire provoqué par le président du FCE, Ali Haddad, Ahmed Ouyahia a botté en touche non sans renouveler son amitié au patron des patrons. "Je ne suis pas de ceux qui tournent la veste avec les vents". Pour lui, le FCE est une organisation qqui a apporté beaucoup à l'économie nationale. Il s'est aussi enorgueilli d'avoir des hommes d'affaires au sein de son parti. "On s'honore d'avoir sur nos listes des hommes d'affaire", dira-t-il en allusion aux prochaines élections législatives. Sur ce rendez-vous électoral il dira "on joue le match, on verra le résultat, on espère être les premiers, c'est le souhait de tout parti". Ce dernier, qui s'est exprimé sur les récents événements survenus dans la vile syrienne d'Alep en apportant notamment son soutien au gouvernement syrien, a été fortement critiqué sur cette position par une partiede la classe politique, notamment les partis islamistes. "Je soutiens à 100 % Lamamra", a indiqué Ahmed Ouyahia. Ce dernier, qui s'exprimait vendredi soir sur le plateau de la chaîne de télévision EL Bilad, a ajouté "qu'il existe en Algérie un courant religieux qui n'est pas d'accord avec les positions officielles de l'Algérie sur cette question". Selon l'invité d'El Bilad TV, "Lamamra n'a pas exprimé un point de vue personnel, mais le point de vue officiel de l'Algérie" avant de s'interroger : "Est-ce dans l'intérêt de l'Algérie de voir la Syrie tomber ?". Ahmed Ouyahia critique donc les partis islamistes qui s'en sont pris à Ramtane Lamamra. "A Alep, l'Etat syrien à réussi à recouvrer sa souveraineté et à reconquérir la ville" a déclaré le chef de la diplomatie algérienne non sans considérer cela comme "une défaite du terrorisme". Ouyahia, qui n'a jamais désavoué un membre du gouvernement, n'a pas aussi manqué de soutenir un autre membre de l'Exécutif. En effet le secrétaire général du RND a volé au secours de la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, qui fait face, elle aussi, à une attaque en règle, notamment sur sa gestion catastrophique du dossier des vacances scolaires qui a fait couler beaucoup d'encre. Mais Ouyahia a reproché à Beghebrit de n'avoir pas "consulté et sensibilisé pour faire accepter la décision par les concernés". Il a dénoncé la manipulation dans ce dossier en estimant que "celui qui a un problème avec les autorités, il utilise la rue pour régler des comptes". Une claire allusion à la "révolte" des lycéens qui sont descendus dans la rue pour amener la ministre a revenir sur sa décision. Il a cependant soutenu la ministre de l'Education et sa réforme qui s'inscrit, dira-t-il, "dans le programme du président de la République". Interrogé sur le Forum africain des investissements et l'incident protocolaire provoqué par le président du FCE, Ali Haddad, Ahmed Ouyahia a botté en touche non sans renouveler son amitié au patron des patrons. "Je ne suis pas de ceux qui tournent la veste avec les vents". Pour lui, le FCE est une organisation qqui a apporté beaucoup à l'économie nationale. Il s'est aussi enorgueilli d'avoir des hommes d'affaires au sein de son parti. "On s'honore d'avoir sur nos listes des hommes d'affaire", dira-t-il en allusion aux prochaines élections législatives. Sur ce rendez-vous électoral il dira "on joue le match, on verra le résultat, on espère être les premiers, c'est le souhait de tout parti".