Le Premier ministre a affirmé que le recours au financement par emprunt contracté par le Trésor auprès de la Banque centrale est un impératif et non une option pour relancer l‘économie nationale et maintenir le rythme de développement du pays. Le Premier ministre a affirmé que le recours au financement par emprunt contracté par le Trésor auprès de la Banque centrale est un impératif et non une option pour relancer l‘économie nationale et maintenir le rythme de développement du pays. Le recours "au financement par emprunt contracté par le Trésor auprès de la Banque centrale est un impératif et non une option", a en effet déclaré Ouyahia lors de la présentation, lundi, du plan d'action du gouvernement devant les membres du Conseil de la Nation, précisant que "le non recours à ce mode de financement empêchera le versement des salaires des fonctionnaires et des indemnités des députés". Il a soutenu que "si ce financement n'est pas appliqué en novembre, cela conduira à un arrêt total de l'économie", ajoutant que "même les représentants du peuple ne percevront pas leurs indemnités et pas seulement les fonctionnaires". Le Premier ministre a indiqué, dans ce sens, que l'adoption de la loi sur la monnaie et le crédit qui sera présentée mardi devant la commission des Finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN) permettra à la Banque centrale de procéder à l'achat direct auprès du Trésor des titres émis par ce dernier pour relancer le rythme de développement économique. "Après l'adoption du plan d'action, le gouvernementveillera à poursuivre les différentsprojets de développement économique et à relancer ceux qui ont été gelés pourmanque de financement", a-t-il indiqué. Le Premier ministre a mis en avant ladétermination des Hautes autorités dupays à "poursuivre l'arsenal de réformeséconomiques mises en place sous la supervisions du président de laRépublique, Abdelaziz Bouteflika et àassurer le traitement financier des problèmesde développement économique, àtravers la réforme de l'instance financièredu pays et la régulation de l'économieet du commerce". "Les forces économiques et socialesconvergent vers la même direction pourapporter sérénité et quiétude aux citoyens", a-t-il dit."Aujourd'hui comme par le passé,l'Algérie a besoin d'être indépendantedans sa prise de décision et d'unité deses rangs pour faire face aux défis del'heure et aux retombés de la chute vertigineusedes cours de pétrole qui a faitperdre au pays plus de la moitié de sesrecettes financiers et fiscales", a-t-il cnclu. Le recours "au financement par emprunt contracté par le Trésor auprès de la Banque centrale est un impératif et non une option", a en effet déclaré Ouyahia lors de la présentation, lundi, du plan d'action du gouvernement devant les membres du Conseil de la Nation, précisant que "le non recours à ce mode de financement empêchera le versement des salaires des fonctionnaires et des indemnités des députés". Il a soutenu que "si ce financement n'est pas appliqué en novembre, cela conduira à un arrêt total de l'économie", ajoutant que "même les représentants du peuple ne percevront pas leurs indemnités et pas seulement les fonctionnaires". Le Premier ministre a indiqué, dans ce sens, que l'adoption de la loi sur la monnaie et le crédit qui sera présentée mardi devant la commission des Finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN) permettra à la Banque centrale de procéder à l'achat direct auprès du Trésor des titres émis par ce dernier pour relancer le rythme de développement économique. "Après l'adoption du plan d'action, le gouvernementveillera à poursuivre les différentsprojets de développement économique et à relancer ceux qui ont été gelés pourmanque de financement", a-t-il indiqué. Le Premier ministre a mis en avant ladétermination des Hautes autorités dupays à "poursuivre l'arsenal de réformeséconomiques mises en place sous la supervisions du président de laRépublique, Abdelaziz Bouteflika et àassurer le traitement financier des problèmesde développement économique, àtravers la réforme de l'instance financièredu pays et la régulation de l'économieet du commerce". "Les forces économiques et socialesconvergent vers la même direction pourapporter sérénité et quiétude aux citoyens", a-t-il dit."Aujourd'hui comme par le passé,l'Algérie a besoin d'être indépendantedans sa prise de décision et d'unité deses rangs pour faire face aux défis del'heure et aux retombés de la chute vertigineusedes cours de pétrole qui a faitperdre au pays plus de la moitié de sesrecettes financiers et fiscales", a-t-il cnclu.