Une nouvelle vague de manifestations en Hongrie... et le ton monte doucement. Désormais les contestataires dela politique du président Viktor Orban menacent d'une grève générale si les les dernières lois votées par le parlement ne sont pas abrogées ou modifiées. Une nouvelle vague de manifestations en Hongrie... et le ton monte doucement. Désormais les contestataires dela politique du président Viktor Orban menacent d'une grève générale si les les dernières lois votées par le parlement ne sont pas abrogées ou modifiées. Des milliers de personnes se sont retrouvées place des Héros ce samedi à Budapest. "Je pense qu'à ce niveau-là, déclare un manifestant, la grève est une nécessité,et pour cette raison, je trouve ça super que tant de gens se soient réunis ici.""C'est triste de voir que les personnesdans le besoin, les sans-abri, les pauvres qui vivent à la campagne n'attirent quasiment jamais l'attention en Hongrie", lance un autre. Si le gouvernement ne modifie pas la loi dite "esclavagiste" sur le temps de travail et les heures supplémentaires, les syndicats d'enseignants, d'étudiants, de travailleurs, envisagent une grève générale sous une dizaine de jours. C'est ce qu'explique Kordás László, président de la Confédération des syndicats hongrois, qui déclare que les fédérationssyndicales sont prêtes à aller très loin pour changer toute la politique du gouvernement. Des milliers de personnes se sont retrouvées place des Héros ce samedi à Budapest. "Je pense qu'à ce niveau-là, déclare un manifestant, la grève est une nécessité,et pour cette raison, je trouve ça super que tant de gens se soient réunis ici.""C'est triste de voir que les personnesdans le besoin, les sans-abri, les pauvres qui vivent à la campagne n'attirent quasiment jamais l'attention en Hongrie", lance un autre. Si le gouvernement ne modifie pas la loi dite "esclavagiste" sur le temps de travail et les heures supplémentaires, les syndicats d'enseignants, d'étudiants, de travailleurs, envisagent une grève générale sous une dizaine de jours. C'est ce qu'explique Kordás László, président de la Confédération des syndicats hongrois, qui déclare que les fédérationssyndicales sont prêtes à aller très loin pour changer toute la politique du gouvernement.