février dans des circonstances atroces d'unétudiant en médecine à la cité universitaire de Ben-Aknoun, sur les hauteurs février dans des circonstances atroces d'unétudiant en médecine à la cité universitaire de Ben-Aknoun, sur les hauteurs d'Alger,a provoqué une véritable onde de choc ausein de la communautaire universitaire, qui a unanimement dénoncé ce crimeodieux.Mais, la colère des étudiants et des amis dela victime a également mis à nu les faillesdans la sécurité au sein des cités et campusuniversitaires du pays. Une revendicationdes étudiants qui a amené le ministre del'Enseignement supérieur et de laRecherche scientifique, Tahar Hadjar, à réagirpour mieux sécuriser les cités universitaires.Il a réuni ce lundi les directeursdes oeuvres universitaires et a insisté sur lasécurisation des résidences universitaires àtravers "l'activation des dispositifs sécuritairesdisponibles, le respect des instructionset la mobilisation de tous lesmoyens susceptibles de garantir la sécuritédes étudiants résidents." "Les cités universitairesne sont pas des internats", a égalementrelevé M. Hadjar, qui a tenu à rappelerque "les incidents survenus récemmentà l'université tels que l'assassinat de l'étudiant en médecine (…) ne datent pas d'aujourd'hui". qui a changé aujourd'hui, la rapidité de circulation des informationssur les réseaux sociaux", a-t-il dit, selon le compte rendu de l'agence officielle. Pour autant, il n'a pas hésité à dénoncer "certaines parties qui tentent deternir l'image de l'Algérie" à la veille de l'élection présidentielle. À la suite de ce crime, une sourde colère avait envahi les différents campus universitaires du pays,, notamment à Alger et Bordj-Bou-Arreridj, où des manifestations avaient été organisées. Par ailleurs, le présumé auteur de l'assassinat de l'étudiant Assil a été arrêté vendredi dernier dans la matinée, selon des sources policières. Il a été mis en détention préventive après avoir été présenté devant le procureur de la République prèsle tribunal de Bir-Mourad-Raïs. L'assassinat du jeune Assil est intervenu d'autre part après l'agression et la mortd'un étudiant zimbabwéen Ndudzu Prosper(26 ans) à Annaba, le 5 février dernier. d'Alger,a provoqué une véritable onde de choc ausein de la communautaire universitaire, qui a unanimement dénoncé ce crimeodieux.Mais, la colère des étudiants et des amis dela victime a également mis à nu les faillesdans la sécurité au sein des cités et campusuniversitaires du pays. Une revendicationdes étudiants qui a amené le ministre del'Enseignement supérieur et de laRecherche scientifique, Tahar Hadjar, à réagirpour mieux sécuriser les cités universitaires.Il a réuni ce lundi les directeursdes oeuvres universitaires et a insisté sur lasécurisation des résidences universitaires àtravers "l'activation des dispositifs sécuritairesdisponibles, le respect des instructionset la mobilisation de tous lesmoyens susceptibles de garantir la sécuritédes étudiants résidents." "Les cités universitairesne sont pas des internats", a égalementrelevé M. Hadjar, qui a tenu à rappelerque "les incidents survenus récemmentà l'université tels que l'assassinat de l'étudiant en médecine (…) ne datent pas d'aujourd'hui". qui a changé aujourd'hui, la rapidité de circulation des informationssur les réseaux sociaux", a-t-il dit, selon le compte rendu de l'agence officielle. Pour autant, il n'a pas hésité à dénoncer "certaines parties qui tentent deternir l'image de l'Algérie" à la veille de l'élection présidentielle. À la suite de ce crime, une sourde colère avait envahi les différents campus universitaires du pays,, notamment à Alger et Bordj-Bou-Arreridj, où des manifestations avaient été organisées. Par ailleurs, le présumé auteur de l'assassinat de l'étudiant Assil a été arrêté vendredi dernier dans la matinée, selon des sources policières. Il a été mis en détention préventive après avoir été présenté devant le procureur de la République prèsle tribunal de Bir-Mourad-Raïs. L'assassinat du jeune Assil est intervenu d'autre part après l'agression et la mortd'un étudiant zimbabwéen Ndudzu Prosper(26 ans) à Annaba, le 5 février dernier.