minuit, Quito exige que les migrants vénézuéliens soient porteurs d'un visa humanitaire. Ceux qui en étaient dépourvus ont brièvement bloqué le principal point de passage entre l'Equateur et la Colombie. minuit, Quito exige que les migrants vénézuéliens soient porteurs d'un visa humanitaire. Ceux qui en étaient dépourvus ont brièvement bloqué le principal point de passage entre l'Equateur et la Colombie. Une journée de confusion marquée par la mort d'un voyageur. Âgé de 58 ans, Luis Alberto Araujo est mort ce lundi sur le pont frontière de Rumichaca, victime apparemment d'un malaise cardiaque. Coincé au milieu de centaines de migrants vénézuéliens, l'homme n'a pas pu être réanimé. Triste ironie, il n'avait pas besoin de visa pour passer puisqu'il était équatorien. Résidant au Venezuela, il venait se procurer des médicaments introuvables à Caracas. Faute de visa et donc interdits d'entrée en Equateur, des centaines de migrants ont bloqué pendant quelques heures le pont frontière, empêchant le passage des bus et des voitures. Beaucoup réclamaient d'être transportés directement vers la frontière péruvienne, ignorant pour certains que Lima demande aussi un visa depuis deux mois et qu'ils auraient donc été bloqués dans le désert au Nord de Tumbes. Au vu de la longueur des files d'attente, les autorités migratoires équatoriennes ont accepté de faire passer les Vénézuéliens ayant quitté le poste frontière colombien avant dimanche 25 août à minuit. Une journée de confusion marquée par la mort d'un voyageur. Âgé de 58 ans, Luis Alberto Araujo est mort ce lundi sur le pont frontière de Rumichaca, victime apparemment d'un malaise cardiaque. Coincé au milieu de centaines de migrants vénézuéliens, l'homme n'a pas pu être réanimé. Triste ironie, il n'avait pas besoin de visa pour passer puisqu'il était équatorien. Résidant au Venezuela, il venait se procurer des médicaments introuvables à Caracas. Faute de visa et donc interdits d'entrée en Equateur, des centaines de migrants ont bloqué pendant quelques heures le pont frontière, empêchant le passage des bus et des voitures. Beaucoup réclamaient d'être transportés directement vers la frontière péruvienne, ignorant pour certains que Lima demande aussi un visa depuis deux mois et qu'ils auraient donc été bloqués dans le désert au Nord de Tumbes. Au vu de la longueur des files d'attente, les autorités migratoires équatoriennes ont accepté de faire passer les Vénézuéliens ayant quitté le poste frontière colombien avant dimanche 25 août à minuit.