Les principaux acteurs politiques du Hirak entendent se réorganiser. Des associations, ligues de droits de l'Homme, syndicats autonomes et des personnalités politiques, entendent se concerter durant les jours à venir, pourtrouver les voies et moyens de concertations et de voir s'il y a lieu de répondre au dialogue souhaité par le Président Tebboune. Les principaux acteurs politiques du Hirak entendent se réorganiser. Des associations, ligues de droits de l'Homme, syndicats autonomes et des personnalités politiques, entendent se concerter durant les jours à venir, pourtrouver les voies et moyens de concertations et de voir s'il y a lieu de répondre au dialogue souhaité par le Président Tebboune. C'est ce que nous a affirmé un des membres de la ligue des droits de l'Homme de Hocine Benissad,qui souligne que "le Hirak a besoin maintenantde se réorganiser, après son 10emois de parcours". La ligue des droits del'Homme entend prochainement, selon cemembre, prendre langue avec des associations,des syndicats autonomes et d'autrespersonnalités, qui soutiennent le mouvement populaire pour voir "les voies et issues à mettre en place, afin de constituer une force interlocutrice pour ses revendications". De son côté, le vice-président de la LADDH, Saïd Salhi, estime dans unedéclaration médiatique, que "d'abord, ilfaut préconiser un dialogue au sein du Hirak, et voir s'il y aura un congrès ou un espace de dialogue pour aboutir à une plate-forme revendicative commune".Cette initiative est également partagée parla Confédération des syndicats algériens, le pacte de l'alternative démocratique et des partis politiques à l'instar de Talaie El Houriet, Jil El Djadid et l'UPC de Zoubida Assoul. Ces derniers estiment dans une déclaration commune relayée par plusieurs médias que "le dialogue avec la nouvelle équipe du pouvoir doit être précédé par une concertation commune, entre différents animateurs du mouvement populaire du 22 février". Les partisans du dialogue politique qu'a lancé le président Tebboune, n'ont pas encore tranché sur le mode opératoire de ce dialogue. "Il faudra attendre d'autres rencontres pour voir la possibilité d'engager un dialogue", indique un des acteurs de la société civile et membre du PAD. Mais tous convergent pratiquement à des préalables, que le Président doit s'engager à les résoudre avant tout dialogue. Pour les acteurs politiques du Hirak, "il faut impérativement libérer ce qui reste des détenus et cesser de harceler les militants pacifiques, et de répondre aux revendications populaires, en ce qui concerne l'application de l'article 7 et 8 de la Constitution". Cela dit, les partisans du dialogue avec le nouveau pouvoir doivent éviter les "tiraillements entre groupes" et aller vers un consensus qui doit se dégager lors de la prochaine rencontre. Des voix ont clamé cette semaine, que le minimum doit être requis avant toute négociation ou pourparlers avec la nouvelle direction au pouvoir. "Il faudra mettre en compte d'unifier les positions et mettre de côté toutes les divergences pour serrer les rangs", souligne un des membres du Forum civil pour le changement. Il faudra attendre maintenant l'échéance qui sera fixée par les principaux acteurs de mouvement populaire, et s'ils vont de nouveau se concerter avec la classe politique ou pas. C'est ce que nous a affirmé un des membres de la ligue des droits de l'Homme de Hocine Benissad,qui souligne que "le Hirak a besoin maintenantde se réorganiser, après son 10emois de parcours". La ligue des droits del'Homme entend prochainement, selon cemembre, prendre langue avec des associations,des syndicats autonomes et d'autrespersonnalités, qui soutiennent le mouvement populaire pour voir "les voies et issues à mettre en place, afin de constituer une force interlocutrice pour ses revendications". De son côté, le vice-président de la LADDH, Saïd Salhi, estime dans unedéclaration médiatique, que "d'abord, ilfaut préconiser un dialogue au sein du Hirak, et voir s'il y aura un congrès ou un espace de dialogue pour aboutir à une plate-forme revendicative commune".Cette initiative est également partagée parla Confédération des syndicats algériens, le pacte de l'alternative démocratique et des partis politiques à l'instar de Talaie El Houriet, Jil El Djadid et l'UPC de Zoubida Assoul. Ces derniers estiment dans une déclaration commune relayée par plusieurs médias que "le dialogue avec la nouvelle équipe du pouvoir doit être précédé par une concertation commune, entre différents animateurs du mouvement populaire du 22 février". Les partisans du dialogue politique qu'a lancé le président Tebboune, n'ont pas encore tranché sur le mode opératoire de ce dialogue. "Il faudra attendre d'autres rencontres pour voir la possibilité d'engager un dialogue", indique un des acteurs de la société civile et membre du PAD. Mais tous convergent pratiquement à des préalables, que le Président doit s'engager à les résoudre avant tout dialogue. Pour les acteurs politiques du Hirak, "il faut impérativement libérer ce qui reste des détenus et cesser de harceler les militants pacifiques, et de répondre aux revendications populaires, en ce qui concerne l'application de l'article 7 et 8 de la Constitution". Cela dit, les partisans du dialogue avec le nouveau pouvoir doivent éviter les "tiraillements entre groupes" et aller vers un consensus qui doit se dégager lors de la prochaine rencontre. Des voix ont clamé cette semaine, que le minimum doit être requis avant toute négociation ou pourparlers avec la nouvelle direction au pouvoir. "Il faudra mettre en compte d'unifier les positions et mettre de côté toutes les divergences pour serrer les rangs", souligne un des membres du Forum civil pour le changement. Il faudra attendre maintenant l'échéance qui sera fixée par les principaux acteurs de mouvement populaire, et s'ils vont de nouveau se concerter avec la classe politique ou pas.