Décidément le parti du FL est increvable. L'ex-parti unique vient une fois encore de le prouver et de fort belle manière. Décidément le parti du FL est increvable. L'ex-parti unique vient une fois encore de le prouver et de fort belle manière. Il a remporté les élections locales anticipées du 27 novembre en dominant tous ses rivaux, notamment son meilleur frère-ennemi : le RND qui, lui, est arrivé en seconde position. Il y a à peine six mois, le parti du FLN remportait aussi le élections législatives du 12 juin. Ces résultats confirment que ce parti dispose bel et bien d'une certaine assise populaire qui lui permet encore de jouer un rôle significatif sur l'échiquier politique national. Ces résultats s'ils ont été, il faut le dire, surprenants pour nombre d'observateurs et d'analystes, ne l'étaient pas pour d'autres. Sur cette question les commentaires sont allés quelquefois divergents sur la victoire du parti, mais le fait est que le FLN reste la première force politique du pays. Aux dernières élections législatives le parti a remporté juste un peu moins de 100 sièges à l'Assemblée populaire national (APN) surclassant ainsi tous ses concurrents dont, notamment, le RND qui est arrivé en quatrième position loin derrière le MSP et les indépendants. Ces derniers, qui ont créé la surprise, sont arrivés en deuxième position. D'ailleurs le président de l'APN a été choisi parmi eux. Cette victoire, ou plutôt ce résultat puisque le FLN n'a pas obtenu, contrairement aux précédentes joutes électorales, une grande majorité, a été, on s'en doute, considéré comme une surprise par nombre d'observateurs. Mais lors des élections locales le FLN a confirmé qu'il est, sans conteste aucun, le premier parti politique du pays. Certes le vieux parti n'a pas remporté de majorité écrasante ou absolue dans nombre d'assemblées élues locales. En effet, s'il a remporté la majorité absolue dans des dizaines d'APC ce fut loin le cas dans les APW. Dans les assemblées de wilaya, le FLN n'a pas remporté de majorité absolue dans les assemblées où il est arrivé en tête. D'ailleurs aucun autre parti n'a pu réaliser cette prouesse. Ce qui fait donc que la bataille des alliances fait rage actuellement pour pouvoir former ces assemblées locales et les tractations vont ainsi bon train. Mais là c'est une autre histoire. Il y a quelques mois seulement personne ne donnait cher de la peau du FLN. Rares sont les observateurs avertis qui allaient prédire ces résultats. Ainsi presque une unanimité se dégageait selon laquelle le vieux parti était nettement sur le déclin. Avec la révolution populaire, où le FLN était voué aux gémonies par les grandioses manifestations, l'on croyait que c'était bel et bien la fin d'un parti politique. Nombreux étaient aussi les Algériens qui réclamaient de mettre le parti au musée en faisant un bien propre à tous les Algériens. Un patrimoine national puisque c'est ce fameux sigle qui a conduit la lutte de Libération nationale. Les responsables du FLN étaient jetés en prison, pour leurs accointances avec la "issaba" ils sont poursuivis pour corruption. C'est le cas de Djamel Ould Abbès qui était son secrétaire général lors du "hirak". ébranlé par cette cascade de coups le FLN était il est vrai au plus mal. C'est à la hâte qu'il a organisé son congrès pour élire un nouveau secrétaire général en la personne d'Abou El Fadl Baâdji. Ce dernier ne suscitant pas l'unanimité allait être contesté par de larges pans du magma FLN. Autant dire qu'au moment d'aborder les élections le FLN était au plus mal. Pourtant les résultats sont bel et bien là. Le FLN a prouvé à tout le monde qu'il faut encore compter avec lui. Il a remporté les élections locales anticipées du 27 novembre en dominant tous ses rivaux, notamment son meilleur frère-ennemi : le RND qui, lui, est arrivé en seconde position. Il y a à peine six mois, le parti du FLN remportait aussi le élections législatives du 12 juin. Ces résultats confirment que ce parti dispose bel et bien d'une certaine assise populaire qui lui permet encore de jouer un rôle significatif sur l'échiquier politique national. Ces résultats s'ils ont été, il faut le dire, surprenants pour nombre d'observateurs et d'analystes, ne l'étaient pas pour d'autres. Sur cette question les commentaires sont allés quelquefois divergents sur la victoire du parti, mais le fait est que le FLN reste la première force politique du pays. Aux dernières élections législatives le parti a remporté juste un peu moins de 100 sièges à l'Assemblée populaire national (APN) surclassant ainsi tous ses concurrents dont, notamment, le RND qui est arrivé en quatrième position loin derrière le MSP et les indépendants. Ces derniers, qui ont créé la surprise, sont arrivés en deuxième position. D'ailleurs le président de l'APN a été choisi parmi eux. Cette victoire, ou plutôt ce résultat puisque le FLN n'a pas obtenu, contrairement aux précédentes joutes électorales, une grande majorité, a été, on s'en doute, considéré comme une surprise par nombre d'observateurs. Mais lors des élections locales le FLN a confirmé qu'il est, sans conteste aucun, le premier parti politique du pays. Certes le vieux parti n'a pas remporté de majorité écrasante ou absolue dans nombre d'assemblées élues locales. En effet, s'il a remporté la majorité absolue dans des dizaines d'APC ce fut loin le cas dans les APW. Dans les assemblées de wilaya, le FLN n'a pas remporté de majorité absolue dans les assemblées où il est arrivé en tête. D'ailleurs aucun autre parti n'a pu réaliser cette prouesse. Ce qui fait donc que la bataille des alliances fait rage actuellement pour pouvoir former ces assemblées locales et les tractations vont ainsi bon train. Mais là c'est une autre histoire. Il y a quelques mois seulement personne ne donnait cher de la peau du FLN. Rares sont les observateurs avertis qui allaient prédire ces résultats. Ainsi presque une unanimité se dégageait selon laquelle le vieux parti était nettement sur le déclin. Avec la révolution populaire, où le FLN était voué aux gémonies par les grandioses manifestations, l'on croyait que c'était bel et bien la fin d'un parti politique. Nombreux étaient aussi les Algériens qui réclamaient de mettre le parti au musée en faisant un bien propre à tous les Algériens. Un patrimoine national puisque c'est ce fameux sigle qui a conduit la lutte de Libération nationale. Les responsables du FLN étaient jetés en prison, pour leurs accointances avec la "issaba" ils sont poursuivis pour corruption. C'est le cas de Djamel Ould Abbès qui était son secrétaire général lors du "hirak". ébranlé par cette cascade de coups le FLN était il est vrai au plus mal. C'est à la hâte qu'il a organisé son congrès pour élire un nouveau secrétaire général en la personne d'Abou El Fadl Baâdji. Ce dernier ne suscitant pas l'unanimité allait être contesté par de larges pans du magma FLN. Autant dire qu'au moment d'aborder les élections le FLN était au plus mal. Pourtant les résultats sont bel et bien là. Le FLN a prouvé à tout le monde qu'il faut encore compter avec lui.