La pratique du courtage pour les étrangers en Algérie a été, une fois de plus, évoquée lors du débat organisé par la Compagnie algérienne d'assurance et de réassurance (CAAR). Une réflexion sur les conditions d'exercer en Algérie le métier de courtier en assurance a été, cependant, lancée par M. Mounir Kabban, représentant de «United Insurance Brokers», cabinet de courtage international situé à Londres. En effet, le responsable a affirmé que l'Algérie, contrairement à ce qui se pratique chez ses voisins «les Tunisiens et les Marocains», «interdit aux étrangers, par le biais d'une réglementation nationale très stricte, la pratique du courtage à cette catégorie de courtiers sur le territoire algérien». Cependant, poursuit le responsable, «ce qui est autorisé c'est la pratique du conseil en assurance». D'après M. Kabban, le changement de cette loi s'impose en force. La conjoncture économique actuelle oblige une plus grande ouverture du secteur des assurances sur le marché international. En effet, «le marché algérien se développe rapidement (…) nous devons accompagner l'Algérie dans son processus de mutation par une plus grande intégration et implication», a avancé le responsable, «afin de répondre aux attentes des secteurs économiques de la manière la plus pertinente possible» a continué M. Kabban. Toutefois, pour assurer cette transmission d'expérience et du savoir-faire efficace dans le domaine du courtage, «l'ouverture de ce dernier pour les internationaux est primordiale», a affirmé M. Kabban qui s'est exprimé, rappelons-le, lors d'un Séminaire international pourtant le thème «Chantiers du rail et assurance». Par ailleurs, présent à cette rencontre, le Président-directeur général de la CAAR , M. Kassali, a dressé un bilan général de sa compagnie. Doyenne des sociétés d'assurance en Algérie, la CAAR multiplie les efforts afin de promouvoir le secteur des assurances en Algérie. Le chiffre d'affaires réalisé par la compagnie, affirme M. Kassali, a atteint durant l'exercice 2006, le montant de 7.5 milliards de dinars, il sera, pour l'année 2007, de 8 milliards de dinars, selon les estimations de M. Kassali. Le montant des fonds propres est estimé, actuellement, à plus 7 milliards de dinars, tandis que le résultat net de l'entreprises affiche le montant de 380 millions de dinars avec une liquidité placée estimée à 13 milliards de dinars, a confirmé le même responsable. La pratique du courtage pour les étrangers en Algérie a été, une fois de plus, évoquée lors du débat organisé par la Compagnie algérienne d'assurance et de réassurance (CAAR). Une réflexion sur les conditions d'exercer en Algérie le métier de courtier en assurance a été, cependant, lancée par M. Mounir Kabban, représentant de «United Insurance Brokers», cabinet de courtage international situé à Londres. En effet, le responsable a affirmé que l'Algérie, contrairement à ce qui se pratique chez ses voisins «les Tunisiens et les Marocains», «interdit aux étrangers, par le biais d'une réglementation nationale très stricte, la pratique du courtage à cette catégorie de courtiers sur le territoire algérien». Cependant, poursuit le responsable, «ce qui est autorisé c'est la pratique du conseil en assurance». D'après M. Kabban, le changement de cette loi s'impose en force. La conjoncture économique actuelle oblige une plus grande ouverture du secteur des assurances sur le marché international. En effet, «le marché algérien se développe rapidement (…) nous devons accompagner l'Algérie dans son processus de mutation par une plus grande intégration et implication», a avancé le responsable, «afin de répondre aux attentes des secteurs économiques de la manière la plus pertinente possible» a continué M. Kabban. Toutefois, pour assurer cette transmission d'expérience et du savoir-faire efficace dans le domaine du courtage, «l'ouverture de ce dernier pour les internationaux est primordiale», a affirmé M. Kabban qui s'est exprimé, rappelons-le, lors d'un Séminaire international pourtant le thème «Chantiers du rail et assurance». Par ailleurs, présent à cette rencontre, le Président-directeur général de la CAAR , M. Kassali, a dressé un bilan général de sa compagnie. Doyenne des sociétés d'assurance en Algérie, la CAAR multiplie les efforts afin de promouvoir le secteur des assurances en Algérie. Le chiffre d'affaires réalisé par la compagnie, affirme M. Kassali, a atteint durant l'exercice 2006, le montant de 7.5 milliards de dinars, il sera, pour l'année 2007, de 8 milliards de dinars, selon les estimations de M. Kassali. Le montant des fonds propres est estimé, actuellement, à plus 7 milliards de dinars, tandis que le résultat net de l'entreprises affiche le montant de 380 millions de dinars avec une liquidité placée estimée à 13 milliards de dinars, a confirmé le même responsable.