«Je suis une jeune femme âgée de 31 ans. Je travaille dans une société privée comme standardiste. Mon problème est que j'envie aux femmes leur féminité. Mais je suis une femme me diriez-vous ? Non, pas du tout. Je n'aime pas mon corps. Trop chétive, je ne possède pas des formes généreuses comme mes collègues qui mettent souvent en valeur leur silhouette. Lorsque je me regarde dans une glace, je me déteste davantage. D'ailleurs, je ne fais pas de grands efforts pour paraître femme. Je m'habille en jean, pantalon et veston. Je n'utilise jamais de produits cosmétiques et j'ai horreur des parfums. J'ai vraiment marre de cette existence. Je surprends, dans les couloirs, les chuchotements des collègues et je sais que je suis le sujet favori de leurs discussions. Que faire pour changer ?» Radia Vous utilisez des qualificatifs bien durs pour vous désigner. Vous souffrez et cela semble clair à travers votre lettre. Vous ne supportez pas votre silhouette trop chétive et votre poitrine peu développée. Vous semblez en conflit avec votre corps, source de votre gêne et douleur. Vous enviez aux femmes leur féminité, mais que faites-vous pour mettre en valeur la vôtre ? «J'ai horreur des parfums, des produits cosmétiques», dites-vous. Ces deux objets ont pour rôle principal de mettre en valeur les atouts d'une femme. Vous vous habillez comme un mec, vous voilez votre féminité et vous prétextez le fait de ne pas avoir un corps particulièrement féminin. Il serait nécessaire de vous pencher sur l'origine même de se comportement ? Que cherchez-vous à fuir ? Que représente pour vous la féminité ? Ne voulez-vous pas, par votre attitude, cacher votre côté vulnérable ? Vous pensez ne pas être belle, mais vous ne faites pas d'effort pour mettre en valeur votre féminité. Une belle citation de Fhilippe Forget, me traverse l'esprit. Il disait : «Toutes les femmes sont belles, certaines le sont plus, certaines le sont moins, mais c'est la féminité présente en chacune d'elles qui fait qu'elles sont si spéciales.» C'est l'image que vous avez de vous-même qui est problématique. Vous refusez de mettre en valeur ce corps que vous détestez. Vous semblez même projeter toute votre rage intérieure sur ce corps, votre souffre-douleur. Pourquoi ne commencez-vous pas par changer votre vision de vous-même. Admettre que vous êtes une femme (une belle femme même), vous occuper de votre lingerie, faire le tour des boutiques pour vous acheter de belles robes qui mettraient mieux en valeur votre silhouette. Choisissez un parfum enivrant qui marquera votre présence là où vous vous rendrez. Mettez au placard vos jeans. Changez votre couleur, votre coupe de cheveux, reconsidérez votre alimentation en contactant un diététicien qui pourra vous prescrire un régime alimentaire riche qui vous permettra de retrouver une meilleure forme. Consacrez-vous, après une journée éreintante de travail, un moment de répit au cours duquel vous entretiendrez une relation purement amoureuse avec votre personne. Ecoutez un beau morceau de musique classique en dégustant un chocolat exquis, tout en vous concentrant sur les émotions qui vous traversent l'esprit. Tout cela vous permettrait de vous réconcilier avec vous-même et retrouver, quelque part au fond de vous-même, la femme qui sommeille. Une femme certainement douce et sensuelle. Allez, à vous de jouer ? «Je suis une jeune femme âgée de 31 ans. Je travaille dans une société privée comme standardiste. Mon problème est que j'envie aux femmes leur féminité. Mais je suis une femme me diriez-vous ? Non, pas du tout. Je n'aime pas mon corps. Trop chétive, je ne possède pas des formes généreuses comme mes collègues qui mettent souvent en valeur leur silhouette. Lorsque je me regarde dans une glace, je me déteste davantage. D'ailleurs, je ne fais pas de grands efforts pour paraître femme. Je m'habille en jean, pantalon et veston. Je n'utilise jamais de produits cosmétiques et j'ai horreur des parfums. J'ai vraiment marre de cette existence. Je surprends, dans les couloirs, les chuchotements des collègues et je sais que je suis le sujet favori de leurs discussions. Que faire pour changer ?» Radia Vous utilisez des qualificatifs bien durs pour vous désigner. Vous souffrez et cela semble clair à travers votre lettre. Vous ne supportez pas votre silhouette trop chétive et votre poitrine peu développée. Vous semblez en conflit avec votre corps, source de votre gêne et douleur. Vous enviez aux femmes leur féminité, mais que faites-vous pour mettre en valeur la vôtre ? «J'ai horreur des parfums, des produits cosmétiques», dites-vous. Ces deux objets ont pour rôle principal de mettre en valeur les atouts d'une femme. Vous vous habillez comme un mec, vous voilez votre féminité et vous prétextez le fait de ne pas avoir un corps particulièrement féminin. Il serait nécessaire de vous pencher sur l'origine même de se comportement ? Que cherchez-vous à fuir ? Que représente pour vous la féminité ? Ne voulez-vous pas, par votre attitude, cacher votre côté vulnérable ? Vous pensez ne pas être belle, mais vous ne faites pas d'effort pour mettre en valeur votre féminité. Une belle citation de Fhilippe Forget, me traverse l'esprit. Il disait : «Toutes les femmes sont belles, certaines le sont plus, certaines le sont moins, mais c'est la féminité présente en chacune d'elles qui fait qu'elles sont si spéciales.» C'est l'image que vous avez de vous-même qui est problématique. Vous refusez de mettre en valeur ce corps que vous détestez. Vous semblez même projeter toute votre rage intérieure sur ce corps, votre souffre-douleur. Pourquoi ne commencez-vous pas par changer votre vision de vous-même. Admettre que vous êtes une femme (une belle femme même), vous occuper de votre lingerie, faire le tour des boutiques pour vous acheter de belles robes qui mettraient mieux en valeur votre silhouette. Choisissez un parfum enivrant qui marquera votre présence là où vous vous rendrez. Mettez au placard vos jeans. Changez votre couleur, votre coupe de cheveux, reconsidérez votre alimentation en contactant un diététicien qui pourra vous prescrire un régime alimentaire riche qui vous permettra de retrouver une meilleure forme. Consacrez-vous, après une journée éreintante de travail, un moment de répit au cours duquel vous entretiendrez une relation purement amoureuse avec votre personne. Ecoutez un beau morceau de musique classique en dégustant un chocolat exquis, tout en vous concentrant sur les émotions qui vous traversent l'esprit. Tout cela vous permettrait de vous réconcilier avec vous-même et retrouver, quelque part au fond de vous-même, la femme qui sommeille. Une femme certainement douce et sensuelle. Allez, à vous de jouer ?