Le directeur général de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS), Zebbar Berrabah, a annoncé la signature, récemment à Londres, d'une convention avec le partenaire britannique sur l'accueil d'une délégation médicale britannique, une fois par mois, en Algérie pour prendre en charge les cardiopathies congénitales chez les nourrissons. Dans une interview sur le site du journal électronique, Algeria Press On line paraissant à Londres, rapporté par l'APS, M. Berrabah a indiqué que cette convention était la première en Algérie à garantir et obliger le partenaire britannique à envoyer une délégation médicale britannique une fois par mois en Algérie "pour prendre en charge ces enfants". Cette convention, a-t-il ajouté, "est essentiellement axée sur la priorité de prise en charge des cardiopathies congénitales des nourrissons et des enfants pesant moins de 5 kg ou ce qui est appelé cas complexes". "Nous avons insisté, lors de la signature, sur une chose essentielle qui n'est pas appliquée par certains partenaires européens qui est la facturation+selon le système forfaitaire maladie et ce, quelque soit la durée de l'hospitalisation du malade", a souligné le directeur général de la CNAS. Parmi les points contenus dans la convention, M. Berrabah a cité "l'accélération de l'acquisition des techniques de diagnostic de la maladie, la formation à distance via le système de vidéo conférence, l'amorce de négociations plus élargies pour généraliser les termes de la convention aux autres spécialités telle la prise en charge des maladies graves nécessitant un transfert à l'étranger dont le cancer de l'œil, du cerveau et neurologique et autres cas complexes ainsi que la greffe d'organes à l'exemple du rein et du foie". Aussi, poursuit-il, "une nouvelle politique a été adoptée par l'administration de la CNAS à savoir la politique d'ouverture à différents pays européens qui assurent le meilleur service et l'accompagnement du transfert technologique". Pour la première fois dans l'histoire de la médecine algérienne, a-t-il annoncé, "un colloque international sera organisé en Algérie avant la fin de l'année sous le thème "Chirurgie des cardiopathies congénitales chez les enfants", avec la participation d'experts étrangers et algériens dans le but d'adopter une stratégie de généralisation et de prise en charge dans tous les hôpitaux du pays". Ce colloque vise, selon M. Berrabah, à développer les capacités médicales en matière de chirurgie cardiaque notamment chez les enfants souffrant de cardiopathies congénitales qui nécessitent une intervention chirurgicale complexe et spécialisée et des compétences médicales de haut niveau. La CNAS, a-t-il poursuivi, a entamé, avec des médecins de Grande-Bretagne, de Belgique et de Suisse, par le biais de la convention signée mercredi passé, la concrétisation d'un programme de formation au profit de ses fonctionnaires au niveau de la Clinique médico-chirurgicale infantile (CMCI) de Bou Ismail dans le cadre du programme de coopération et de transfert du savoir-faire et de la technologie. Le directeur général de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS), Zebbar Berrabah, a annoncé la signature, récemment à Londres, d'une convention avec le partenaire britannique sur l'accueil d'une délégation médicale britannique, une fois par mois, en Algérie pour prendre en charge les cardiopathies congénitales chez les nourrissons. Dans une interview sur le site du journal électronique, Algeria Press On line paraissant à Londres, rapporté par l'APS, M. Berrabah a indiqué que cette convention était la première en Algérie à garantir et obliger le partenaire britannique à envoyer une délégation médicale britannique une fois par mois en Algérie "pour prendre en charge ces enfants". Cette convention, a-t-il ajouté, "est essentiellement axée sur la priorité de prise en charge des cardiopathies congénitales des nourrissons et des enfants pesant moins de 5 kg ou ce qui est appelé cas complexes". "Nous avons insisté, lors de la signature, sur une chose essentielle qui n'est pas appliquée par certains partenaires européens qui est la facturation+selon le système forfaitaire maladie et ce, quelque soit la durée de l'hospitalisation du malade", a souligné le directeur général de la CNAS. Parmi les points contenus dans la convention, M. Berrabah a cité "l'accélération de l'acquisition des techniques de diagnostic de la maladie, la formation à distance via le système de vidéo conférence, l'amorce de négociations plus élargies pour généraliser les termes de la convention aux autres spécialités telle la prise en charge des maladies graves nécessitant un transfert à l'étranger dont le cancer de l'œil, du cerveau et neurologique et autres cas complexes ainsi que la greffe d'organes à l'exemple du rein et du foie". Aussi, poursuit-il, "une nouvelle politique a été adoptée par l'administration de la CNAS à savoir la politique d'ouverture à différents pays européens qui assurent le meilleur service et l'accompagnement du transfert technologique". Pour la première fois dans l'histoire de la médecine algérienne, a-t-il annoncé, "un colloque international sera organisé en Algérie avant la fin de l'année sous le thème "Chirurgie des cardiopathies congénitales chez les enfants", avec la participation d'experts étrangers et algériens dans le but d'adopter une stratégie de généralisation et de prise en charge dans tous les hôpitaux du pays". Ce colloque vise, selon M. Berrabah, à développer les capacités médicales en matière de chirurgie cardiaque notamment chez les enfants souffrant de cardiopathies congénitales qui nécessitent une intervention chirurgicale complexe et spécialisée et des compétences médicales de haut niveau. La CNAS, a-t-il poursuivi, a entamé, avec des médecins de Grande-Bretagne, de Belgique et de Suisse, par le biais de la convention signée mercredi passé, la concrétisation d'un programme de formation au profit de ses fonctionnaires au niveau de la Clinique médico-chirurgicale infantile (CMCI) de Bou Ismail dans le cadre du programme de coopération et de transfert du savoir-faire et de la technologie.
