La rencontre tant attendue de la tripartite s'est tenue hier à Alger sans les syndicats autonomes. Cette exclusion est celle de trop pour les fonctionnaires du secteur public déjà en ébullition depuis quelques semaines déjà et qui se disent «marginalisés» des discussions politiques du gouvernement. Pour protester contre cette démarche «non approuvée» par l'ensemble des syndicats autonomes, un sit-in se tiendra ce matin devant le palais du Gouvernement sous la tutelle de l'Intersyndicale qui semble être déterminé à faire entendre sa colère et son indignation des pouvoirs publics. «Nous dénonçons cette exclusion contraire au principe du pluralisme syndical. Ce n'est plus une tripartite, c'est une réunion gouvernementale à huit clos, qui n'apportera pas grand-chose à la vie sociale», a déclaré, hier au Midi Libre, le président du Syndicat national autonome public de l'administration publique (Snapap), Mourad. Tchiko. "Cette rencontre n'est pas reconnue par les fonctionnaires publics que nous sommes", a-t-il ajouté. Selon ce dernier, les protestataires qui ont répondu favorable à cette contestation sont, le Snapap, le Cla (Conseil des lycées d'Alger), Satef (Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation), Cnapest (Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique), et le Cnes (Conseil national de l'enseignement supérieur). Il faut dire que les syndicalistes ne nourrissent plus de grands espoirs quant à voir une amélioration de leur situation socioprofessionnelle après la tenue de la tripartite. La rencontre tant attendue de la tripartite s'est tenue hier à Alger sans les syndicats autonomes. Cette exclusion est celle de trop pour les fonctionnaires du secteur public déjà en ébullition depuis quelques semaines déjà et qui se disent «marginalisés» des discussions politiques du gouvernement. Pour protester contre cette démarche «non approuvée» par l'ensemble des syndicats autonomes, un sit-in se tiendra ce matin devant le palais du Gouvernement sous la tutelle de l'Intersyndicale qui semble être déterminé à faire entendre sa colère et son indignation des pouvoirs publics. «Nous dénonçons cette exclusion contraire au principe du pluralisme syndical. Ce n'est plus une tripartite, c'est une réunion gouvernementale à huit clos, qui n'apportera pas grand-chose à la vie sociale», a déclaré, hier au Midi Libre, le président du Syndicat national autonome public de l'administration publique (Snapap), Mourad. Tchiko. "Cette rencontre n'est pas reconnue par les fonctionnaires publics que nous sommes", a-t-il ajouté. Selon ce dernier, les protestataires qui ont répondu favorable à cette contestation sont, le Snapap, le Cla (Conseil des lycées d'Alger), Satef (Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation), Cnapest (Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique), et le Cnes (Conseil national de l'enseignement supérieur). Il faut dire que les syndicalistes ne nourrissent plus de grands espoirs quant à voir une amélioration de leur situation socioprofessionnelle après la tenue de la tripartite.