Encore un 1er Novembre qui est passé sur la pointe des pieds. Les flonflons officiels, les emphases des demi-soldes du nationalisme fini font davantage rire que réfléchir. Pourtant, dans le cœur de ce peuple, il reste une bougie qui brûle et éclaire, dédiée à tous ces jeunes, des centaines de milliers, qui ont sacrifié leur vie, et d'autres leur liberté et leur jeunesse, pour libérer ce pays. Et que le fleuve ait été par la suite détourné par des Tombeza au petit pied n'enlève rien à la magie du 1er Novembre. A. T. [email protected]