Les dernières pluies qui se sont abattues ce week-end sur la région ont causé quelques dégâts. L'impact sur les infrastructures routières n'est pas négligeable. Les automobilistes de Guelma pestent en raison de l'état des mêmes tronçons qui avaient très mal résisté, malgré des pluies pourtant relativement faibles. Les usagers du boulevard de la «Sonacome» confirment la dégradation avancée de la chaussée, notamment au niveau du croisement de la route de Belkheir. Une partie qui n'a pas bénéficié d'une opération de remise en l'état, devenue donc impraticable et toujours pas réparée au jour d'aujourd'hui. Ces dégâts ont concerné d'autres routes plus ou moins névralgiques. Le cas de la chaussée de la voie à double sens et qui mène à la mosquée Ennour, dans l'extension de la cité du 19-juin, se trouve dans un état de dégradation très avancé, impactant lourdement la fluidité au niveau de cet axe routier, car très fréquenté par les riverains. S'agissant des cités d'habitations collectives, il y a de nombreux motifs d'inquiétudes. Les précipitations ont révélé au grand jour, l'état lamentable dans lequel se trouve la voirie dans ces quartiers périphériques de la ville. Dans les cités Emir Abdelkader, Rahabi, Khala : fissures, nids-de-poule, bitume morcelé, flaques d'eau…, les habitants attendent désespérément la réparation des routes. Noureddine Guergour