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NOTRE S�LECTION
Publié dans Le Soir d'Algérie le 22 - 07 - 2008


Bacheliers de l�ancien et du nouveau syst�me
Nous bacheliers 2008, de l'ancien syst�me �ducatif, pensons avoir �t� bien l�s�s sur les r�sultats obtenus par les candidats de la nouvelle r�forme. Comment peut-on esp�rer nous inscrire dans une fili�re scientifique telle que la biom�dicale avec 13 de moyenne et plus, puisque l'ann�e pr�c�dente, on pouvait pr�tendre plus facilement � cette fili�re.
Nous n'arrivons pas � expliquer une telle r�ussite au baccalaur�at (nombre tr�s important de laur�ats) avec un programme r�form�, donc tout nouveau, alors que le candidat le passe pour la premi�re fois. C'est tr�s surprenant. M�me un ancien proviseur de lyc�e fut totalement surpris par cette r�ussite : �En 40 ans de service, je n'ai jamais vu un nombre aussi important de laur�ats au bac.� En ce qui concerne l'ancien syst�me, c'est tout � fait le contraire, et ils sont peu nombreux � l�avoir d�croch� pour la premi�re fois. Normalement, les meilleurs r�sultats auraient d� �t� enregistr�s chez les �l�ves de l'ancien syst�me. Donc la r�forme est � la port�e de tous, ou alors l'ancien syst�me �tait des plus difficiles. Aussi comment allons-nous �tre class�s � l'universit� ? Serions-nous m�lang�s avec ceux du nouveau syst�me, et dans le cas o� il n'y aurait pas de places pour les bacheliers de l'ancien syst�me dans les fili�res m�dicales, vont-ils nous sacrifie ?
Un groupe de bacheliers de l'ancien syst�me, S�tif.
A propos de la cr�ation de l�Etat d�Isra�l
En 1944, le roi Ibn Saoud rencontra le pr�sident Roosevelt. Ce dernier dit au roi
- Les Juifs ont beaucoup souffert des nazis, apr�s la guerre il faudra leur trouver une patrie.
- Vous avez raison, Monsieur le Pr�sident, r�pondit le roi, donnez-leur... une partie de l'Allemagne.
Nabder
L�enseignement par comp�tence, un �chec
Je reste bouche b�e quand je lis dans les colonnes de la presse alg�rienne ce que les enseignants vivent au quotidien. En particulier les contractuels. Je me sens interpell� par leur cause. D�autant que j�ai �t� dans le pass� enseignant en Alg�rie. Mais actuellement, j�exerce sous un autre ciel. Je me demande comment un ministre est toujours en poste au moment o� des milliers d�employ�s de son secteur n�ont pas per�u leurs salaires depuis plus de trois ans. A-t-il une conscience ? On d�cide comme �a, par un tour de magie, de mettre en application des lois qui porteront pr�judice � des milliers d�enseignants en poste depuis des ann�es. O� est notre conscience collective ? O� sont nos d�fenseurs des droits ? Les pauvres ont accept� de travailler des ann�es sans toucher aucun sou pour qu�en fin de compte, on leur montre la porte de sortie avec des lois saboteuses. Concernant la r�forme, permettez-moi de faire cette r�flexion : elle est un �chec certain. Je sais de quoi je parle. Plusieurs pays l�ont adopt�e et, vite, se sont rendu compte des �checs �normes qu�elle pr�sente. Le dernier � l�avoir exp�riment�e est le Qu�bec o� je vis actuellement et j�exerce ce m�tier. L�Alg�rie a emprunt� le m�me chemin que celui de la Suisse et le Qu�bec. Ces derniers l�ont vite mise au placard, suite aux constats alarmants que des experts en �ducation ont relev�s. C�est simple : si l�Alg�rie continuait � l�appliquer, nos �l�ves ne sauraient ni lire ; ni �crire, ni compter. L�enseignement par comp�tence est un �chec partout o� il est appliqu�.
Arr�tant le bricolage S.V.P !
Velvet Milano
Le grand trou noir
Dans une Alg�rie pleine de myst�res, les gens n�arrivent pas � s�imposer gr�ce � leurs comp�tences, mais plut�t � leurs ruses et malices. C�est d�cevant de voir un pays tel que l�Alg�rie s�engouffrer dans un grand trou noir et effroyable. Je d�die un grand salut tout de m�me � tous ceux qui ont donn� � cette Alg�rie le mieux dont ils sont capables. Je ne cite personne et je n�accuse personne. Car ceux qui vont lire ce passage se situeront s�rement.
Kamel B.
Le pire...
Je n�ai jamais eu la chance de conna�tre l'Alg�rie d'antan, celle dont me parlent si souvent mes parents, ils me la d�crivent tellement parfaite que j'ai du mal � les croire. Parfois, ne conna�tre de l'Alg�rie que son visage barbu, son hostilit� envers les journalistes et bons �crivains qui osent d�fier les d�tenteurs du pouvoir, sa manie d'accuser l'Occident pour tous les malheurs qu'endure le pays, son syst�me �ducatif m�diocre et le machisme de la majorit� de ses citoyens m�les ou bien le pire serait-il le cas de mes pauvres parents qui voient leur bien-aim�e Alg�rie se consommer � grandes flammes et se sentir incapable de faire quoi que ce soit ? J'ai 18 ans et j'ai tellement honte de r�ver de quitter la terre sur laquelle a coul� le sang de mon grand-p�re pour avoir une vie meilleure sur la terre de ceux qui l'ont tu� !


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