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LES CH�TIMENTS CORPORELS DANS LES �COLES SE MULTIPLIENT
� quand le bannissement de telles pratiques ?
Publié dans Le Soir d'Algérie le 14 - 10 - 2009

�Mon fils, qui est en 2e ann�e moyenne, ne veut plus aller en cours ! c�est un adolescent qui n�est pas difficile, mais aujourd�hui avec ce qu�il nous raconte, on ne sait plus quoi faire !�
C�est l�expression du d�sarroi de parents, qui ne sont pas des cas isol�s, face � la violence d�enseignants � l�encontre d��l�ves. Ces parents nous expliquent que leur fils craint chaque jour de se voir �corriger� par un prof au cas o� il ne saurait r�pondre. �Il a vu plusieurs de ses camarades de classe frapp�s et humili�s parce qu�ils n�avaient pas fait leurs devoirs ou qu�ils n�avaient pas su r�pondre ! Aujourd�hui, il nous a avou� avoir choisi de ne plus rien dire en classe, de se faire le plus discret possible. Il est devenu renferm�, ne s�exprime plus et, bien s�r, ses r�sultats scolaires sont en chute�.�. Un enfant � l��vidence bris� psychologiquement par la p�dagogie toute particuli�re de certains enseignants qui se croient au XIXe si�cle. En effet, car ici il s�agit de t�moignages sur les ch�timents corporels que subissent des �l�ves, quel que soit le palier et donc quel que soit leur �ge. Ces t�moignages sont l�gion, comme celui d�une autre m�re de famille qui veut elle aussi garder l�anonymat et qui refuse m�me que l�on cite le nom du CEM se trouvant � Es- Sedikkia, un quartier d�Oran qui n�a pas la r�putation d��tre difficile. �Chaque jour, ma fille me raconte le nombre de gifles inflig�es par une enseignante de math�matique aux gar�ons comme aux filles. La derni�re fois, elle m�a demand� ce qu�elle devrait faire au cas o� elle aussi serait frapp�e ?� Le ch�timent corporel est un ph�nom�ne r�current dans �l��cole alg�rienne � et personne ne veut l�aborder de mani�re franche, encore moins l�administration, qui se r�fugie derri�re des textes et des r�glements, jamais appliqu�s. �Les ch�timents corporels sont interdits, les parents ont la possibilit� de d�poser une r�clamation � notre niveau ou des plaintes�, avons-nous souvent entendu � la direction de l��ducation. Chez les enseignants, l�on se trouve des excuses : �Les �l�ves sont souvent mal �lev�s ,ils ne respectent pas l�enseignant et perturbent les cours� ou encore, en dernier ressort, �des parents nous disent allez-y vous pouvez frapper mon enfant s�il ne travaille pas bien�. Du c�t� des parents, si certains vous disent qu�une bonne gifle ne fait pas de mal, et vous rappellent qu�eux-m�mes, � leur �poque, ils ont en essuy� des coups, et qu�aujourd�hui ils se portent bien, d�autres ont peur de r�agir et de se plaindre craignant, � juste raison, que leurs enfants ne soient par la suite �cass�s� en guise de repr�sailles. Ces r�actions sont certes le reflet de la soci�t�, des maux et des bouleversements qu�elle subit, mais cela ne doit pas pour autant emp�cher tout un chacun d�agir contre ce type de comportement. C�est un probl�me aussi grave que celui de la surcharge des classes, l�am�nagement du rythme scolaire, le contenu des programmes, les droits socioprofessionnels des enseignants.

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