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Parents, enseignants et psychologues au service des élèves: Tout faire pour leur remonter le moral
Publié dans Le Temps d'Algérie le 11130

Refaire le bac pour la seconde fois, la même année, ne doit pas être chose aisée pour les candidats. Et c'est tout à fait compréhensible. Non seulement ils ont vécu un stress permanent tout au long de l'année scolaire, ils ont dû surmonter la difficulté de l'épreuve le jour J mais aussi faire face à tous les malheureux événements qui ont alimenté la semaine de l'examen. Le refaire une seconde fois doit être une rude épreuve pour ces jeunes qui, finalement, ne rêvent que de rejoindre l'Université. Aujourd'hui, les 557 000 élèves vont devoir s'armer de courage. Tandis que certains considèrent cette session comme une seconde chance pour «faire mieux», d'autres ont dû avoir le soutien moral de leurs parents qui ont redoublé d'ingéniosité pour les booster. L'Union nationale de l'association des parents d'élèves témoigne de cet état d'esprit des élèves à la veille de l'ultime épreuve. «Ils essayent de faire bonne figure, mais ils sont un peu anxieux», dira Khaled Ahmed, président de l'Unape. «Ils sont jeunes et ont du mal à supporter tout ce qui se passe autour de ce bac», ajoute-t-il. Une situation qui a poussé l'association à prendre les choses en main et à faire en sorte que le candidat se surpasse. «Les établissements scolaires sont restés ouverts depuis une semaine. Sur place, des enseignants, des psychologues et des conseillers pédagogiques ont été appelés à soutenir les élèves et à répondre à la moindre interrogation», assure Khaled Ahmed. Et d'ajouter : «Les parents ont aussi été appelés à bien communiquer avec leurs enfants et faire en sorte qu'ils ne soient pas perturbés par tout ce qui se publie sur les réseaux sociaux.» Mais est-il toujours facile de ne pas y prêter attention ? Leïla, une candidate d'Alger, ne cache pas son stress. «Je lis chaque jour une nouvelle information sur la deuxième session du bac. Les commentaires, je ne vous cache pas, me mettent la pression plus que l'examen», confie-t-elle. Elle affirme aussi «avoir bien travaillé quelques sujets le 29 juin dernier, notamment celui de sciences naturelles. J'ai peur, donc, que le prochain soit plus difficile. Ce qui pourrait me perturber». D'autres élèves sont plus ou moins motivés. «J'avais honnêtement espéré qu'il le refasse. De la sorte, seuls les candidats qui ont travaillé tout au long de l'année pourront réussir. C'est une question de mérite», témoigne Radia. Elle affirme avoir mal pris certaines réactions des internautes qui ont « banalisé le concours et sont même allés à rire des élèves studieux qui vont se retrouver avec des élèves qui ont pu décrocher le bac grâce à la triche.»
Les syndicalistes, de leur côté, ont «tenté de travailler en synergie pour que l'examen se passe dans de bonnes conditions». Boualem Amoura, secrétaire général du Satef s'est montré rassurant en déclarant que «les élèves que nous avons pu approcher ont affiché une bonne volonté pour repasser le bac». Selon lui, «tant que les candidats ont accepté de repasser les examens, c'est déjà une belle réussite pour le travail qu'a mené le ministère de l'Education et tous les travailleurs du secteur».

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