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«J'ai également découpé des corps en petits morceaux avec une scie» Le terroriste qui a éviscéré le cœur d'un homme en Syrie avant de le manger témoigne dans le journal américain Time :
Le «rebelle islamiste» qui a éviscéré le cœur d'un homme en Syrie ne regrette pas son acte monstrueux et criminel. C'est, rappelons-le, dans une vidéo que ce monstre a été montré arrachant le cœur d'un homme, présenté comme étant un «pro-régime de Bachar Al Assad» et le manger. Un acte de cannibalisme et de haine extrême qu'il dit avoir commis au nom de l'Islam, une religion de paix et catégoriquement hostile à ce genre de comportement. Il dit, également, avoir commis d'autres crimes de ce genre comme découper les corps de personnes avec une scie et promet de commettre d'autres actes de ce genre. «L'opposition» syrienne tente de «justifier» cet acte injustifiable et certains pays occidentaux et d'autres du Golfe continuent à exprimer leur désir d'armer cette «opposition» auteur déjà de nombreux crimes contre l'humanité. L'auteur de cet acte monstrueux serait un dénommé Khalid Al Hamad qui se vante également d'avoir en sa possession une autre vidéo le montrant en train de commettre d'autres atrocités. «J'y découpe un ‘chabbi' (milicien pro-régime) avec une scie. La scie qu'on utilise pour couper des arbres. Je l'ai découpé en petits et grands morceaux», déclare le terroriste dans un entretien mis en ligne par le journal américain Time. Sur les images, l'islamiste découpe le cœur et le foie du soldat en uniforme avant de lancer : «Nous jurons devant Dieu que nous mangerons vos cœurs et vos foies, soldats de Bachar le chien», est-il rappelé. «Oh héros de Baba Amr, massacrez les Alaouites et découpez leur cœur pour le manger !», ajoute dans la vidéo ce terroriste se réclamant de «l'opposition au régime de Bachar Al Assad». Les Etats-Unis se disent «horrifiés» par cette vidéo. Pourtant, le président américain Barak Obama continue à évoquer sa volonté d'armer «l'opposition» syrienne. Le Qatar, l'Arabie Saoudite et la Turquie, notamment, expriment la même volonté, celle d'armer davantage les «rebelles» syriens composés principalement par le groupe «djihadiste» Al Nosra qui, rappelle-t-on, a fait allégeance, il y a quelques mois, à Al Qaïda. Ce groupe est déjà l'auteur de plusieurs exactions et crimes contre l'humanité avec des exécutions sommaires et collectives de personnes présentées comme étant «proches du pouvoir de Bachar Al Assad». De telles atrocités, consistant à notamment découper des corps en petits morceaux à l'aide de scie, ont été commises en Algérie durant les années 1990 par le Groupe islamique armé (GIA), organisation terroriste ayant donné naissance au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), devenu Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), faut-il rappeler.
