PPour débuter cette modeste chronique, disons de suite, que les magouilles et autres crocs-en-jambe, déjà évoqués, par de pessimistes gens, pour des raisons objectives à leurs yeux, qui voient tout en noir, seront balayés de l'extérieur du pied gauche de Youcef Belaïli, et du percutant, dribble court de Ramiz-Larbi Zerrouki. Quand la classe parlera, les feintes des dirigeants de la CAF, s'en iront planer, avant de mourir dans les nombreux bas nuages gris-noirs de l'hiver 2024. Voilà! Les grands débrouillards en sabotage d'oeuvres utile à la nation, les directeurs en chef, de la tentative de déstabilisation de notre Equipe nationale de football, continuent leurs basses besognes, en vue de carrément, déséquilibrer, puis désarçonner, Djamel Belmadi à quelques semaines du coup d'envoi de la coupe d'Afrique des nations 2023, qui doit se tenir du 12 janvier au 11 février 2024 en Côte d'Ivoire. Aux dernières nouvelles, encore fraîches, un «dissident» a appelé la «troupe-saboteuse-des- bons -procédés, de Djamel Belmadi, à une halte provisoire, des hostilités contre l'EN. Qui a plutôt besoin d'unité que de dispersion des forces vives. «Tous unis pour les Verts»! Semble être le leitmotiv des fans de l'Equipe nationale. Les agendas ont été soigneusement fermés provisoirement, le temps pour l'escadron du sélectionneur national, laissé tranquille pour le moment crucial des évènements continentaux sportifs, importants de Belmadi et son «peuple»! Ces basses oeuvres visent évidemment, le seul sélectionneur national, sur le viseur des «snippers» antitout! N'avons-nous pas vécu une insulte en direct-live, des supporters algériens, par un vil et mesquin participant à un plateau TV? S'il est vrai que dans tous les pays, le nombre d'entraîneurs nationaux, égale celui du nombre d'âmes, notre pays couvre à lui seul des amateurs d'insultes, égalant les amateurs d'antinationaux, et c'est malheureux. Depuis plus d'une dizaine d'années, un honorable consultant revient sur «l'empêchement» de sa participation en Coupe du monde, arguant du fait qu'il y avait sur le terrain, des joueurs qui n'auraient jamais dû être sélectionnés! Un autre parle des joueurs nés de l'autre côté de la Grande Bleue, comme des «étrangers»! Certains consultants et anciens joueurs tentent même de faire revenir Djamel Belmadi, sur ses décisions, alors qu'ils savent très bien que, jamais, au grand jamais, il ne déviera de ses «intimes» convictions, et de celles de ses compagnons, i.e. les membres de son staff. On a essayé de gonfler les salaires des membres du staff, alors, qu'ils n'avaient jamais soulevé cette question, lors des passages successifs d'autres coaches, et Allah, Seul, connaissait le nombre, et le montant qu'ils ont touché. Entre-temps, les gens font comme si le Championnat national ressemblait étrangement à ceux de certains pays sud-américains, ou européens! Le MC Alger sans résistance Le Mouloudia d'Alger, par exemple, se promène à chaque match, sans que personne ne tire la sonnette d'alarme, sur cet énorme fossé, qui fait que certains clubs s'offrent de folles primes, alors que d'autres se font du mouron, pour simplement payer leurs athlètes! Lamentable situation des clubs algériens! En haut du tableau, le MCA trône sans trop ahaner, le reste suit, cahin-caha, la caravane de clubs handicapés et infirmes, des clubs maintenus par le truchement des injections du système «D», un système qui ne mène nulle part. Entre-temps, les dettes s'accumulent, et font boule de neige, qui compense l'absence totale de neige, en ce mois de décembre 2023! Un CR Belouizdad, le champion sortant, qui participe pour la 4e année consécutive aux coupes continentales, sans pouvoir au préalable tirer les grands et nécessaires enseignements! Un grand Chabab de Belouizdad qui n'a plus rien, de si grand. Des joueurs quelconques qui se livrent à des «corvées», purement et simplement. Plus de joie de jouer, ni d'engagements! Une équipe de Sétif qui a perdu de sa splendeur d'antan. Où est donc passé l'amour des couleurs locales et assister, impuissant à la descente des «Noir et Blanc» aux enfers? L'aigle sétifien a-t-il perdu son nid haut perché dans les fins fonds des Hauts-Plateaux de l'est? Une JS Kabylie qui s'emmêle les «espadrilles», malgré le dernier résultat en terre ouahranie, dans des luttes intestines. Un MC Oran qui n'arrive même pas à réunir des athlètes, susceptibles de se tenir debout. Avec un excellent Kheir-Eddine Madoui, ce coach déboussolé par la bizarre attitude de ses poulains, dont plusieurs ne méritent même pas de porter le maillot des Hamraoua! Un team répondant du nom de l'«Etoile» de Magra, regarde, impuissant son «étoile» pâlir, de quoi faire rougir de honte tout la région du Hodna, et même une partie, de M'Doukel (Barika), et des «Aurès»! Une très belle équipe du Paradou AC, qui reste à nos yeux, le meilleur team pratiquant un foot vivace, agréable et chatoyant, qui domine ses adversaires, vite lassés par la fraîcheur de son jeu. Sa dernière petite défaite, était due essentiellement à la farouche volonté des Mouloudéens d'Alger, décidés plus que jamais à creuser l'écart dans un très petit Championnat national, qui fait jaser plus d'un! Le CS Constantine, pour ne pas changer, connaît des hauts et des bas, malgré l'effort de l'Etat, dans son aide sans compter. L'ASO Chlef poursuit tant bien que mal son petit bonhomme de chemin. El Bayadh est en train de traverser difficilement, le «vert» désert avec plus ou moins de bonheur. La «bouillabaisse» en bouillie On dira dans les chaumières de Bab El Oued, Soustara, et autres Z'ghara sous peu, qu'il y avait, durant la saison 2023/2024, une très grande équipe dans le Championnat national, à savoir, le Mouloudia Club d'Alger, puis plus rien, derrière. Nous ressentons l'inutilité d'un tel championnat, où le champion a gagné ses parties, sans «péril», ni gloire. La preuve par «9» sera dans les duels livrés lors des matchs de coupes africaines. Entre-temps, le convoi des clubs déshérités, traversera la voie, sans «voix», priant Allah de lui venir en aide. Voyez un peu le désinvolte et excellent technicien, Youcef Belaïli: il se promène carrément, malgré son volumineux bassin sur les pelouses du pays, et, est supérieur, franchement, aux autres joueurs, y compris ses coéquipiers. Est-ce à affirmer qu'il sera d'aplomb d'ici, la coupe d'Afrique? Non, bien sûr, et si par un heureux hasard, Djamel Belmadi lui faisait appel pour la Côte d'Ivoire en 2024, ce sera, comme un simple joker! Parce qu'à le voir jouer ces temps -ci, on a vraiment hâte de voir le referee siffler la fin d'un match, incomplet, vu l'état physique des joueurs. Ajoutez les multiples «chutes» du fantasque n°10 mouloudéen, dans les surfaces de réparation, et vous aurez une idée dont Belmadi suit bien tous les sélectionnables! Un peu partout dans le monde du foot, mis à part les Anglais, qui sont parfois heureux, de voir le 15e classé, surprendre le leader, en Allemagne, en Espagne, en Hollande, en Irlande, en Italie, en Ecosse, le titre se joue souvent avec les 4 ou 5 même, prétendants. Le reste suit, impuissant, devant les grosses cylindrées enhardies par « la pluie de primes» promises avant le début de la partie. Motivant au plus haut point les équipes, ces primes ne doivent en aucun cas être puisées dans les fonds du «peuple». Que celui qui veut être magnanime, avec un joueur, le soit avec son fric! Pour revenir à la compétition, disons simplement, que de nos jours, l'esprit de vedettariat a pris la clé des champs et des «chants». La nouvelle race d'entraîneurs ne veut plus avoir affaire aux stars, en leur expliquant qu'une «étoile» est toujours, filante! Saïd Amara, disait de son temps, à l'époque, «qu'il fallait être au bon endroit pour être «secouru» et être sélectionné en... EN! Il est vrai que le passé ne fait pas vibrer, mais il nous permet de rêver, de revivre pendant quelques mémorables instants féeriques du très beau foot pratiqué par des «enfants» pieds nus, dans les prairies (aujourd'hui, devenues de grandes cités dortoirs. Un éloquent silence Pour finir ce p'tit tour en foot en cette fin d'année, 2023, l'heure est maintenant à l'unité ou à quelque chose qui s'y apparente. Une trêve voulue d'en -haut, du haut du toit de la FAF, dont les dirigeants, ont senti le danger. De toute façon, les «guetteurs», poseurs de peaux de bananes, partisans de l'infini, bla bla bla, et autres «égorgeurs d'entraîneurs», reprendront leurs armes, «préférées» sitôt la finale de la coupe d'Afrique des nations de Côte d'Ivoire, sifflée! Mais là, sera un autre jour. Entre-temps, espérons tout de même, une magnifique participation de notre EN.